Gaza
Gaza (ar) غَزَّة | |||
Vue de Gaza avant la guerre de 2023. | |||
Administration | |||
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Pays | Palestine | ||
Territoire palestinien | Bande de Gaza | ||
Gouvernorat | Gaza | ||
Démographie | |||
Gentilé | Gazaoui | ||
Population | 635 514 hab. (plus de)(2015[N 1]) | ||
Géographie | |||
Coordonnées | 31° 31′ 00″ nord, 34° 27′ 00″ est | ||
Altitude | 0 m |
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Localisation | |||
Géolocalisation sur la carte : Palestine
Géolocalisation sur la carte : bande de Gaza
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Gaza (en arabe : غَزَّة, Ġazza [/[ˈɣazza]]), parfois appelée « ville de Gaza » pour la distinguer de la bande de Gaza qui désigne la région dans son ensemble, est la ville qui donne son nom à ce territoire longiligne. Après avoir été placée sous l'autorité civile et militaire de l'Autorité palestinienne dès l'application des accords de Jéricho et Gaza de 1994 avec Israël, elle est depuis juin 2007 la ville la plus importante sous l'autorité du Hamas.
La ville de Gaza compte près de 700 000 habitants[N 1] tandis que la population totale de la bande de Gaza dépasse 2 000 000 personnes[N 1], dont environ un tiers vit dans des camps de réfugiés palestiniens[1], un autre tiers étant constitué des réfugiés vivant en dehors des camps[2]. Ses habitants sont les Gazaouis.
La ville est entièrement détruite par l'armée israélienne lors de la guerre dans la bande de Gaza commencée en 2023[3].
Étymologie
[modifier | modifier le code]Le nom de Gaza découle de la racine cananéenne Ġazzā, la « forte » ou « forteresse »[4].
Histoire
[modifier | modifier le code]Appartenances historiques
Philistins -1190 - -734 |
Antiquité
[modifier | modifier le code]La première référence à la ville de Gaza remonte au règne de Thoutmôsis III. La ville est également citée dans les lettres d'Amarna. Son intérêt principal réside dans sa position stratégique sur la route côtière reliant l'Égypte et la Syrie. C'est alors un marché important et un poste avancé égyptien faisant partie du « Chemin d'Horus » (série de forteresses réparties entre Tcharou[N 2] et Gaza)[5].
Dans les années -1190 avant J.-C., les Philistins, un des peuples de la mer (originaires de Crète selon une tradition biblique)[6] s'installent sur la côte sud cananéenne (de Gaza à Jaffa), après avoir attaqué l'Égypte. Les Philistins laisseront leur nom bien plus tard à l'ensemble du territoire, que les Romains appelleront « Palestine ».
La ville philistine d'environ 80 ha, murée, construite sur une colline à 45 m d'altitude, à 2,4 km de la mer Méditerranée. Gaza est mentionnée dans la Bible comme l'une des villes principales des Philistins en guerre contre Israël : c'est là que Samson est capturé[7] et qu'il meurt en faisant s'écrouler un temple philistin.
En 525 av. J.-C., la cité est conquise par Cambyse II, grand roi achéménide de l'empire perse, pour servir de tête de pont à toutes ses campagnes vers l'Égypte.
La ville est prise en 332 av. J.-C. par le Macédonien Alexandre le Grand à l'issue d'un siège. Les habitants sont massacrés ou réduits en esclavage.
En 145 av. J.-C., Gaza est conquise par Jonathan Maccabée, frère de Juda Maccabée et fondateur de la dynastie judéenne des Hasmonéens.
Époque romaine et byzantine
[modifier | modifier le code]Moyen Âge
[modifier | modifier le code]La ville est considérée comme le lieu où serait mort Hashim ibn Abd al-Manaf, l'arrière-grand-père de Mahomet au cours d'une expédition commerciale, d'où le nom classique de « Gaza de Hashem »[8].
La conquête de Gaza par les Arabes intervint très tôt, sans doute en 634. Elle n'est pas évoquée par les sources arabes mais l'est par les sources byzantines : la population civile dut payer tribut aux Arabes et la garnison, constituée de 60 soldats, fut emprisonnée et mise à mort quelque temps plus tard. Sous les Omeyyades, une garnison militaire et un atelier monétaire furent implantés en ville. L'islamisation de la cité fut progressive : c'est là que naquit l'imam al-Chafii (fondateur de l'école de jurisprudence chafiite), mais ce n'est pas là qu'il vécut et enseigna.
