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Constantin X Doukas

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Constantin X Doukas
Empereur byzantin
Image illustrative de l’article Constantin X Doukas
Histaménon de Constantin X.
Règne
-
(7 ans, 5 mois et 28 jours)
Période Doukas
Précédé par Isaac Ier Comnène
Co-empereur Michel VII Doukas (1059-1078)
Constance (1060-1078)
Suivi de Romain IV Diogène
Michel VII Doukas
Biographie
Naissance
Décès (61 ans)
(Constantinople)
Père Andronic Doukas
Épouse Inconnue Dalassène
Eudocie Makrembolitissa
Descendance Michel VII Doukas
Anne
un fils
Andronic
Constance
Théodora (fille) épouse du Doge Venitien Domenico Selvo
Zoé

Constantin X Doukas (grec : Κωνσταντίνος Ιʹ Δούκας), né vers 1006 et mort le , est un empereur byzantin du au . Il est le fondateur de l'éphémère dynastie Doukas qui régna sur l'empire de 1059 à 1081. D'un caractère affable et peu autoritaire, il s'appuya pour gouverner sur son épouse, son frère Jean et son ministre Michel Psellos, renversant les réformes mises en place par son prédécesseur, Isaac Ier, lesquelles avaient suscité la haine de la noblesse civile et de l'Église et conduit à son renversement. Sur le plan extérieur, Constantinople perdit aux mains des Normands ce qui lui restait de possessions en Italie, pendant que dans les Balkans, les Magyars occupaient Belgrade et qu'en Asie mineure, ses troupes subirent plusieurs défaites contre celles du sultan seldjoukide Alp Arslan.

Famille et premières années

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Principales régions de l'Anatolie byzantine peu après l'an mil.

Le futur empereur Constantin X appartenait à la famille des Doukas, riche famille de propriétaires terriens en Paphlagonie (Asie mineure)[1],[2].

On sait très peu de choses sur les débuts de sa carrière, si ce n'est qu'il a été emprisonné par Jean l'Orphanotrophe, ministre de Michel IV, pour avoir soutenu un rebelle. Puis, il apparaît parmi les partisans d'Isaac Ier (r. 1057-1059), lesquels se coalisent pour renverser Michel VI (r. 1056-1057) en 1057. S'il se dit militaire, rien n'atteste qu'il ait occupé un quelconque poste dans l'armée[3].

Psellos qui le vénérait et avait contribué à son élévation le présente comme un homme modeste et effacé, replié sur lui-même et détestant la gloire du pouvoir : « Donc, il voulait rester replié en lui-même et il méprisait exagérément les dignités magnifiques ; il se vêtait de façon assez négligée et s'arrangeait d'une façon assez rustique[4]. » Son premier souci était de « mettre de l'équité et du bon ordre dans les affaires, de couper court à la cupidité et d’introduire la modération et la justice [5]. »

Beaucoup moins louangeur, Jean Zonaras affirme d'abord que ce n'était pas un « pur » Doukas, mais que la branche mâle de la famille étant éteinte, il n'y appartenait que par une branche matrilinéaire[6]. De même que Michel Attaleiatès, il lui reproche son avarice et son attachement à l'argent qui le conduiront à négliger l'armée[7].

Tous les chroniqueurs de l'époque s'entendent toutefois pour dire qu'il était extrêmement pieux, détestait l'injustice et se refusa toujours à imposer les châtiments corporels qui étaient courants à cette époque[8], [9],[10].

Lorsque le général Constantin Dalassène, dont il avait marié la fille[N 1], fut emprisonné sur ordre de Jean l'Orphanotrophe à la suite d'une révolte à Antioche dont il avait été gouverneur, Constantin fut lui aussi brièvement emprisonné en 1034 et dut se retirer sur ses terres[11],[12],[13].

