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Lachau

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Lachau
Lachau
Château de Lachau.
Blason de Lachau
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Communauté de communes du Sisteronais-Buëch
Maire
Mandat
Philippe Magnus
2020-2026
Code postal 26560
Code commune 26154
Démographie
Gentilé Chaupatiers, Chaupatières
Population
municipale
227 hab. (2021 en évolution de +2,25 % par rapport à 2015)
Densité 8,8 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 13′ 59″ nord, 5° 38′ 19″ est
Altitude Min. 676 m
Max. 1 538 m
Superficie 25,78 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Nyons et Baronnies
Législatives Troisième circonscription
Canton de Séderon (avant mars 2015)
Localisation
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Lachau
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Lachau
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Lachau
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Lachau

Lachau est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

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Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Localisation

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Lachau est situé dans le sud de la Drôme, à 9 km de Séderon.

Rose des vents Ballons Ballons Salérans (Hautes-Alpes) Rose des vents
Eygalayes N Éourres (Hautes-Alpes)
O    Lachau    E
S
Eygalayes
Montfroc
Montfroc
Curel (Alpes-de-Haute-Provence)
Éourres (Hautes-Alpes)
Curel (Alpes-de-Haute-Provence)

Relief et géologie

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La commune est entourée de montagnes parmi lesquelles on remarque celle du château (La montagne de Riable) couverte de ruines médiévales, et celle de Pied de Mulet qui renferme une grotte[réf. nécessaire].

Hydrographie

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La commune est arrosée par la Méouge et la Lozance[réf. nécessaire].

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 994 mm, avec 7,5 jours de précipitations en janvier et 4,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Séderon à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 9,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 032,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Voies de communication et transports

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La commune est desservie par la ligne de bus no 43 (Laragne - Mévouillon)[7].

Au , Lachau est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9] et hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (76,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (77,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (32,7 %), terres arables (8,8 %), zones agricoles hétérogènes (7,6 %), prairies (6,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

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Hameaux et lieux-dits

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Le hameau et le quartier l'Adret est attesté en 1891. Il était dénommé les defends de Ladret en 1748 (archives de la Drôme, E 3179) et Ladrech en 1754 (archives de la Drôme, E 3184)[13].

Projets d'aménagement

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Risques naturels et technologiques

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Attestations

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  • 1209 : homines Calmae et Calma (Valbonnais, I, 19)[14].
  • 1217 : La Calm (chanson de la croisade des Albigeois)[14].
  • 1277 : castrum de Lachal (petit inventaire des dauphins, 8)[14].
  • 1289 : Chalma (Valbonnais, II, 52)[14].
  • 1308 : mention d'un præceptor de la Chau[15]
  • 1413 : locus de Calma super Buxum (délib. cons. de Montélimar)[14].
  • 1582 : La Chaut (Chabeul, notaire à Crest)[14].
  • 1648 : La Chaulx (registres de la paroisse de Saou)[14].
  • XVIIIe siècle : La Chaup (inventaire de la chambre des comptes)[14].
  • 1891 : Lachau, commune du canton de Séderon[14].

Étymologie

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Ce toponyme semble dériver de l'occitan chau, attesté au pluriel chaux « montagnes à sommet aplati »[16]

Antiquité : les Gallo-romains

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Dépotoir romain (Ier siècle au IIIe siècle : lampes funéraires[17].

Du Moyen Âge à la Révolution

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La seigneurie[14] :

  • Au point de vue féodal, Lachau était une terre des barons de Mévouillon.
  • Dès 1209 : possession d'une branche cadette de cette famille connue sous le nom de Raybaud ou de Raimbaud de Lachau, et qui dota, cette année-là, les habitants de Lachau de libertés municipales.
  • Vers 1247 : elle passe (par mariage) aux Adhémar.
  • Milieu du XIVe siècle : un neuvième de la terre passe (par mariage) aux Mévouillon de Barret.
    • Cette part passe (par héritage) aux Grolée.
    • 1582 : elle est vendue aux La Tour-Gouvernet.
  • 1543 : les huit autres neuvièmes sont acquis par Antoine Escalin des Aimars (dit le capitaine Pollin).
    • 1582 : ils passent (par héritage) aux Simiane.
    • Vendus aux La Tour-Gouvernet qui deviennent ainsi les seigneurs de toute la terre de Lachau jusqu'à la Révolution.

