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Le Gua (Isère)

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Le Gua
Le Gua (Isère)
La mairie du Gua.
Blason de Le Gua
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Grenoble-Alpes Métropole
Maire
Mandat
Simon Farley
2020-2026
Code postal 38450
Code commune 38187
Démographie
Population
municipale
1 838 hab. (2021 en évolution de +1,43 % par rapport à 2015)
Densité 65 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 01′ 34″ nord, 5° 38′ 54″ est
Altitude 385 m
Min. 340 m
Max. 2 161 m
Superficie 28,4 km2
Type Petite ville
Unité urbaine Vif
(banlieue)
Aire d'attraction Grenoble
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pont-de-Claix
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Le Gua
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Le Gua
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Le Gua
Liens
Site web www.legua-mairie.fr

Le Gua [lə ɡa] est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Autrefois rattachée à la province du Dauphiné, la commune compte trois clochers distants de 4 km : Les Saillants du Gua au plus bas, le village de Prélenfrey au plus haut, et le village de Saint-Barthélémy à mi-chemin. Les hameaux des Amieux (les Petits Amieux et les Grands Amieux) se trouvent au-dessus du village des Saillants, tandis que le hameau de la Pierre, au-dessus de la fontaine ardente, est à mi-chemin entre Saint-Barthélémy et la commune de Miribel-Lanchâtre.

Les habitants des Saillants sont les Saillandous (féminin : Saillandounes), ceux de Prélenfrey les Palenchous (féminin Palenchounes)[réf. nécessaire].

Géographie

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Situation et description

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La vallée de la Gresse, aux environs de la fontaine ardente du Gua, au XIXe siècle, illustrée par Victor Cassien (1808 - 1893).

La commune, traversée par le 45e parallèle nord, est de ce fait située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).

La commune se situe au sein de la vallée de la Gresse, et fait partie du Balcon Est du Vercors, dans le parc naturel régional homonyme. Au-dessus du village des Saillants on peut apercevoir le Bec de l'Échaillon.

Le village de Prélenfrey est surplombé par le rocher de l'Éperrimont, appelé plus communément « l'Indien » de par sa forme lorsqu'on le regarde de profil. On peut aussi y admirer les Arêtes du Gerbier, qui s'étend alors des rochers dits des Deux Sœurs (Agathe et Sophie) en passant par le pas de l'Œille, le mont Gerbier puis le col Vert jusqu'au pic du Cornafion.

L'étagement de la commune permet de découvrir des paysages et des climats variés.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes du Gua sont Château-Bernard (jouxtant Prélenfrey avec le col de l'Arzelier), Miribel-Lanchâtre (jouxtant Saint-Barthélemy), Vif (jouxtant les Saillants), Villard-de-Lans, et Saint-Paul-de-Varces.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 013 mm, avec 9,5 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villard-de-Lans », sur la commune de Villard-de-Lans à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 8,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 270,0 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Hydrographie

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La partie orientale de la commune est traversée par le torrent de la Gresse[7].

Voies de communication et transports

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La commune est desservie par le réseau SEMITAG (transports de l'agglomération grenobloise), avec les lignes de bus 25, 26 et 44.

Au , Le Gua est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Vif[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[10]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (73,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (73,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (62,8 %), prairies (11,9 %), zones agricoles hétérogènes (9,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (5,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,4 %), zones urbanisées (3,4 %), terres arables (1,5 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et écarts

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Les Saillants du Gua

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Avec plus de mille habitants, c'est le plus important des trois villages. Il a su garder des activités (commerces, un marché hebdomadaire, de nombreuses associations) et reste un village animé et accueillant.

Saint-Barthélemy

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Le hameau de Saint-Barthélemy du Gua.

Ce village de moyenne montagne est situé à un carrefour dans la commune (entre Prelenfrey et les Saillants), mais aussi avec d'autres villages comme Miribel-Lanchâtre et le Trièves.

Prélenfrey

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Le plus haut des trois villages est installé au pied des montagnes du Vercors, au milieu de prairies et de forêts. La proximité avec la nature et plus particulièrement avec la montagne, attire chaque année des promeneurs à pied, à vélo, à cheval ou même à ski lorsque l'enneigement le permet.