On ne le voit réapparaître qu'en 1057 lorsque, à la suite des insultes proférées contre Isaac Ier et Katakalôn Kékauménos par Michel VI[14], les généraux d'Asie mineure complotèrent pour renverser celui-ci. Après avoir contacté Nicéphore Bryenne, les généraux Romain Skléros, Michel Bourtzès, Nicéphore Botaniatès et les fils de Basile Argyros se réunirent à Gounaria en Paphlagonie pour proclamer un nouvel empereur. Leur premier choix semble s'être porté sur Constantin Doukas, mais celui-ci refusa l'offre, préférant céder la place à Isaac Comnène et prendre le deuxième rang [15].

L’Empire byzantin en 1045.

Arrivé au pouvoir, Isaac s’était hâté de récompenser ses partisans : son frère Jean fut nommé domestique des Scholes (armée d'Occident) et reçut le titre de curopalate, titre qui fut également accordé à Kékauménos et Bryenne[16],[17]. Son allié des premières heures, Constantin, fut fait « césar », donc numéro deux du régime et héritier présomptif du trône[18]. On le retrouve près du lit de mort de l'empereur, « tout rougissant et les yeux pudiquement baissés, comme à son habitude, […] les mains cachées sous son vêtement, selon la coutume [19] ».

Son fils unique, Manuel, étant décédé, l'empereur Isaac devait désigner son successeur. Contre l'avis de l'impératrice Catherine qui le suppliait de conserver le pouvoir[20] Isaac confirma alors l'élévation de Constantin au trône : « Déjà lorsque je (Isaac) fus choisi pour être empereur, c'est toi que je regardais comme le plus imposant de nous deux et comme celui à qui convenait le mieux l'appareil impérial[19].

Presque immédiatement, toutefois, l'empereur semble s'être ravisé : ce grand intellectuel, charmant et apprécié de tous mais sans grande fermeté aurait-il l'énergie de poursuivre les réformes que lui-même avait instaurées ? Dans un moment de rémission, Isaac aurait fait part de ses doutes à son ami et confident Psellos, lequel pour mettre fin aux hésitations de l'empereur, aurait dès le lendemain fait asseoir Constantin sur le trône, le chaussant des bottines de pourpre, signe de l’autorité impériale, avant de le présenter au Sénat et aux officiers de l'armée[21],[N 2].

L'épouse d'Isaac Comnène, l'impératrice Catherine, continua à vivre au Palais et son nom était même acclamé avant celui de Constantin Doukas. Ce règne conjoint ne dura cependant que quelque temps après quoi elle se retira avec sa fille, Marie, au monastère du Myrelaion sous le nom de Xénè (Hélène)[22].

Politique intérieure

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Devenu empereur à l'âge de cinquante-trois ans, Constantin s'appuya pour gouverner sur son frère, Jean Ier Doukas, sur Psellos et sur son épouse, Eudocie Makrembolitissa, nièce du défunt patriarche Michel Ier Cérulaire[23],[24].

Soucieux d'éviter l'hostilité de la bureaucratie civile, de l'Église et de la population qu'avait value à Isaac ses réformes trop rapides et impopulaires, Constantin se hâta d'abolir les mesures de son prédécesseur et de restaurer dans leurs rangs les personnes qui avaient été ou bien destituées ou dont le rang (et les émoluments afférents) avaient été réduits. Résultat : il échappa de peu, quelques mois plus tard, à une tentative de coup d'État mené par le préfet de Constantinople qui voulait continuer l'entreprise commencée par Isaac[25],[24]. Devant faire des économies, il permit aux militaires de rejoindre les rangs de l'administration civile[26]. Et pour se concilier l'Église, il fit de généreux dons à divers monastères, ce qui requit de nouvelles taxes, lesquelles devaient inspirer une rébellion en 1066 dans le nord de la Grèce[27],[28].

Un de ses principaux soucis sera l'administration de la justice, présidant lui-même divers procès : « Il se tourna vers le jugement des procès […] Il se fit dur pour les fauteurs d'injustice, tandis que pour leurs victimes, il se montrait plein d'affabilité et de bienveillance[29]. Détestant les mutilations qui avaient cours jusque-là, il s'abstint de tout châtiment corporel, menaçant violemment, pour inspirer la crainte et ne pas avoir à sévir ultérieurement[30]. Lors même de la tentative de coup dirigée contre lui, nombre de rebelles furent exilés et leurs propriétés confisquées, mais aucun ne fut exécuté[31].