Autre source : Notes tirées du livre de paroisse, du livre des comptes et du registre du conseil et de fabrique[réf. nécessaire].

  • 1209 : Le seigneur se nomme Reybaud de Lachau et prit part à la croisade contre les albigeois pour le comte de Toulouse sous le nom de Reimbaud de la Calma. La communauté se voit concéder un consulat.
  • 1230 : André, comte de Vienne et d'Albon, cède ses droits sur Lachau à Raymond de Mévouillon. Les propriétaires sont alors Galburge, mariée à Guillaume de Baux (prince d'Orange), et une autre Galburge, mariée à Lambert Adhémar (seigneur de Montélimar).
  • Entre 1230 et 1430, aucun document n'a été retrouvé.
  • 1450 : Pierre de Lachau, époux d'Éléonore d'Adhémar, reconnaît comme suzerain le dauphin Louis (futur roi Louis XI en 1461).
  • 1582 : Le , Antoine II, gouverneur du Dauphiné vend ses parts de Lachau à René de la Tour-Gouvernet.
  • 1616 : René de la Tour-Gouvernet achète les parts d'Adhémar sur Lachau.

Démographie[14] :

  • 1636 : 400 habitants.
  • 1775 : 675 habitants.

Avant 1790, Lachau était une communauté de l'élection de Montélimar, de la subdélégation et du bailliage de Buis-les-Baronnies.
Elle formait une paroisse du diocèse de Gap, dont l'église, dédiée à saint Martin (construite en 1613), dépendait du prieur du lieu à qui appartenaient les dîmes et qui présentait à la cure (voir Le Prieuré)[14].

Le Prieuré

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Dictionnaire topographique du département de la Drôme[18] :

  • 1355 : prioratus Beatae Mariae de Calma (archives de la Drôme, E 3152).
  • 1516 : prioratus de Calma (pouillé de Gap).

Ancien prieuré de l'ordre de Saint-Benoît (filiation de Cluny), dépendant premièrement de celui de Lagrand, puis de celui d'Antonaves. Son titulaire était décimateur dans la paroisse de Lachau. Le service paroissial qui se faisait autrefois au village de Lachau, dans l'église de Saint-Martin, y fut transféré au XVIIe siècle[18].

De la Révolution à nos jours

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En 1790, la commune est comprise dans le canton de Montauban. La réorganistion de l'an VIII (1799-1800) la place dans celui de Séderon[14].

1791 (démographie) : 720 habitants[14].

Politique et administration

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Tendance politique et résultats

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Administration municipale

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1871   ?    
1874   ?    
1878   ?    
1884   ?    
1888   ?    
1892   ?    
1896   ?    
1900   ?    
1904   ?    
1908   ?    
1912   ?    
1919   ?    
1925   ?    
1929   ?    
1935   ?    
1945   ?    
1947   ?    
1953   ?    
1959   ?    
1965   ?    
1971   ?    
1977   ?    
1983   ?    
1989   ?    
1995   ?    
2001 2008 René Tremori PS  
2008 2014 Philippe Magnus (sans étiquette) fonctionnaire
2014 2020 Philippe Magnus   maire sortant
2020 En cours
(au 14 janvier 2021)
Philippe Magnus[19][source insuffisante]   maire sortant

Rattachements administratifs et électoraux

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Intercommunalité

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Lachau fait partie :

Politique environnementale

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Finances locales

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Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[21].

En 2021, la commune comptait 227 habitants[Note 1], en évolution de +2,25 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
670680754590645737727875888
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
907648709714700624568556502
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
502460459367328295288282247
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
217217225234190225206219228
2021 - - - - - - - -
227--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique
Code commune Nom de la commune Année d'enquête Population provisoire à l'année d'enquête Population au recensement de 1999 Évolution annuelle moyenne /1999
26154 Lachau 2006 206 225 En % : -1,3 % • En valeur : -3

Services et équipements

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Enseignement

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Manifestations culturelles et festivités

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  • Fête : les 15 et 16 août[17].
    • La fête votive (ou patronale) a lieu tous les étés autour du (le village de Lachau fête Sainte-Marie). Le comité des fêtes organise des animations. L'association du Luminaire organise des expositions photographiques et des rencontres artisanales. L'association de la boule de Calma encadre les concours de pétanque[réf. nécessaire].
  • Pêche et chasse[17].