Les lieux-dits de Prélenfrey sont :

  • Les Vincents,
  • Balayère,
  • Les Faure,
  • Les Pissottes,
  • Champ Devant,
  • Le grand Essart.

Risques naturels et technologiques

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Risques sismiques

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L'ensemble du territoire de la commune du Gua est situé en zone de sismicité no 4 (sur une échelle de 1 à 5), mais à proximité de la bordure occidentale de la zone no 3[14].

Terminologie des zones sismiques[15]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 4 Sismicité moyenne accélération = 1,6 m/s2

Autres risques

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Gua ou ga constitue la variante en langue d'oc du français « gué ». Il faut se souvenir que, jusqu'au XIIIe siècle, les ponts étaient fort rares et que les gués revêtaient donc une importance considérable pour les communications. Ils constituaient, avec les bacs, les seuls moyens de faire franchir une rivière aux hommes et aux marchandises.

Au Moyen Âge, Le Gua est le siège d'une seigneurie. L'enquête de 1339, signale au lieu-dit le Groin la présence d'une maison forte : « Hugo de comeriis domicellus de groyno » décrit comme : « quoddam molario forti et pulcro »[16]. Il en reste des ruines.

Les seigneurs du Gua attirèrent la renommée sur leur blason gironné d'or et de gueules de huit pièces (dans ses mémoires Brantome fait l'éloge de Louis de Bérenger, surnommé le « brave du Gua », favori de Henri III).

Quand la Révolution éclate, M. de Bérenger est reconnu comme « un maître juste et bon », mais ce sont ses agents qui se montrent encore « avides et intraitables » avec les habitants du Gua, qui ont bien du mal à payer les rentes au seigneur. Le , l'Assemblée nationale décide de liquider les arrérages au Gua. L'année suivante la première municipalité du Gua est formée.

Époque contemporaine

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La fontaine ardente au XIXe siècle par Victor Cassien (1808 - 1893).

Industrie du ciment

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Comme le reste de la vallée de la Gresse, Le Gua est touché dans la seconde moitié du XIXe siècle par la ruée vers l'or gris et le développement de l'industrie cimentière : entre les années 1850 et 1860, et parmi les principaux sites d'extraction, se trouvent ceux de la « Roche du Diable », près de Saint-Barthélémy, de Revolleyre au Gua, et du Rif-Collet, du Champa et de Champrond entre le Genevrey et les Saillants. La société Vicat, implantée au Genevrey-de-Vif depuis 1853, extrait en partie sur Champrond. Le site du Champa, lui, est exploité par la société Rostan et Berthelot dirigée par Anatole Berthelot, qui s'y installe dès 1882[17],[18]. Républicain engagé, Berthelot devient maire du Gua en 1884, et se fait principal concurrent de Vicat jusqu'à l'absorption de son entreprise par celui-ci en 1920[19]. Le , une grève éclate parmi les ouvriers des cimenteries, qui réclament une meilleure rémunération : des piquets de grèves sont mis en place, mais Berthelot, inflexible, ne cède à aucune revendication et refuse de réintégrer les grévistes, qui sont obligés de quitter la vallée[20].

En 1907, une longue querelle à propos de l'appartenance du hameau du Champa, sur les contreforts d'Uriol, reprend. Cette « affaire de la section J » voit le Champa, possession de Vif et section J du cadastre, revendiqué par la commune du Gua, toujours sous la municipalité du cimentier Anatole Berthelot. Une pétition adressée au Préfet de l'Isère est alors faite par les habitants du Gua pour l'annexion et, après l'ouverture d'une enquête qui tranchera en leur faveur, le Champa reviendra au Gua en 1908, ajoutant 950 personnes au village[21].

Seconde Guerre mondiale

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Durant la Seconde Guerre mondiale, les habitants de Prélenfrey ont sauvé tous les juifs qui s'y étaient cachés durant le conflit. M Guidi a reçu la médaille des « Justes parmi les nations ». Le village entier a été également honoré de cette distinction[22].