Tout comme son prédécesseur, qui en deux ans n'avait pas eu le temps de rétablir complètement les finances de l'État, Constantin X dut faire face à une situation financière difficile. Se refusant à dévaluer la monnaie comme l'avaient fait les derniers Macédoniens (avec les conséquences inévitables sur le pouvoir d’achat de l'aristocratie et des propriétaires-fermiers), il tenta, fidèle à son caractère, d'être un « administrateur du juste milieu »[10],[32] tentant de pratiquer une politique d'austérité tout en générant de nouveaux revenus. Ainsi, après sept ans de règne, il devait laisser les coffres de l'État « non pas tout à fait pleins, ni même pleins jusque vers les bords, mais pleins à moitié » [10].

Politique étrangère

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La fin de l'Italie byzantine.

Cette politique devait le conduire à négliger l'armée, principal composante du budget de l'État, à un moment où l'Empire était attaqué sur tous les fronts. Psellos lui-même dut reconnaître que sur ce point, « il manqua le but »[33]. Moins obséquieux que Psellos, Michel Attaleiatès l'accusera d'avoir licencié les soldats les mieux entraînés et les plus compétents, se contentant de ceux qu'il fallait payer le moins cher et négligeant de les équiper adéquatement[34].

Sous son règne, ce qui restait de l'Italie byzantine, prise entre les Normands, la papauté et les États lombards, devait pratiquement disparaître. Arrivés en Italie vers 1035, les frères Guillaume, Drogon et Robert de Hauteville (dit Robert Guiscard) de la maison normande de Hauteville, avaient conquis l'Apulie et la Calabre. Grâce à une entente avec le pape en 1059, ils purent se diriger vers le sud de l'Italie conquérant progressivement l'ensemble des possessions byzantines de la région. En 1060, ils s'empareront de Rhêgion (aujourd’hui Reggio de Calabre, face au détroit de Messine) et de Tarente (dans les Pouilles). Profitant de l'absence de Robert Guiscard parti conquérir la Sicile, l'empereur dépêcha une armée reconquérir Tarente et la Longobardie, mais Robert Guiscard devait recouvrer le territoire dès son retour en 1062. Il ne restera plus que la région côtière autour de Bari (plus au nord dans les Pouilles) dont Robert commencera le siège une année après la mort de Constantin X et dont la reddition en 1071 marquera la fin de la présence byzantine en Italie[35],[36],[37].

Les royaumes d'Arménie au XIe siècle.

En 1064, la scène se porta en Asie mineure où le nouveau sultan, Alp Arslan (r. 1064-1072), après avoir établi son pouvoir chez lui, décida de profiter de la faiblesse de l'Empire byzantin et de marcher sur l'Arménie, conquérant d'abord Ani (aujourd’hui dans la province turque de Kars au sud de la frontière arménienne) occupée par les Byzantins depuis 1045 [38]. Contrairement aux raids précédents qui visaient surtout à accumuler du butin, il s'agissait cette fois d'une guerre de conquête. Les Turcs poursuivirent alors leur avance vers la Géorgie où le prince de Tashir se soumit. La seule consolation pour les Byzantins fut que le prince du Vanand, à l'ouest d'Ani et dont la capitale était Kars, craignant d'être la prochaine victime, décida de céder son territoire à l'empereur en échange de propriétés en Cappadoce pour lui et sa famille. Toutefois, après son départ, la population se soumit aux Turcs[24],[39].

En Europe cette fois, également en 1064, une autre peuplade turque, les Oghouzes (Oğuzlar), confédération vivant au nord de la mer d'Aral dans l'actuel Kazakhstan, commencèrent leur migration en direction du sud et de l'Europe centrale, franchirent le Danube par milliers, défaisant les troupes byzantines sur leur passage jusqu'en Thessalie. Humilié, l'empereur conduisit une minuscule armée jusqu'en Thrace. Heureusement pour lui, les Oghouzes qui commençaient à succomber sous le poids d'épidémie ainsi que des attaques des populations locales petchénègues et bulgares se retirèrent ; Constantin put alors retourner à Constantinople célébrer sa victoire tout en acceptant qu'une partie de ceux-ci s'installent en Macédoine comme l'avaient fait les Petchénègues[40],[41],[24].

