iBet uBet web content aggregator. Adding the entire web to your favor.
iBet uBet web content aggregator. Adding the entire web to your favor.



Link to original content: http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques-Christian_Paulze_d'Ivoy
Jacques-Christian Paulze d'Ivoy — Wikipédia Aller au contenu

Jacques-Christian Paulze d'Ivoy

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Jacques-Christian Paulze d'Ivoy
Fonctions
Pair de France
-
Préfet de la Nièvre
-
Préfet de l'Aisne
-
Préfet de la Vendée
-
Préfet du Rhône
-
Préfet de l'Ardèche
-
Conseiller d'État
Biographie
Naissance
Décès
(à 68 ans)
Château dit l'Oratoire de Courtiras (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Famille
Enfant
Autres informations
Distinction
Archives conservées par

Jacques-Christian Paulze d'Ivoy (, Paris - , château de Courtiras), est un homme politique français.

Petit-fils de Jacques Paulze, il entre dans l'administration en 1809 et devient membre du Conseil d'État.

Il est en 1817, membre de la commission des liquidations des créances étrangères avec les barons Edouard Mounier et Abdon-Frédéric Hely d'Oissel.

Il assure successivement les fonctions de préfet de l'Ardèche de 1819 à 1823, du Rhône de 1830 à 1831, de la Vendée de 1833 à 1841, de l'Aisne de 1841 à 1842 et de la Nièvre de 1842 à 1843.

Conseiller d'État, il est admis à siéger à la Chambre des pairs le .

Il épouse Agathe de La Poype, fille de Jean François de La Poype ( )[3].

Il est inhumé au Cimetière de la Tuilerie à Vendôme.

Références

[modifier | modifier le code]
  1. « http://recherche-archives.vendee.fr/archive/fonds/FRAD085_21J/view:fonds » (consulté le )
  2. « https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/UD/FRAN_IR_001513/d_923 » (consulté le )
  3. Gustave de Rivoire de La Bâtie, Armorial de Dauphiné contenant les armoiries figurées de toutes les familles nobles et notables de cette province, accompagnées de notices généalogiques complétant les nobiliaires de Chorier et de Guy Allard, Lyon, Imprimerie Louis Perrin (réimpr. 1969 (Allier - Grenoble)) (1re éd. 1867), 821 p. (lire en ligne), p. 556-558.

Fonds d'archives

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]