La cité fit peu parler d'elle jusqu'au XIIe siècle et, au moment de la Croisade, elle avait beaucoup décliné. Elle était en ruines et peut-être désertée quand les Croisés occupèrent le site en 1149 et y construisirent un château-fort dans la partie la plus élevée. Ce château fut confié à la garde des Templiers. Au sud du château, se développa la ville franque avec une grande église gothique qui est aujourd'hui la grande mosquée de Gaza. Une autre église, plus petite, est toujours aujourd'hui l'église orthodoxe Saint Porphyre. Tenue par les Templiers, apparemment prospère si l'on en juge par la qualité de sa grande église, Gaza constitua l'avant-poste du Royaume franc de Jérusalem face à l'Égypte. Les sources franques la nomment Gazara, et en ancien français Gadres. Elle ne constituait pas un lieu de pèlerinage, et sa renommée en France ne venait que d'une chanson de geste composée vers 1170, Li Fuerre de Gadres (le sac de Gaza), évoquant la prise de la ville par Alexandre le Grand.
À la fin de 1170, Saladin s'empara de la ville basse mais échoua à prendre le château. Ce n'est qu'en 1187, au lendemain de la bataille de Hattin, qu'il obtint l'évacuation de Gaza par les Templiers et la remise des forteresses de Gaza et de Darom (Deir el-Balah, au sud de Gaza). Le roi d'Angleterre Richard Cœur de Lion reprit Darom et Gaza en 1192, mais négocia ensuite avec Saladin l'abandon de ces positions jugées trop exposées, qu'il fit évacuer après en avoir détruit les fortifications.
En 1239, un retour offensif des Francs fut brisé à Beit Hanoun, bourgade du nord de Gaza dont la mosquée abrite les tombes des musulmans qui furent tués au cours de cette bataille. En 1244, eut lieu à Hirbiyyah (en latin Furbia, en français La Forbie) une bataille bien plus importante opposant une coalition égypto-khowarizmienne et une coalition syro-franque : le roi Al-Salih Ismaël de Damas avait promis aux Templiers de leur restituer Gaza en cas de victoire, mais ils furent défaits. Gaza demeura au pouvoir des Ayyoubides d'Égypte, puis de Syrie, jusqu'en 1260 où la ville fut occupée un temps par les Mongols avant d'être reprise par le chef mamelouk Baybars.
L'époque des Mamelouks (fin XIIIe - début XVIe siècle) fut pour Gaza une période prospère de renaissance, malgré des crises.
Temps modernes
[modifier | modifier le code]Les Ottomans mettent fin au règne des Mamelouks en 1516 après la bataille de Khan Younès. La ville de Gaza et toute la région sont administrées par la province ottomane d'Égypte jusqu'au début du XXe siècle.
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Vieille ville de Gaza (photographie de Francis Firth en 1862-63)
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Ville nouvelle de Gaza (photographie de Francis Firth en 1858)
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Durant la Première Guerre mondiale, les troupes britanniques, commandées par le général Allenby, s'emparent de Gaza des mains de l'Empire ottoman à l'issue de la troisième bataille de Gaza en . Les britanniques destituent le maire de Gaza, Saïd al-Shawwa, nommé par les ottomans.
Gaza reste sous le mandat britannique jusqu'à l'évacuation des britanniques en mai 1948 à la suite de la décision de partage de la Palestine du .
De 1948 à 1967, la bande de Gaza est administrée par l'Égypte. À la suite de la crise du canal de Suez, elle est occupée par Israël de novembre 1956 au . Outre 4 000 prisonniers, cette occupation causa la mort de 930 à 1 200 Palestiniens arabes pour une population totale de 330 000 personnes[9]. Elle est à nouveau occupée après la Guerre des Six Jours.
Entre 1976 et 1981, un mouvement issus des Frères musulmans égyptiens, le Hamas, crée à Gaza l'université islamique de Gaza et d'autres institutions islamiques (al-Mujamma al-islami, al-Jam'iyya al-islamiyya, etc.).
En 1987, c'est à Gaza que débute la première Intifada, la « révolte des pierres », avant de s'étendre à l'ensemble des territoires occupés jusqu'en 1993, année des accords d'Oslo.
Le , l'Organisation de libération de la Palestine obtient la gestion de Gaza et de la région de Jéricho. Le président Yasser Arafat et l'Autorité palestinienne s'installent à Gaza.
En , le Hamas prend le pouvoir à Gaza et chasse les tenants de l'Autorité palestinienne.
En octobre 2023, éclate la guerre Israël-Hamas, lancée par l'incursion le 7 du même mois de commandos du Hamas en Israël depuis Gaza (opération « Déluge d'Al-Aqsa ») et le massacre de civils israéliens et étrangers, auxquels Israël répond pour éliminer le Hamas par des bombardements massifs notamment sur la ville de Gaza avec des milliers de civils gazaouis tués sous les bombes, le blocus intégral du territoire, un siège puis une attaque terrestre[10], l'ensemble entraînant une crise humanitaire alarmante. En juillet 2024, l'armée israélienne ordonne l'évacuation de toute la ville[11].