La fin du règne

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Diptyque d'ivoire dans lequel on a longtemps cru identifier le Christ couronnant Eudocie et Romain IV ; on croit maintenant qu'il pourrait s'agir de Romain II (938-963) et de sa première épouse qui prit le nom d'Eudocie (945-949).

L'empereur ne devait pas survivre très longtemps à cette victoire. Tombé malade en , il devait décéder le 22 ou [42], non toutefois sans avoir fait promettre à l'impératrice Eudocie de ne pas se remarier, pour éviter que, comme ce fut le cas des derniers Macédoniens, un nouveau mariage et des enfants qui en seraient issus ne viennent compromettre l'héritage de son fils, le futur Michel VII Doukas. L'impératrice dut prêter serment devant le patriarche, le césar, ses enfants et le sénat, en invoquant « le ciel, la terre et tous ses éléments, faisant appel à la Trinité, à la Théotokos, à tous les anges, aux prophètes, aux apôtres, aux martyrs et à tous les saints » qu'elle ne songerait même pas à se remarier; après quoi les sénateurs et le patriarche durent contresigner son serment[43].

Les craintes de Constantin pour son fils étaient probablement fondées. Celui-ci était né avant l'avènement de l'empereur et n'était donc pas « porphyrogénète » contrairement à son deuxième fils, Constance[44],[N 3]. Malheureusement, et quoi qu'en dise Psellos, le jeune homme qui avait été fait co-empereur en même temps que son frère Constance peu après l'avènement de Constantin était alors âgé d’environ dix-neuf ans et donc en âge de régner, mais n'avait guère les qualités intellectuelles de son père[N 4].

Après avoir fait face à un complot ourdi par le doux de Sardica, Romain IV Diogène (r. 1068-1072)[45], l'impératrice fut libérée de son serment par le patriarche Jean VIII Xiphilin. Considérant que la seule façon de mettre le trône à l'abri d'un coup d'État était d'épouser un militaire disposant d'une grande autorité et capable de s'imposer pour protéger à la fois ses fils, Michel, Andronic et Constance, et les frontières à nouveau menacées par les turcs Seldjoukides, Eudocie, qui ne craignait pas les défis, épousa ce même Romain le mais, se souvenant sans doute du précédent créé par Théodora, résolut de conduire elle-même les affaires de l'État[46],[28],[47]. Les autres autorités de l'Empire, notamment le patriarche et le Sénat byzantin, ne s'opposèrent pas à la rupture du serment. Conformément à la tradition politique byzantine, c'était le bien public qui devrait prévaloir sur les droits dynastiques que voulaient protéger Constantin par ce serment. Plus encore, la perception d'une jalousie du défunt empereur derrière ce serment termina de les convaincre que sa validité était contestable.

Quant à Constantin X, il fut inhumé au monastère Saint-Nicolas un peu en dehors de la Porte d'Or de Constantinople[48].

Généalogie des Doukas

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Andronic Doukas
tourm. Armén.
(792)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Théophile
empereur
(813 † 842)
 
N Doukas
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Alexis Mousélé
magistros, césar
(836-838)
 
Maria
(† 838)
 
Andronic Doukas
Général
(855)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Maria
(ca.838 † 855)
"fille de césar"
 
 
 
N Doukas
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Andronic Doukas
dom. des scholes
(903)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
N Doukas
 
 
 
 
 
Constantin Doukas
dom. des scholes
(† 913)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Michael
Doukas
 
Gregoras
Doukas
 
Étienne
Doukas
 
Ne
Doukas
 
Jean
Lydos
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Andronic Doukas Lydos
général
(976)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Christophe Doukas
général (976)
 
Bardas Doukas
général (976-1016)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Andronic Doukas
stratège (c.1010)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Constantin X
empereur
(† 1067)
 
 
 
 
 
 
 
Jean Doukas
(† 1088)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Michel VII Doukas
empereur
(† 1090)
 
Andronic Doukas
césar
 
Constance Doukas
césar
(† 1081)
 
