Yann Alibert
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Délégation Centre-Est (d) ( - Université de Berne |
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Yann Alibert, né en 1974, est un astrophysicien théoricien français, professeur assistant à l'Institut de physique de l'université de Berne (Suisse) depuis et chercheur au Centre national de la recherche scientifique (France) depuis .
Études
[modifier | modifier le code]Yann Alibert a étudié et effectué son doctorat à l'École normale supérieure de Lyon (France) entre 1993 et 2001[1].
Carrière scientifique
[modifier | modifier le code]Yann Alibert est chercheur au Centre national de la recherche scientifique (France) depuis [1].
Lors de l'assemblée générale d', Yann Alibert ainsi que Georges Meynet (de l'Observatoire de l'Université de Genève) ont été élus membres du comité de la Société suisse d'astrophysique et d'astronomie (SSAA)[2].
Depuis [1], Yann Alibert est également professeur assistant[1] au sein de la division de physique spatiale et des sciences planétaires de l'Institut de physique de l'Université de Berne (Suisse)[1],[3].
Lors de la phase 1 (-) du pôle de recherche national suisse PlanetS, Yann Alibert était responsable du sous-projet 5.1 « Structure globale des systèmes planétaire - Approche statistique »[4],[5] et de la gestion administrative et scientifique du réseau. Dans la phase 2 (depuis ), le sous-projet 5.1 est devenu le projet 2.5 « Formation et composition des planètes dominées par leur cœur »[6], subdivisé en deux parties : « modèles de formation des systèmes planétaire »[7] et « Apprentissage automatique et analyse statistique avancée »[8]. Dans la phase 3 (juin 2022-mai 2026), Yann Alibert est responsable d'un projet scientifique («Le système solaire vu comme un 'exosystème'»), de la communication, du soutien au missions de grande envergure, et toujours de la gestion administrative et scientifique du réseau.
Recherche
[modifier | modifier le code]Yann Alibert est connu pour être, avec ses collaborateurs (notamment Christoph Mordasini et Willy Benz), à l'origine du modèle de formation planétaire dit « modèle de Berne »., sur lequel il travaille depuis 2005. Il est membre de différents consortium scientifiques (CHEOPS[9], ESPRESSO[10]) et auteur de plus d'une centaine d'articles scientifiques[11].
Union astronomique internationale
[modifier | modifier le code]Yann Alibert est un membre actif de l'Union astronomique internationale. Au sein de celle-ci, il fait partie des divisions B « Équipements, technologies et sciences des données », C « Éducation, diffusion des connaissances et patrimoine », F « Systèmes planétaires et bioastronomie » et G « Étoiles et physique stellaire ». Au sein de la division F, il est en particulier membre des commissions 15 « Étude physique des comètes et planètes mineures », 16 « Étude physique des planètes et des satellites », 51 « Bio-astronomie » et 53 « Planètes extrasolaires » (WGESP, groupe de travail sur les planètes extrasolaires)[12]
Références
[modifier | modifier le code]- Yann Alibert, sur LinkedIn.
- Actualités sur le site de la Société suisse d'astrophysique et d'astronomie.
- Collabeurs scientifiques de la division de physique spatiale et des sciences planétaires de l'Université de Berne.
- Yann Alibert sur le site de PlanetS.
- structure of planetary systems – A statistical approach, PlanetS.
- Project 2.5: Formation and composition of core-dominated planets
- Planetary systems formation models, PlanetS.
- Machine learning and advanced statistical analysis, PlanetS.
- « CHEOPS - Exoplanets - UNIGE », sur www.unige.ch, (consulté le )
- « ESPRESSO, nouvelle génération de chasseur de planètes - Observatoire Astronomique - UNIGE », sur www.unige.ch, (consulté le )
- « NASA/ADS », sur ui.adsabs.harvard.edu (consulté le )
- Yann Alibert sur le site de l'Union astronomique internationale.
Liens externes
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- Ressources relatives à la recherche :