Rue Didot
14e arrt Rue Didot
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Situation | |||
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Arrondissement | 14e | ||
Quartier | Plaisance | ||
Début | 146, rue du Château | ||
Fin | 79, boulevard Brune | ||
Morphologie | |||
Longueur | 1 135 m | ||
Largeur | 24 m | ||
Historique | |||
Création | 1874 et 1884 | ||
Géocodification | |||
Ville de Paris | 2817 | ||
DGI | 2794 | ||
Géolocalisation sur la carte : Paris
Géolocalisation sur la carte : 14e arrondissement de Paris
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Images sur Wikimedia Commons | |||
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La rue Didot est une voie située dans le 14e arrondissement de Paris, en France. Elle relie le boulevard Brune à la rue du Château.
Situation et accès
[modifier | modifier le code]Origine du nom
[modifier | modifier le code]La rue doit son nom de la famille Didot, dynastie d'imprimeurs, éditeurs et typographes français.
Historique
[modifier | modifier le code]La partie de cette rue située entre la rue du Château et la rue du Moulin-Vert est une section de l'ancienne « rue du Terrier-aux-Lapins » située sur la commune de Montrouge avant son rattachement à la voirie de Paris en 1863. Cette rue longeait le domaine de l'ancien château du Maine disparu à la fin du XIXe siècle. Elle fut prolongée de la rue du Moulin-Vert à la rue d'Alésia en 1874.
Elle prend sa dénomination actuelle par décret du .
Par décret du , la rue Didot est prolongée de la rue d'Alésia au boulevard Brune en absorbant le « sentier des Mariniers ».
Elle donne aujourd'hui accès à la promenade Jane-et-Paulette-Nardal, construite en 2019, qui fait le lien entre la rue Didot et la rue Raymond-Losserand.
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
[modifier | modifier le code]Cette rue présente la particularité de donner accès à de nombreuses impasses ou villas et de traverser en surplomb l'ancienne ligne de Petite Ceinture, ce qui lui donne un aspect « campagne à Paris », tout à fait particulier.
- Une chanson, posthume, de Georges Brassens, qui habita longtemps dans le quartier, entre la rue Didot et la rue de Vanves, lui est consacrée (la rue de Vanves est l'actuelle rue Raymond-Losserand)[1]. La chanson a été enregistrée, en 1982, par Jean Bertola et reprise par Maxime Le Forestier, en 1996, sous le titre Entre la rue Didot et la rue de Vanves[2].
- No 19 : emplacement, entre 1850 et 1960, de l’entreprise Breguet. On y fabriquait des turbines et des moteurs[3].
- Nos 32-34 : cité Anne-Marie-Bauer et square Alberto-Giacometti, aux maisons de ville et immeubles bas.
- No 86 : villa Mallebay, impasse pittoresque.
- No 96 : emplacement de l'ancien hôpital de Broussais-la-Charité.
- No 99 : villa Duthy, toute droite, petite rue villageoise.
- No 105 : villa Jamot, pavillons verdoyants alignés le long d'une allée.
- No 119 : villa Collet, pavée et constituée de petites maisons de ville et d'immeubles anciens.
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Début de la rue des Thermopyles, côté rue Didot.
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Accès à la villa Mallebay.
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La rue franchit l'ancienne ligne de Petite Ceinture.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Entre la rue Didot et la rue de Vanves (paroles) », sur brassens-cahierdechanson.fr (consulté le ).
- Georges Brassens et Jean-Paul Liégeois, Oeuvres complètes: chansons, poèmes, romans, préfaces, écrits libertaires, correspondance, le Cherche midi, coll. « Voix publiques », (ISBN 978-2-7491-0834-6).
- « Petite histoire du 14e ».
2. Dans le site "Le bon maître me le pardonne..." vous trouverez la version espagnole de cette chanson: ↑Entre las calles de Didot y Vanves