Andronic Doukas
dom. des scholes
amiral (1073)
 
Constantin
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Constantin Doukas
(† 1087)
 
 
 
 
 
Michel Doukas
(† 1108-18)
 
Jean Doukas
mégaduc
(1064 † <1137)
 
Irène Doukas
x Alexis Ier Comnène
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Constantin Doukas
sébaste
(1118)
 
Théodore Doukas
prosébaste
(1125)
 
 
 
 

Bibliographie

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Sources primaires

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Sources secondaires

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  • (en) Angold, M., The Byzantine Empire 1025-1204, London, New York, Longman, 1997, [1984], (ISBN 978-0-582-29468-4).
  • (fr) Bréhier, Louis, Vie et mort de Byzance, Albin Michel, coll. L'évolution de l'humanité, Paris, 1946, (ISBN 2-226-05719-6).
  • (fr) Cheynet, Jean-Claude, Pouvoir et Contestations à Byzance (963-1210), Paris, 1996, Publications de la Sorbonne, (ISBN 978-2-85944-168-5).
  • (fr) Cheynet, Jean-Claude (dir.), Le Monde byzantin, vol. 2, L'Empire byzantin (641-1204), Paris, Presses Universitaires de France, 2006, (ISBN 978-2-130-52007-8).
  • (fr) Gautier, Paul, éd. « Nicéphore Bryennios : Histoire », Corpus Fontium Historiae Byzantinae, Bruxelles, Byzantion, 1975, OCLC 814361996.
  • (en) Kaldellis, Anthony & Krallis, Dimitris, eds. (2012), Michael Attaleiates : The History,Cambridge, Massachusetts and London, Harvard University Press, (ISBN 978-0-674-05799-9).
  • (en) Kaldellis, Anthony, Streams of Gold, Rivers of Blood : The Rise and Fall of Byzantium, 955 A.D. to the First Crusade. New York : Oxford University Press, 2017, (ISBN 978-0190253226).
  • (en) Kazhdan, Alexander, ed., The Oxford Dictionary of Byzantium, Oxford and New York, Oxford University Press, 1991, (ISBN 0-19-504652-8).
  • (en) Kazhdan, Alexander P. & Ann Wharton Epstein, Change in Byzantine Culture in the Eleventh and Twelfth Centuries, University of California Press, 1985, (ISBN 0-520-05129-7).
  • (en) Norwich, John Julius, Byzantium, The Apogee, New York, Alfred A. Knopf, 1994, (ISBN 978-0-394-53779-5).
  • (fr) Oikonomides, N., « Le serment de l'Impératrice Eudocie : un épisode de l’histoire dynastique de Byzance » (dans) Revue des Études Byzantines, 21, 1963, pp. 73-97.
  • (fr) Ostrogorsky, Georg, Histoire de l'État byzantin, Paris, Payot, 1983, [1956], (ISBN 2-228-07061-0).
  • (fr) Patlagean, Évelyne, Un Moyen Âge Grec : Byzance, IXeXVe siècle, Paris, Albin Michel, 2007, (ISBN 978-2-226-17110-8).
  • (en) Polemis, Demetrios I., (1968)[49], London, Athlone Press, 1968, (ISBN 978-0-48-513122-2).
  • (de) Savvides, Alexios G., & Benjamin Hendrickx, (ed.), Encyclopaedic Prosopographical Lexicon of Byzantine History and Civilization, Vol. 2 : Baanes-Eznik of Kolb. Brepols Publishers, Turnhout 2008, (ISBN 978-2-503-52377-4), pp. 254-255.
  • (de) Schreiner, Peter, Konstantin X Dukas, (dans) Lexikon des Mittelalters (LexMA), vol. 5, Artemis & Winkler, München / Zürich 1991, (ISBN 3-7608-8905-0), art. 1378.
  • (en) Sewter, Edgar Robert Ashton, ed., The Chronographia of Michael Psellus, New Haven (Connecticut), Yale University Press, 1953, OCLC 427306.
  • (fr) Stanescu, E., « Les réformes d'Isaac Comnène » (dans) Revue des Études sud-est européennes, 4, 1966, pp. 35-69.
  • (en) Treadgold, Warren T., A History of the Byzantine State and Society, Stanford, (California), Stanford University Press, 1997, (ISBN 978-0-8047-2630-6).
  • (he) Varzos, Konstantinos, (Η Γενεαλογία των Κομνηνών) [The Genealogy of the Komnenoi], (PDF), A. Thessaloniki, Centre for Byzantine Studies, University of Thessaloniki, 1984, OCLC 834784634.
  • (de) Wirth, Peter, Konstantin X Dukas. (dans) Biographisches Lexikon zur Geschichte Südosteuropas, Band 2, München 1976, p. 461 sq.
  • (en) Wortley, John, ed., John Skylitzes : A Synopsis of Byzantine History, 811-1057, Cambridge, Cambridge University Press, 2010, (ISBN 978-0-521-76705-7).

