iBet uBet web content aggregator. Adding the entire web to your favor.
iBet uBet web content aggregator. Adding the entire web to your favor.



Link to original content: https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Baume-d'Hostun
La Baume-d'Hostun — Wikipédia Aller au contenu

La Baume-d'Hostun

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

La Baume-d'Hostun
La Baume-d'Hostun
Église du XIXe siècle et mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Valence
Intercommunalité Valence Romans Agglo
Maire
Mandat
Marion Pelloux-Prayer
2020-2026
Code postal 26730
Code commune 26034
Démographie
Gentilé Baumois, Beaumoises
Population
municipale
592 hab. (2021 en évolution de +5,34 % par rapport à 2015)
Densité 70 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 03′ 22″ nord, 5° 13′ 41″ est
Altitude Min. 148 m
Max. 760 m
Superficie 8,46 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Romans-sur-Isère
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vercors-Monts du Matin
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
La Baume-d'Hostun
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
La Baume-d'Hostun
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Voir sur la carte topographique de la Drôme
La Baume-d'Hostun
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
La Baume-d'Hostun

La Baume-d'Hostun est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont dénommés les Baumois.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

La Baume-d'Hostun est située à 17 km de Romans, à 60 km de Grenoble.

Relief et géologie

[modifier | modifier le code]

Sites particuliers[1] :

  • Col des Bois communaux ;
  • la Madelanière ;
  • la Montagne.

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

La commune est arrosée par les cours d'eau suivants :

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 057 mm, avec 8,9 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Saint-Jean-en-Royans à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 136,1 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

L'autoroute A49 passe sur la commune. Elle enjambe la rivière Isère sur un pont mono-pylône de plus de 90 m de haut (dont le tablier est à 40 m au-dessus de l'Isère). Le pylône se trouve à l'emplacement du port du Perrier. L'autre rive est sur la commune de Saint-Lattier (où il y avait une auberge portant aussi le nom du Périer)[8][Qui ?][source insuffisante].

De part et d'autre de l'autoroute se placent les deux péages, ainsi que les aires de service de la Porte de la Drôme (ouest) et de Royans-Vercors (est)[1].

Au , La Baume-d'Hostun est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Romans-sur-Isère, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (58,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (36,1 %), forêts (35,3 %), zones agricoles hétérogènes (16,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,7 %), zones urbanisées (4,1 %), cultures permanentes (1,4 %), eaux continentales[Note 2] (1 %), prairies (0,1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

[modifier | modifier le code]

Quartiers, hameaux et lieux-dits

[modifier | modifier le code]

Site Géoportail (carte IGN)[1] :

  • Bois de Gervans
  • Fauchez
  • Gallat
  • Gervans
  • Grand Gervans
  • Grange Vieille
  • la Forêt
  • la Gabelle
  • la Grande Grange
  • la Paire
  • la Verdure
  • le Château
  • les Blaches de Triors
  • les Chailles
  • les Charbonnières
  • les Charbonnières
  • les Lydes
  • les Massotiers
  • les Orards
  • les Paillonnières
  • les Préaux
  • les Richards
  • les Routes
  • les Royets
  • les Sablons
  • les Vachons
  • le Trou du Loup
  • Planpalais
  • Zone artisanale des Monts du Matin

Projets d'aménagement

[modifier | modifier le code]

Risques naturels et technologiques

[modifier | modifier le code]

Attestations

[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[14] :

  • 1050 : Balmas (cartulaire de Romans [Saint-Barnard], 13 bis).
  • 1070 : Balmas de Roianis (cartulaire de Romans [Saint-Barnard], 16 bis).
  • 1174 : villa de Balmis (cartulaire de Léoncel, 24).
  • 1386 : Balma Osteduni (choix de documents, 204).
  • 1430 : La Balme d'Otun (doc. inéd., 359).
  • 1485 : Balma de Hosteduno (Fr. Marc., I, 52).
  • 1571 : La Baume Dotun (archives de la Drôme, E 3741).
  • 1584 : La Baulme d'Aultun (Piémond, 193).
  • 1788 : La Baume d'Autun (Alman. du Dauphiné).
  • 1891 : La Baume d'Hostun, commune du canton de Bourg-de-Péage.

Étymologie

[modifier | modifier le code]

Baume : du gaulois balma « grotte peu profonde, abri-sous-roche, caverne » et qui a également donné « balme ». Bien qu'apparu en même temps que ce dernier dans toute la France, il n’a été conservé que par l'occitan. Le mot est attesté surtout en toponymie[réf. nécessaire].

Antiquité : les Gallo-romains

[modifier | modifier le code]

Une section de voie romaine[15].

La magna strada ou chemin ferat (feré), ou route de l'étain, était sur un axe nord-sud antique. Il passait à Rochebrune puis à Rochechinard à l'est de Musan. Le chemin d'Hostun (à l'ouest de Musan) en était une variante. Ce chemin permettait de ne pas quitter le territoire des Allobroges et des Voconces[16][Qui ?][source insuffisante],[8][Qui ?][source insuffisante].

La rive de l'Isère à La Baume est l'une des hypothèses de l'emplacement de Ventia (Lacour, Vincent)[8][Qui ?][source insuffisante].