Politique et administration

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Administration municipale

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2001 Alain Piccione SE  
2001 2020 Christophe Mayoussier DVG Agent technique
2020 En cours Simon Farley SE  
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

En 2021, la commune comptait 1 838 habitants[Note 4], en évolution de +1,43 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7456588717939141 0031 0471 0631 087
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0421 0041 1031 0461 1461 1591 2001 142990
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0141 0081 1331 0641 2191 2411 1271 0031 231
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 2341 1201 1351 3151 5051 7131 8371 8551 839
2017 2021 - - - - - - -
1 7791 838-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Équipement sportif et culturel

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Historiquement, le quotidien à grand tirage régional Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de Grenoble-Sud, un ou plusieurs articles à l'actualité de l'agglomération, du canton, quelquefois de la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

La communauté catholique du Gua fait partie de la paroisse catholique « Saint Loup » au sein du doyenné des « Montagnes du Sud » du diocèse de Grenoble-Vienne[27].

Chacun des trois villages répond différemment à son environnement en installant des activités diverses (tourisme, commerce, agriculture) et un habitat particulier.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Patrimoine religieux

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Patrimoine civil

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La fontaine ardente du Gua.

Patrimoine naturel

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  • Le Tichodrome, association française de protection de la faune sauvage.

Personnalités liées à la commune

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  • M. André Guidi, qui a reçu la médaille des « Justes parmi les nations ».
  • Jean Foillard (1918-1944), personnalité du scoutisme et résistant, fusillé avec Léon Jail le 23 juillet 1944 à Saint Barthelémy du Gua.
  • Lionel Terray (1921-1965), brillant alpiniste grenoblois. Le , il chute sur les arêtes du Gerbier. La balade du périmètre permet au randonneur de se rendre au pied de la voie qui lui a coûté la vie.

Héraldique

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Blason de Gua (Le) Blason
Mantelé : d'or au dauphin d'azur crêté, barbé, loré et peautré de gueules, adextré du logo du parc naturel régional du Vercors, et d'azur à la montagne au naturel[30].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Vif, il y a une ville-centre et une commune de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Le Gua et Villard-de-Lans », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Villard-de-Lans », sur la commune de Villard-de-Lans - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Villard-de-Lans », sur la commune de Villard-de-Lans - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. Sandre, « La gresse [W28-0400] - Cours d'eau selon la version Carthage 2017 », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de Vif », sur insee.fr (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Grenoble », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
  15. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  16. Archives départementales de l'Isère, B 3120, f° 130 v°: Annick Ménard-Clavier, doctorante à l'EHESS, Les maisons fortes du Grésivaudan au Moyen Âge, mémoire pour l'obtention du DEA, sous la direction de Jean-Marie Pesez, EHESS, Lyon, 1996.
  17. Yves Armand et Jean-Claude Michel, Histoire de Vif, Mairie de Vif, , 292 p. (ISBN 978-2-9528111-0-1), 2e partie : chapitres particuliers, « L'Industrie dans le pays vifois », p. 207-221
  18. Jean-Gaël Barbara, Baudouin Lismonde, Cécile Bouche et Colette Allibert, « Histoire d’une cimenterie en dauphiné : L’usine de La Grange à Vif (38450, Isère) », Revue d'histoire des Amis de la Vallée de la Gresse et des environs, no 89,‎ (ISSN 2262-225X, lire en ligne)
  19. « La révolution industrielle », sur Le Gua - mairie
  20. Yves Armand, Anathole Berthelot, Cimentier du Gua et Homme Politique, Éditions de Belledonne, , 148 p.
  21. Yves Armand et Jean-Claude Michel, Histoire de Vif, Mairie de Vif, , 292 p. (ISBN 978-2-9528111-0-1), 1ere Partie, III : Le 20ème siècle, d'une guerre à une autre, « L'affaire de la section " J " », p. 131-132
  22. (David Klugman 1995).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Site diocese-grenoble-vienne.fr, page sur la paroisse Saint-Loup.
  28. Site de la paroisse Saint-Loup Isére.
  29. a b c d e f et g Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), pp. 313-318.
  30. « Site de Gua », sur legua-mairie.fr (consulté le ).

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Bibliographie

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  • (en) David Klugman, The conspiracy of the righteous : The silence of the village of Prélenfrey-du-Guâ saved Jewish children and adults in 1944, Nîmes, Lacour éditeur, , 125 p. (ISBN 2-86971-860-8, BNF 35798359)

Article connexe

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Liens externes

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