200 espèces végétales et plantes médicinales
S’étendant sur 24 500 ha, la région de Djebel Aïssa, classée depuis 2003 parc national, fait l’objet d’études sur ses spécificités géographiques, ses reliefs, sa biodiversité et l’impact des changements climatiques. Cet espace, unique en son genre dans la région, choisi en 1946 au regard de ses bienfaits curatifs pour accueillir une structure sanitaire destinée à la prise en charge de certaines maladies respiratoires comme l’asthme, renferme une richesse floristique composée de plus de 200 espèces végétales et une diversité de plantes médicinales, précise la direction de l’environnement. Localisé dans une zone montagneuse de l’Atlas saharien, culminant à plus de 2320 m d’altitude, le parc sera au centre de travaux de recherches biologiques et climatiques et fera l’objet d’une mobilisation de moyens susceptibles de le préserver contre toute forme de dégradation, dont la pollution, le braconnage et les pâturages anarchiques.
Selon la conservation des forêts, le parc en question revêt une importance particulière dans la préservation de l’écosystème de la région des Hauts-Plateaux de l’ouest, menacée par les phénomènes de désertification et d’ensablement. Le parc renferme une richesse végétale, sylvicole notamment, à l’instar du pin d’Alep qui couvre une trentaine d’hectares, du pistachier, du cèdre de l’Atlas, de l’acacias et du peuplier. Il offre ainsi des paysages naturels féeriques le prédisposant à jouer un rôle important dans le développement touristique de la région. La conservation fait état, pour ce qui est de la richesse faunistique, de l’existence de plusieurs espèces animales, dont le fennec, l’hyène, le chat sauvage et 13 espèces de reptiles protégées.
Selon la fiche technique établie par la conservation des forêts, le parc enregistre une pluviométrie de 12 mm et de basses températures hivernales. Il s’étend sur des monts de roches sédimentaires et dispose de faibles ressources hydriques, hormis quelques sources de montagnes et cours d’oueds formant des points d’eau où des espèces volatiles viennent y nicher, le parc compte parmi ses sites naturels et archéologiques des grottes baptisées au nom de Djebel Aïssa et 16 stations de gravures rupestres.
S’étendant sur 24 500 ha, la région de Djebel Aïssa, classée depuis 2003 parc national, fait l’objet d’études sur ses spécificités géographiques, ses reliefs, sa biodiversité et l’impact des changements climatiques. Cet espace, unique en son genre dans la région, choisi en 1946 au regard de ses bienfaits curatifs pour accueillir une structure sanitaire destinée à la prise en charge de certaines maladies respiratoires comme l’asthme, renferme une richesse floristique composée de plus de 200 espèces végétales et une diversité de plantes médicinales, précise la direction de l’environnement. Localisé dans une zone montagneuse de l’Atlas saharien, culminant à plus de 2320 m d’altitude, le parc sera au centre de travaux de recherches biologiques et climatiques et fera l’objet d’une mobilisation de moyens susceptibles de le préserver contre toute forme de dégradation, dont la pollution, le braconnage et les pâturages anarchiques.
Selon la conservation des forêts, le parc en question revêt une importance particulière dans la préservation de l’écosystème de la région des Hauts-Plateaux de l’ouest, menacée par les phénomènes de désertification et d’ensablement. Le parc renferme une richesse végétale, sylvicole notamment, à l’instar du pin d’Alep qui couvre une trentaine d’hectares, du pistachier, du cèdre de l’Atlas, de l’acacias et du peuplier. Il offre ainsi des paysages naturels féeriques le prédisposant à jouer un rôle important dans le développement touristique de la région. La conservation fait état, pour ce qui est de la richesse faunistique, de l’existence de plusieurs espèces animales, dont le fennec, l’hyène, le chat sauvage et 13 espèces de reptiles protégées.
Selon la fiche technique établie par la conservation des forêts, le parc enregistre une pluviométrie de 12 mm et de basses températures hivernales. Il s’étend sur des monts de roches sédimentaires et dispose de faibles ressources hydriques, hormis quelques sources de montagnes et cours d’oueds formant des points d’eau où des espèces volatiles viennent y nicher, le parc compte parmi ses sites naturels et archéologiques des grottes baptisées au nom de Djebel Aïssa et 16 stations de gravures rupestres.
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