Pour Henri Desahes, le Royans gallo-romain, bien que colonisé depuis la plaine malgré une résistance visible, était tourné vers Vienne plutôt que vers Die ou Valence. Il aurait été un pagus allobroge selon la revue drômoise 1981[8][Qui ?][source insuffisante].

Du Moyen Âge à la Révolution

[modifier | modifier le code]

La seigneurie[14] :

  • Au point de vue féodal, la terre (ou seigneurie) était un fief des Dauphins.
  • XIVe siècle : possession des Hostun.
  • Vers 1440 : possession d'une branche cadette des Hostun, dite « des marquis de la Baume d'Hostun ».
  • 1712 : ceux-ci, obtenant l'érection de la terre d'Hostun en duché, y font entrer celle de la Baume-d'Hostun (voir Hostun).

1689 (démographie) : 55 chefs de famille[14].

Avant 1790, la Baume-d'Hostun était une communauté de l'élection et subdélégation de Valence, et du bailliage de Saint-Marcellin. Elle formait une paroisse du diocèse de Valence, dont les dîmes appartenaient au curé et dont la cure était de la collation de l'évêque diocésain[14].

L'ancien mandement d'Hostun était de grande surface. Il comprenait les paroisses d'Hostun, Eymeux, Saint-Nazaire, La Motte-Fanjas, Saint-Thomas, Saint-Just-de-Claix, Oriol, Saint-Martin et Saint-Jean[8][Qui ?][source insuffisante].

De la Révolution à nos jours

[modifier | modifier le code]

Comprise en 1790 dans le canton d'Hostun, cette commune fait partie de celui du Bourg-de-Péage depuis la réorganisation de l'an VIII (1799-1800)[14].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Tendance politique et résultats

[modifier | modifier le code]

Administration municipale

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1871 ?    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1874 ?    
1874 1878 ?    
1878 1884 ?    
1884 1888 ?    
1888 1892 ?    
1892 1896 ?    
1896 1900 ?    
1900 1904 ?    
1904 1908 ?    
1908 1912 ?    
1912 1919 ?    
1919 1925 ?    
1925 1929 ?    
1929 1935 ?    
1935 1945 ?    
1945 1947 ?    
1947 1953 ?    
1953 1959 ?    
1959 1965 ?    
1965 1971 ?    
1971 1977 ?    
1977 1983 ?    
1983 1989 ?    
1989 1995 ?    
1995 2001 ?    
2001 2008 Mireille Palayer    
2008 2014 Dominique Pourroy    
2014 2020 Manuel Guilhermet   employé
2020 En cours
(au 6 août 2021)
Marion Pelloux-Prayer[17][source insuffisante],[18]    

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]

La commune de La Baume-d'Hostun est membre de quatre groupements[19] :

  • la Communauté d'agglomération Valence Romans Agglo,
  • le Syndicat d'irrigation drômois,
  • le Syndicat intercommunal de l'Écancière,
  • le Syndicat départemental d'énergies de la Drôme (énergie SDED).

Politique environnementale

[modifier | modifier le code]

Espaces verts et fleurissement

[modifier | modifier le code]

En 2014, la commune obtient le niveau « une fleur » au concours des villes et villages fleuris[20].

Finances locales

[modifier | modifier le code]

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].

En 2021, la commune comptait 592 habitants[Note 3], en évolution de +5,34 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
300300339416403389422414357
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
325325310315333285307277256
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
260266260231235231211225279
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
370241262250324364455482569
2018 2021 - - - - - - -
576592-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements

[modifier | modifier le code]

Enseignement

[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités

[modifier | modifier le code]
  • Fête des laboureurs : en avril[15].
  • Fête patronale : [15].
  • Randonnées (sentiers balisés)[15].

Agriculture

[modifier | modifier le code]

En 1992 : pâturages (ovins, caprins), céréales, tabac, noix de Grenoble[15].

  • Accès au parc du Vercors[15].

Revenus de la population et fiscalité

[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Patrimoine culturel

[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel

[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique, logotype et devise

[modifier | modifier le code]

La Baume-d'Hostun possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Étude réalisée par Denys Faure, dans la revue trimestrielle du cercle généalogique de Romans, Bourg-de-Péage et la Drôme des Collines[8][Qui ?][source insuffisante].

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a b c d e et f « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre La Baume-d'Hostun et Saint-Jean-en-Royans », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Jean-en-Royans », sur la commune de Saint-Jean-en-Royans - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Jean-en-Royans », sur la commune de Saint-Jean-en-Royans - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. a b c d e et f Revue trimestrielle du cercle généalogique de Romans, Bourg de Péage et la Drôme des Collines. Étude réalisée par Denys Faure.
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Romans-sur-Isère », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b c d et e J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 26 (La Baume d'Hostun).
  15. a b c d e f g h i j k et l Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), La Baume-d'Hostun.
  16. Reynaud, Le Royans d'avant l'an mil, Lienhart, 1999.
  17. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  18. https://www.mairesdeladrome.fr/wp-content/uploads/2021/07/ANNUAIRE-MAIRES-2021.pdf Page 25.
  19. « Liste des groupements de La Baume-d'Hostun », sur comersis.fr (consulté le ).
  20. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.