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Page 177

BRIALMONT

M. Paul Crokaert, publiciste d'un savoir très varié , vient de. publier , dans un volume de très grand luxe (1 ),les Mémoires laissés par V in¬ génieur militaire qui a doié la Belgique du système défensif d'Anvers. Ces Mémoires (2), dont je me propose de résumer l'essentiel , «sort dhine forme concise, un peu sèche, dépourvus à la fois d'ornement littéraire et de cette vanité qui souvent dépare les ouvrages où l'on se raconte soi-même et où il est souvent difficile de ne pas se complaire en son image ». Ainsi s'exprime M. Paul Hymans dans la préface de ce bel ouvrage.

Henri-Alexis Brialmont, le «Vauban belge », comme on l'a appelé avec une certaine complaisance, était le fils de Mathieu Brialmont qui, incorporé en 1808 dans l'armée française, et «démissionné honorablement » au moment des Cent jours — il était alors capitaine, — prit ensuite du service dans l'armée

(1) Brialmont (Bruxelles, Lesigne, 1925). Le texte de l'auteur est précédé d'un «Eloge » qui occupe 351 pages sur un total de 620. Son ton dithyrambique, son style empanaché, imagé, coloré, vivant, ne doivent pas faire douter de la solidité de cette étude substantielle qui représente un effort d'érudition considérable et des connaissances professionnelles bien rares chez les écrivains étrangers aux questions militaires. Une certaine inexpérience de la technique se trahit pourtant par des erreurs de mesure. Les reproches adressés aux théories de Clausewitz (pages 128, 196, et 288) ne sont pas à l'abri de toute critique (comme aussi les éloges hyper¬ boliques des pages 306-313). On relève quelques redites, de petites contradictions, des citations parfois légèrement inexactes. La phrase : «Un jour, on pleurera des larmes de sang pour n'avoir pas construit le fort de Lixhe », de la page 13, devient : «On versera quelque jour des pleurs amers sur cette erreur mortelle », à la page 256. Les lettres des 23 et 24 décembre 1865 sont reproduites avec des variantes aux pages 172-173, d'une part, et 380-382, de l'autre, etc.

(2) La manuscrit est divisé en onze chapitres. Le sixième présente une lacune, probablement imputable à une erreur de copie.

R. H. M. Tome II. Numéro 9. 12

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