Agriculture

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En 1992 : bois, lavande, plantes aromatiques, tilleul, ovins, caprins, apiculture (miel)[17].

  • Foire : le 11 juin ; du 1 au 21 décembre : ce sont des foires-expositions de béliers et d'agnelles[17].
Prix au m² (vente)[24] NC
Prix au m² (location) NC
Taux de propriétaires 66,7 %
  • Station climatique d'été[17].

Revenus de la population et fiscalité

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Population active[24] 84
Nombre de chômeurs 10
Taux de chômage 11,3 %

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Tour de Riable.
  • La tour de Riable : ruines d'un donjon médiéval quadrangulaire en cours de restauration[25].
  • Château flanqué aux angles de tours rondes[réf. nécessaire].
  • Château à tourelles[17].
  • Église Notre-Dame-de-Calma (XIIe siècle) de style roman (classée MH) : emploi du plein cintre et de l'ogive[17].
    • Nef en berceau, haute de 13,50 mètres[réf. nécessaire].
    • Note : jusqu'à la fin du XIIe siècle, le cartulaire de l'abbaye de Cluny ne mentionne ni Lagrand ni Lachau ; le prieuré ne fut donc fondé qu'après 1190. Ce ne fut jamais un monastère, il y eut tout ou plus deux ou trois moines. En 1791, les biens du prieuré furent vendus à Michel Nave qui les revendit à une centaine d'habitants de Lachau[réf. nécessaire].
  • Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Lachau du XIXe siècle[17].
  • Fontaine[17].

Patrimoine culturel

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Patrimoine naturel

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  • Grottes à stalactites[17].
  • Montagne du Riable[17].

Personnalités liées à la commune

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  • Lucien Bertrand (1847-1929) : ancien député de la Drôme, décédé à Lachau.

Héraldique, logotype et devise

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Blason de Lachau Blason
D'azur à la tour du lieu [Tour du Riable] crénelée de cinq pièces d'argent, maçonnée, ajourée et ouverte de sable sur un rocher d'argent mouvant de la pointe; au chef d'or chargé de deux lions adossés de gueules[26].
Détails
Le blason fait référence à Raimbaud de Calma, seigneur de Lachau (d'or au lion de gueules), aux seigneurs de La Tour Gouvernet, derniers seigneurs de Lachau avant la Révolution de 1789 (d'azur à une tour crénelée de cinq pièces d'argent au chef cousu de gueules chargé de trois heaumes d'or posés de profil) et enfin à la Tour du Riable, qui est représentative du patrimoine historique de la commune.
Adopté le 8 mars 2019 par la municipalité.

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Bibliographie

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  • Sur les libertés municipales de Lachau au Moyen Âge, voir : A. Gouron, « Diffusion des consulats méridionaux et expansion du droit romain aux XIIe et XIIIe siècles », La science du droit dans le Midi de la France au Moyen Âge, Londres, 1984, p. 49.
  • La charte de consulat se trouve dans : P. Vaillant, Les libertés des communautés dauphinoises, des origines au , Grenoble, 1951.
  • Voir également les ouvrages de Georges de Manteyer.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Lachau et Séderon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Séderon », sur la commune de Séderon - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Séderon », sur la commune de Séderon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. ligne de bus no 43
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  9. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 1 (L'Adret).
  14. a b c d e f g h i j k l m et n J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 186.
  15. Honoré Bouche, L'histoire chronologique de Provence depuis l'établissement de son comté jusqu'à aujourd'hui, (lire en ligne), p. 331-332
    Ouvrage ancien où figure la liste des templiers capturés en Provence et emprisonnés dans la forteresse de Pertuis: Fr. Guillel[mus] Augeri, præceptor de la Chau ⇒ Frère Guillaume Augeri, commandeur de Lachau. Ce templier est également cité par d'autres frères au cours du procès, cf. entre autres Roger & Anne-Marie Sève, Le procès des templiers d'Auvergne, Éd. du CTHS, , 322 p. (présentation en ligne), p. 278.
    .
  16. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Page 77 - (ISBN 2600028838).
  17. a b c d e f g h i j k et l Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Lachau.
  18. a et b J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 289.
  19. http://www.mairesdeladrome.fr/annuaire/
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. a et b Journal du Net
  25. « latourduriable.blog.fr »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  26. Lachau sur armorialdefrance.fr