Introduction
* Le présent article est une version remaniée du texte d'une communication présentée à l'Université Libre de Bruxelles, le 28 janvier 1995, dans le cadre du cycle Sciences de la matière, organisé par Altaïr. Centre d'Histoire des Sciences et des Techniques de VU.L.B.
(1) Les Anciens n'établissaient pas de distinction stricte entre astronomie et astrologie: voir e. g. W. HÜBNER, L'astrologie dans l'Antiquité dans Pallas, 30, 1983, p. 1-24, sp. 2, et B. Bakhouche, Les textes latins d'astronomie. Un maillon dans la chaîne du savoir, Louvain- Paris, 1996, p. 2.
(2) On en trouvera une liste assez complète e. g. chez A. Le Boeuffle, Astronomie. Astrologie. Lexique latin, Paris, 1987, p. 13-15.
(3) Sur l'importance de ce morceau pour l'histoire de l'astronomie antique, voir M.-R. JONIN, Cicéron et les Aratea dans A.F.LNice, 21, 1974, p. 247-258, sp. 247 ; pour la partie concernant l'agriculture, voir G. AUJAC, Le calendrier agricole dans Les Travaux et les Jours d'Hésiode dans Pallas, 29, 1982, p. 3-15.
(4) Sur Aratos, son œuvre et sa survie, voir e. g. J. MARTIN, dans Aratus, Phaenomena, intr., texte crit., comm. et trad., Firenze, 1956, p. XI ; M.-R. JONIN, op. cit., p. 247-248 ; A. Le BOEUFFLE, Astronomie..., p. 13, et Le ciel des Romains, Paris, 1989, p. 7-8 ; B. BAKHOUCHE, op. cit., p. 32-34; E. GEE, Ovid, Aratus and Augustus. Astronomy in Ovid's Fasti, Cambridge, 2000, p. 126.