Les écoles servant de lieux de refuge pour les déplacés sont régulièrement bombardées. Le 1er août 2024, au moins 15 personnes ont été tuées lors d'une attaque israélienne contre l'école Dalal al-Mughrabi, tandis que le 3 août, 16 autres personnes ont été tuées lors du bombardement de l'école Hamama. Le 4 août, au moins 30 personnes ont été tuées dans des raids aériens israéliens sur les écoles Nassr et Hassan Salama, à l'ouest de la ville, et le 8 août, au moins 17 personnes ont été tuées dans des attaques contre les écoles Abdul Fattah Hamouda et az-Zahra. Le 10 août, plus de 100 personnes ont été tuées et 150 autres blessées après que les forces israéliennes ont bombardé l'école al-Tabin, à l'est de la ville[12],[13].
La ville est en grande partie détruite par les bombardements[14]. Selon l'International Crisis Group, la stratégie israélienne est de rendre Gaza invivable en obligeant la population à se déplacer constamment et en détruisant tout[13].
Géographie
[modifier | modifier le code]Climat
[modifier | modifier le code]Gaza a un climat chaud, semi-aride ou méditerranéen (malgré de très rares précipitations) avec des hivers doux et secs, et des étés chauds. Les mois les plus chauds sont juillet et août, avec la température moyenne étant de 33 °C. Le mois le plus froid est janvier avec des températures généralement à 7 °C. La pluie est rare et se situe généralement entre novembre et mars, avec des taux de précipitations annuelles d'environ 116 mm (4,57 pouces).
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 7 | 7 | 9 | 13 | 15 | 18 | 20 | 21 | 19 | 17 | 12 | 8 | 14 |
Température maximale moyenne (°C) | 17 | 17 | 20 | 26 | 29 | 31 | 33 | 33 | 31 | 28 | 24 | 19 | 26 |
Éducation
[modifier | modifier le code]En 2006, il y avait 210 écoles à Gaza : 151 étaient gérées par le ministère de l'Éducation de l'Autorité nationale palestinienne, 46 par l'Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient et 13 étaient des écoles privées. Au total, 154 251 élèves étaient inscrits et 5 877 enseignants étaient employés[16].
Les universités de la ville ont été partiellement voire totalement détruites par l’armée israélienne en 2024[17].
Patrimoine
[modifier | modifier le code]Le centre-ville comporte un certain nombre de monuments importants.
La mosquée Al Omari, ancienne église datant du XIIe siècle, a gardé son architecture gothique caractéristique et a été agrandie au XIIIe siècle sous les Mamelouks qui lui ont notamment ajouté un minaret. L'édifice a été gravement endommagé au cours de la Ire Guerre mondiale, et restauré sous le mandat britannique.
Le musée de la ville occupe un édifice d'époque mamelouke et ottomane, le Qasr al-Basha, magnifiquement restauré au début des années 2000. C'était au XVIIe siècle la résidence du gouverneur ottoman de Palestine et le général Napoléon Bonaparte y a installé son quartier général lors de son passage dans la ville en 1798.
On trouve enfin l'église Saint-Porphyre, qui daterait du début du Ve siècle, centre de la communauté orthodoxe de la ville, dont l'état actuel paraît remonter à l'époque des croisades.
Le centre-ville compte encore d'anciennes maisons familiales en pierre locale, également de l'époque ottomane[18].
L'église de la Sainte-Famille de Gaza est le centre de la communauté catholique de la bande de Gaza[19].
Gaza compte aussi un hammam datant de l'époque ottomane, restauré récemment.
Le dédale de ses rues et ruelles était souvent le théâtre d'affrontements entre l'armée israélienne et les opposants Palestiniens jusqu'au désengagement israélien de cette région en 2005.
Personnalités associées à Gaza
[modifier | modifier le code]Personnalités anciennes
[modifier | modifier le code]- Sylvain de Gaza : saint catholique et orthodoxe, évêque de Gaza, décapité en 311.
- Hilarion de Gaza : ascète chrétien (291-371).
- Procope de Gaza : sophiste et exégète chrétien de la fin du Ve siècle.
- Zacharie le Rhéteur : évêque et écrivain religieux de la fin du Ve siècle, frère de Procope de Gaza.
- Énée de Gaza : néo-platonicien converti au christianisme du Ve siècle.
- Porphyre de Gaza : évêque de Gaza et saint chrétien fêté le 26 février.
- Isidore de Gaza : philosophe néo-platonicien, chef de l'école néoplatonicienne d'Athènes vers 490.
- Timothée de Gaza : grammairien et auteur d'un traité zoologique.
- Dorothée de Gaza : saint catholique et orthodoxe, moine.
- Chorikios de Gaza : rhéteur grec du VIe siècle, natif de Gaza.
- Barsanuphe de Gaza : saint catholique et orthodoxe, moine (VIe siècle).
