Discussion:Mercenaire

définition de mercenaire selon le droit de la guerre

Protocole additionnel aux Conventions de Genève du 12 août 1949 relatif à la protection des victimes des conflits armés internationaux (Protocole I), 8 juin 1977. Article 47 - Mercenaires

1. Un mercenaire n'a pas droit au statut de combattant ou de prisonnier de guerre.

2. Le terme «mercenaire» s'entend de toute personne :

a) qui est spécialement recrutée dans le pays ou à l'étranger pour combattre dans un conflit armé ;

b) qui en fait prend une part directe aux hostilités ;

c) qui prend part aux hostilités essentiellement en vue d'obtenir un avantage personnel et à laquelle est effectivement promise, par une Partie au conflit ou en son nom, une rémunération matérielle nettement supérieure à celle qui est promise ou payée à des combattants ayant un rang et une fonction analogues dans les forces armées de cette Partie ;

d) qui n'est ni ressortissant d'une Partie au conflit, ni résident du territoire contrôlé par une Partie au conflit ;

e) qui n'est pas membre des forces armées d'une Partie au conflit ; et

f) qui n'a pas été envoyée par un Etat autre qu'une Partie au conflit en mission officielle en tant que membre des forces armées dudit Etat.
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par Veturiciklo (discuter), le 29 mars 2015 à 17:38 (CEST)

Troupes suisses

Il y a une incohérence à proposes des unités régulières suisses au service d'états étrangers. Comme dit au début, la Garde suisses pontificale n'est pas une unité de mercenaires, or plus loin on dit que c'est la seule unité mercenaire autorisée par la Suisse depuis 1859. Plus généralement, les unités suisses constituées, intégrées aux forces armées des états et faisant l'objet de traités entre ces états et les cantons suisses ne correspondent pas à des mercenaires, notamment car l'argent n'est pas leur seule motivation. Ainsi des Cent-Suisses, Gardes suisses et régiments de lignes suisses au service de la France.

Suisses et légionnaires

Effectivement, il faut faire attention à distinguer les légionnaires français et les troupes suisses ou équivalentes (Gurkhas) des mercenaires. Le texte de la convention de Genève cité plus haut est clair pour ce qui concerne la rémunération et l’appartenance à une armée régulière constituant l'une des parties notamment. Là il s'agit bien de troupes régulières officiellement membres des forces armées françaises, pontificales, britanniques, etc., qui en portent l'uniforme, relève de sa justice, et ne sont pas payées de manière anormale comparé à leurs collègues. S’ajoute à ça la règlementation du recrutement suisse arrêtées entre des états. Pour la Légion, peut peut s'étonner de ne pas mentionner, pour ceux qui en font des mercenaires, le fait que des pays comme les Etats-Unis engagent des résidents étrangers au seins de leurs armées. On pourrait aussi citer les volontaires étrangers de la RAF pendant la Guerre (Français Hors FFL) y compris provenant de pays non belligérants (Américains notamment). --Lucius Cornelius (discuter) 22 août 2016 à 21:40 (CEST)

Mercenaires suite

"Depuis 1859, la Garde suisse pontificale est la seule force mercenaire autorisée par le droit suisse." C'est contradictoire avec ce qui est dit plus haut et à avec la convention de Genève!

Une fois de plus, tout soldat étranger n'est pas un mercenaire!

--Lucius Cornelius (discuter) 25 novembre 2017 à 23:18 (CET)

Question : la garde écossaise des rois de France (depuis Charles VII au moins) peut-elle être considérée come une « bande », au sens médiéval, de mercenaires ? JC.Raoult (discuter) 3 avril 2020 à 15:27 (CEST)

Mercenaires

Mon nn et Daryous Kingked Vous donne une contrat Le travail et déjà fait Se pas lapain continue De parler Daryous kinked (discuter) 31 mars 2020 à 19:06 (CEST)