Réalisation:
Craig GillespiePhotographie:
Javier AguirresarobeMusique:
Carter BurwellActeurs·trices:
Chris Pine, Ben Foster, Casey Affleck, Eric Bana, Holliday Grainger, Josh Stewart, Rachel Brosnahan, Michael Raymond-James, Graham McTavish (plus)VOD (5)
Résumés(1)
Le 18 février 1952, l'une des pires tempêtes qu'ait jamais connues la côte Est des États-Unis s'abat sur la Nouvelle-Angleterre. Elle ravage les villes du littoral et détruit tout sur son passage, y compris deux pétroliers de 150 mètres. Le SS Pendleton et le SS Fort Mercer, en route respectivement pour Boston (Massachusetts) et Portland (Maine), sont littéralement brisés en deux. Les équipages restent piégés à l'intérieur des navires voués à sombrer rapidement. Le premier assistant mécanicien Ray Sybert, officier responsable à la poupe du Pendleton, réalise très vite qu'il lui appartient de prendre en charge des marins terrifiés et de les amener à travailler ensemble pour maintenir le navire à flot le plus longtemps possible.
Alors que les garde-côtes de Chatham (Massachusetts) font de leur mieux pour aider les pêcheurs à protéger leurs bateaux de la tempête, ils apprennent que les deux pétroliers en détresse dérivent au large du cap Cod. Le premier maître Daniel Cluff, récemment nommé à la tête du poste de secours, envoie immédiatement à la rescousse le bateau de sauvetage CG 36500, sous le commandement du capitaine Bernie Webber. Ce dernier et son équipage de trois hommes se lancent dans une périlleuse mission à bord de leur embarcation sous-dimensionnée au regard des éléments déchaînés, un canot de bois de 11 mètres. Avant même qu'ils soient sortis du port, ils perdent le pare-brise et le compas de navigation.
Pourtant, les quatre hommes persévèrent, et malgré des vents de la force d'un ouragan, des vagues de 20 mètres de haut, des températures glaciales et une visibilité quasi nulle, ils parviennent miraculeusement à localiser le Pendleton. Au prix d'efforts inouïs, ils vont réussir à sauver 32 hommes sur les 33 que compte l'équipage. Affrontant la colère destructrice de l'océan, 36 hommes, réfugiés sur un bateau prévu pour 12, vont tout faire pour rentrer chez eux. (Walt Disney Company France)
(plus)Vidéo (33)
Critiques (8)
Une version action du romantique N'oublie jamais (!) sur les sauveteurs de guerre dans l'océan hivernal agité ? Les gars en doudounes d'hiver, à bord d'un bateau à moteur ouvert de 1952, naviguent à travers d'énormes vagues (comme plongeant sous l'eau) de l'océan hivernal avec une température juste au-dessus de zéro, à la recherche des survivants piégés d'un naufrage. Les seuls moments de tension lors de cette course effrénée surviennent lorsque nous glissons du bateau naufragé par une échelle - bien que nous devrions craindre constamment pour chaque personnage, en compatissant avec la jeune femme sur la terre ferme qui ne veut pas perdre sa moitié bien-aimée. Cependant, le film ne parvient pas à transmettre cela, il ne sait pas quoi faire avec les personnages et leur motivation, et la seule saveur qu'il laisse est une belle stylisation rétro romantique. ()
A film that is absolutely breathless, toiling like a barge on a stormy sea. The subdued and skilled camera technically stands up, but what is the point when the actors act between the naivety of the 1950s and the misinterpretations of Shakespeare (especially nominate Hamlet from Casey Affleck's engine room for the Golden Raspberry)? Wooden dialogues, a very vague structure and de facto the only exciting scene (overcoming the surf on the way from the port) result in probably the most boring disaster film, in which the film itself is the biggest disaster. The only thing that deserves some recognition is that Gillespie is trying a more civil approach than, for example, Wolfgang Petersen in The Perfect Storm... but what's the point when nothing but stupor comes from the film? ()
Not a big hit, but reliable entertainment. On the plus side, the story is based on true events and it's the world's largest small boat rescue, which is plenty to keep you interested. It's decently filmed, though a discerning viewer can tell that most of the film was shot in a studio, and the downside, at least for me, is the production company Disney, who deprived us of the grittiness, deaths and brutality... Well, what can you do. The film appeals to the fairer sex thanks to its light romance and the handsome Chris Pine is reliably handsome, so if you don't know what to take your girlfriend to, The Finest Hours could score. Story 6/10, Atmosphere 7/10, Gore 0/10, Visuals 7/10, Action 5/10, Suspense 7/10, Humor 0/10. Entertainment 7/10. 65%. ()
After Deepwater Horizon, it’s really tough to give this Disney crap a better review than two water test valves. The reason why I’m comparing these is that what Deepwater Horizon has in common with this flick is the story, water and the link to the disaster is more than obvious as well. But what’s more important is that the real disaster was taken care of here by digital effects and the characters are laughable and they would almost make you cry rather than provide a serious emotional basis for a good quality emotional experience. The Finest Hour is simply a bad film and on top of that it might be the first serious Disney movie. In this case, it’s a very bad Disney movie, which I think should be aired on Disney Channel on Sunday after lunch. But it definitely doesn’t deserve to be shown in cinemas. ()
Pine, who looks so embalmed that he could easily lie next to Vladimir Ilyich, embarks on a suicide mission. It's no wonder when a Massachusetts tracker waits for him on the shore, knowing everything best, but when he drives into a snowstorm, he doesn't even clean his side window. Half a tanker, one small boat, a pinch of tension, two teaspoons of sugar, a gray visual icing, and on top, a few artificial figures as decoration. That’s Craig Gillespie's recipe for baking a marine drama that would make Clooney’s gray wolf eyes glaze over at the helm. ()
Photos (40)
Photo © Walt Disney
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