- Al-Châfi'î : juriste musulman (762-820), fondateur de l'école chaféite.
- Samonas de Gaza : poète et théologien chrétien de langue arabe (Xe – XIe siècle).
- Theodore de Gaza (v. 1400 - v. 1478), humaniste grec de Thessalonique
- Nathan de Gaza : théologien juif, né à Jérusalem (1643–1680), connu pour avoir été le prophète du faux messie Sabbataï Tsevi.
Personnalités récentes
[modifier | modifier le code]- Fatima Shbair, photojournaliste palestinienne née en 1997 à Gaza, lauréate du « Prix de la Ville de Perpignan Rémi Ochlik » en 2021[20].
- Farah Baker, née en 1998 Palestinienne vivant dans la bande de Gaza devenue célèbre pour ses publications sur Twitter pendant le conflit israélo-palestinien de 2014, lorsqu'elle a partagé en direct son expérience de bombardements depuis Gaza[21].
Autres faits
[modifier | modifier le code]La gaze, tissu aérien commercé au Moyen Âge à l'instar de la mousseline (de Mossoul) ou du damas (de Damas), est originaire de Gaza[22].
Gaza est une ville jeune ː environ 60 % de la population de la ville serait constituée de personnes âgées de moins de 18 ans[23].
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Population estimée à 635 514 ha par le Bureau central palestinien de statistique (ici, p. 36) à fin 2015 ; soit près de 700 000 ha à fin 2018 (635 514 x 1,029^3).
- Poste frontière à l'est du Delta du Nil.
Références
[modifier | modifier le code]- (en) « Gaza’s children bounce their way into record books at Summer Games », sur un.org (consulté le ).
- (fr) « Des millions de réfugiés palestiniens au Proche-Orient », sur monde-diplomatique.fr (consulté le ).
- « Images de désolation à Gaza: une employée de l'UNRWA témoigne », sur RFI, (consulté le )
- (en) « Gaza meaning », sur abarim-publications.com, (consulté le ).
- Dominique Valbelle, « Recherches archéologiques récentes dans le Nord-Sinaï », Comptes-rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 133, no 3, , p. 594-607
- J. Elayi, Histoire de la Phénicie, Paris, 2013
- cfr. Juges, 16
- (en) Michael A. Cook, Muhammad, Oxford University Press, (ISBN 978-0-19-287605-8), p. 13
- Henry Laurens, Cours au Collège de France, La question de Palestine à partir de 1949, cours du Consultable en ligne.
- Jean-Philippe Rémy, « A Gaza, la guerre urbaine a commencé », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
- « L'armée israélienne ordonne l'évacuation de toute la ville de Gaza », sur Les Echos, (consulté le )
- (en) « Israeli attack on Gaza school sheltering displaced Palestinians kills 22 », sur Al Jazeera
- « A Gaza, une frappe israélienne tue près de cent personnes, rendant encore plus improbable un cessez-le-feu », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
- https://www.lorientlejour.com/article/1429296/bande-de-gaza-les-deux-tiers-des-batiments-detruits-ou-endommages-selon-lonu.html
- « Weatherbase: Climate Information for Gaza », Weatherbase.
- (en) Education Ministry of the Palestinian National Authority, Statistics About General Education in Palestine 2005-2006 (lire en ligne)
- « «Depuis trois jours, on vit l’horreur absolue»: un habitant de Gaza-ville, réduite en ruines, témoigne », sur RFI, (consulté le )
- Pèlerinage, sciences et soufisme : L'art islamique en Cisjordanie et à Gaza, collection L'art islamique en Méditerranée, Edisud
- Rédaction, « À Gaza, les chrétiens «vivent ensemble et meurent ensemble» » , sur cath.ch, .
- « Une vie assiégée », sur Visa pour l’image (consulté le ).
- (en) Tracy Frydberg, « When a Gazan girl and Israeli officials battle head-to-head for social media » , sur The Times of Israel,
- « L'origine de Gaze », sur 1001origines.net (consulté le ).
- (fr) « Que faire de Gaza ? », sur rfi.fr (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Jean-Pierre Filiu, Histoire de Gaza, Fayard, 2012
- Jean-Baptiste Humbert, Gaza méditerranéenne. Histoire et archéologie en Palestine, Éditions Errance, 2000
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Bande de Gaza
- Blocus de la bande de Gaza
- Prise de Gaza par le Hamas en juin 2007
- Guerre de Gaza
- Monastères de la région de Gaza
- École de Gaza
- Synagogue de Gaza
- Villes du désert du Néguev sur la route de l'encens
- Teglath-Phalasar III
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Gaza Sderot, La vie malgré tout (web-reportage en 40 épisodes réalisé par Arte).
- Sites officiels : www.gaza-city.org et www.mogaza.org
- Ressource relative à la géographie :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :