Pomport
Pomport | |||||
L'église de Pomport. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Bergerac | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération bergeracoise (nouvelle) | ||||
Maire Mandat |
Anthony Castaing 2020-2026 |
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Code postal | 24240 | ||||
Code commune | 24331 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
732 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 37 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 46′ 49″ nord, 0° 25′ 07″ est | ||||
Altitude | Min. 38 m Max. 171 m |
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Superficie | 19,55 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Bergerac (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Sud-Bergeracois | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Pomport est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
[modifier | modifier le code]Généralités
[modifier | modifier le code]La commune de Pomport est située dans le sud-ouest du département de la Dordogne et dans l'aire d'attraction de Bergerac.
Le village de Pomport, à l'intersection des routes départementales 16E1 et 17, se trouve en distances orthodromiques, dix kilomètres au sud-ouest de Bergerac et douze kilomètres au nord d'Eymet.
La commune est également desservie par les routes départementales 14, 16 et 16E2.
Le sentier de grande randonnée GR 6 parcourt le territoire communal au nord et à l'ouest.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Pomport est limitrophe de sept autres communes.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Géologie
[modifier | modifier le code]Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Pomport est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e6b, se compose de molasses inférieures (faciès argileux dominant) (Bartonien supérieur continental). La formation la plus récente, notée Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles à actuelles. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 806 - Bergerac » et « no 830 - Eymet » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].
Ère | Période | Époque | Formations géologiques | |||||||||||
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Cénozoïque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
Holocène |
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Pléistocène |
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Néogène (2.58 - 23.03) |
non présent | |||||||||||||
Paléogène (23.03 - 66.0) |
Oligocène |
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Éocène |
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Paléocène | non présent | |||||||||||||
Mésozoïque (66.0 - 252.17) |
non présent | |||||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 538.8) |
non présent |
Relief et paysages
[modifier | modifier le code]Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 38 mètres[6] à l'ouest, là où la Gardonnette quitte la commune pour servir de limite entre celles de Cunèges et Gageac-et-Rouillac, et 171 mètres[6] au sud-ouest du lieu-dit le Chrisly[7].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[9]. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures[10],[11].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 19,55 km2[6],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 19,53 km2[3].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par la Gardonnette, le ruisseau de la Peyronnette, le Courbarieux, et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 33 km de longueur totale[16],[Carte 1].
La Gardonnette, d'une longueur totale de 24,6 km, prend sa source dans la commune de Bouniagues et se jette dans la Dordogne en rive gauche en limite de Gardonne et de Lamonzie-Saint-Martin, face à Saint-Pierre-d'Eyraud[17],[18]. Elle borde la commune au sud-ouest sur sept kilomètres, face à Sigoulès-et-Flaugeac et Cunèges.
Le ruisseau de la Peyronnette, affluent de rive droite de la Gardonnette, prend sa source dans le nord-est de la commune et la baigne en direction du nord-ouest sur plus de trois kilomètres et demi.
Autres affluents de rive droite de la Gardonnette, le Courbarieux prend sa source sur la commune et l'arrose sur plus de quatre kilomètres dont la majeure partie sert de limite naturelle au sud-est, face à Rouffignac-de-Sigoulès, ainsi qu'un ruisseau homonyme qui prend sa source au centre de la commune et l'arrose en direction de l'ouest sur près de trois kilomètres.
-
La Gardonnette en limite de Sigoulès-et-Flaugeac (à gauche) et Pomport.
-
Réseaux hydrographique et routier de Pomport.
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[19]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [20].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[21]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[22].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 841 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[23]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bergerac à 9 km à vol d'oiseau[24], est de 13,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 792,9 mm[25],[26]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[27].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Pomport est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[28]. Elle est située hors unité urbaine[29]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[29]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[30],[31].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (92,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (75 %), zones agricoles hétérogènes (9,9 %), forêts (7,3 %), prairies (6,5 %), zones urbanisées (1,3 %)[32]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Prévention des risques
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Pomport est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[33]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[34].
Pomport est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[35]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[36],[37].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[38]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[39]. 91,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[40].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1999 et 2018, par la sécheresse en 1992, 1995, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[33].
Toponymie
[modifier | modifier le code]En occitan, la commune porte le nom de Pompòrt[41].
Histoire
[modifier | modifier le code]Politique et administration
[modifier | modifier le code]Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Fin 2003, Pomport intègre dès sa création la communauté de communes des Coteaux de Sigoulès. Celle-ci fusionne avec l'ancienne communauté d'agglomération bergeracoise au pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.
Administration municipale
[modifier | modifier le code]La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[42],[43].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Justice
[modifier | modifier le code]Dans le domaine judiciaire, Pomport relève[46] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Bergerac ;
- du pôle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
- de la cour d'appel, du tribunal administratif et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[48].
En 2021, la commune comptait 732 habitants[Note 5], en évolution de −4,81 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Fête du village en juillet (40e édition en 2019[50]).
Économie
[modifier | modifier le code]Avec près de 60 % du territoire communal planté de vignes, les viticulteurs de la commune produisent des vins d'appellations monbazillac ou bergerac[51].
Emploi
[modifier | modifier le code]En 2015[52], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 356 personnes, soit 46,3 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (trente-trois) a augmenté par rapport à 2010 (vingt) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 9,3 %.
Établissements
[modifier | modifier le code]Au , la commune compte 110 établissements[53], dont quarante-six au niveau des commerces, transports ou services, quarante-trois dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, huit dans la construction, sept dans l'industrie, et six relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[54].
Entreprises
[modifier | modifier le code]Dans l'industrie, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « Somaref » implantée à Pomport (fabrication de machines agricoles et forestières) se classe en 42e position quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 5 950 k€[55].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Chapelle Saint-Mayme, des XIIe et XVe siècles, inscrite au titre des monuments historiques pour sa façade occidentale et son abside depuis 1974[56],[Note 6].
- Église Saint-Pierre-ès-Liens, XIXe siècle, que surmonte un étrange clocher crénelé.
- Château Bélingard, domaine viticole[57],[58].
- Manoir la Birondie, domaine viticole.
- Manoir de Caillevel, domaine viticole.
- Manoir de la Gironie, domaine viticole.
- Château Ladesvignes, domaine viticole.
- Château du Malveyran.
- Manoir de Montlong, domaine viticole.
- Château de Pécany, XIXe siècle[59].
- Château de Sanxet, XVe siècle, domaine viticole[60]. En 2012, il a servi de lieu de tournage du film Jappeloup[61]. Depuis 2018, les héritiers du domaine se disputent, notamment au sujet de la collection d'une cinquantaine de voitures anciennes et le frère aîné s'est autoproclamé gardien du domaine alors que la cour d'appel de Bordeaux a jugé en novembre 2022 qu'il était « occupant sans droit ni titre des lieux »[61].
- Anciens moulins à vent.
-
La chapelle Saint-Mayme.
-
Le clocher crénelé de l'église Saint-Pierre-ès-Liens.
-
Le pigeonnier du château Ladesvignes.
-
Le château de Pécany.
-
Ancien moulin à vent au milieu des vignes.
Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]Au sud-ouest, la Gardonnette borde le territoire communal sur plusieurs kilomètres. Sur deux tronçons (l'un compris entre les limites communales de Rouffignac-de-Sigoulès et Sigoulès, et l'autre entre les lieux-dits le Moulinot et le Grand Moulin, le cours d'eau et ses rives font partie d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I où pousse une plante rare, la fritillaire pintade, (Fritillaria meleagris) et fréquentée par trois espèces de chauves-souris : le Grand murin (Myotis myotis), le Minioptère de Schreibers (Miniopterus schreibersii) et le Rhinolophe euryale (Rhinolophus euryale)[62],[63].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes de la Dordogne
- Communauté d'agglomération bergeracoise (nouvelle)
- Liste des châteaux de la Dordogne
- Liste des demeures de la Dordogne
- Sentier de grande randonnée 6
- Dordogne (département)
- Périgord
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Il s'agit de la chapelle Saint-Mayme (et non Saint-Mayne), nom dérivé de saint Maxime, confirmé par la carte de randonnée de l'IGN no 1837O, ainsi que par l'ouvrage de l'Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 196, et par l'ouvrage de Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet et Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, Ouest-France, 1987, (ISBN 2-85882-842-3), p. 368.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Pomport » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
- « Carte géologique de Pomport » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Pomport », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
- « Notice associée à la feuille no 806 - Bergerac de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
- « Notice associée à la feuille no 830 - Eymet de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
- « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Repères géographiques du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Portrait du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Pomport », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Pomport », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
- « Confluence Gardonnette-Dordogne au nord de Monteton » sur Géoportail (consulté le 30 août 2022)..
- Sandre, « le Gardonnette »
- « SAGE Dordogne Atlantique », sur gesteau.fr (consulté le ).
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
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- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- M. W., « La fête du village célèbre son 40e anniversaire », Sud Ouest édition Bergerac/Sarlat, 3 juillet 2019, p. 18.
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- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 30.
- Site du Château Bélingard
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, p. 204, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X).
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, p. 265, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X).
- Thomas Jonckeau, « Héritage maudit en Dordogne », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 11.
- [PDF] Vallée de la Gardonnette, INPN, consulté le 25 décembre 2018.
- Carte de la ZNIEFF 720014276, INPN, consulté le 24 décembre 2018. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à gauche sur le globe terrestre bleu, descendre la valeur de la couche « Métropole : ZNIEFF1 » à 0 et augmenter l'opacité de la couche « Cartes IGN » à 1.