Notes et références

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  1. Il ne semble pas y avoir eu d’enfants de ce premier mariage.
  2. Psellos, dont l’humilité n’était pas la plus grande qualité, est le seul à rapporter cet épisode qui le présente, tel son grand rival Michel Cérulaire, comme « faisant et défaisant les empereurs »
  3. Psellos lui donne toutefois le prénom de Constantin : « L’impératrice Eudocie avec Michel et Constantin (Konstantino) ses enfants (Psellos, Chronographie, VII (Eudocie), 2.
  4. Attaleiates dit assez méchamment de lui qu’il « n’était bon qu’à devenir évêque (Attaleiates, 303) »

Références

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  1. Psellos, Chronographie, VII (Constantin X), 6.
  2. Sur les Doukas, voir Khazhdan (1991), « Doukas », vol. 1, p. 655
  3. Kaldellis 2017, p. 231.
  4. Psellos, Chronographie, VII (Isaac Comnène), 87.
  5. Psellos, Chronographie, VII (Constantin X), 2.
  6. Zonaras, 18.8.13-14.
  7. Attaleiates, History 77.2-19 / 58.18-59.5; Zonaras 18.8.18
  8. Zonaras 18.8.15
  9. Skylitzes Continuatus 112.11-16
  10. a b et c Psellos, Chronographie, VII (Constantin X), 3
  11. Cheynet et Vannier (1986), p. 81
  12. Kazhdan et Epstein (1985), pp.  64-65
  13. Patlagean (2007), p. 132-133.
  14. Voir article « Isaac Ier Comnène »
  15. Psellos, Chronographie, VII (Michel VI), 5-14, (Constantin X) 8; Orationes funebres, 2, II; Attaliatès 56-59
  16. Cheynet (1996), p. 70
  17. Kadellis (2017) pp.  219-220
  18. Psellos, Chronographie VII (Isaac Comnène), 88
  19. a et b Psellos, Chronographie, VII (Isaac Comnène), 89)
  20. Psellos, Chronographie, VII (Isaac Comnène), 82
  21. Psellos, Chronographie, VII, « Constantin Doukas », 10.
  22. Varsos (1984),pp.  46-47
  23. Psellos, Chronographie, VII (Constantin X), 26.
  24. a b c et d Treadgold (1997) p. 600
  25. Psellos, Chronographie, VII, (Constantin X), 22
  26. Attaliates, 76. 10-12
  27. Kazdhan (1991), « Constantine X Doukas », vol. 1, p. 804
  28. a et b Treadgold (1997) p. 601
  29. Psellos, Chronographie, VII (Constantin X), 16.
  30. Psellos, Chronographie, VII (Constantin X), 18
  31. Attaliates, 71-75
  32. Attaliates 71, 76-77
  33. Psellos, Chronographie, VII (Constantin X), 17.
  34. Attaliates, 76-79; voir aussi Skylitzes continuatus, 112-113
  35. Skylitzes continuatus, 169; Attaliates, 92
  36. Treadgold (1997) p. 599
  37. Kaldellis (2017) pp. 236-238
  38. Attaleiates, 79-82
  39. Kaldellis (2017) pp. 234-235
  40. Attaleiates, 83-87; Skylitzes continuatus, 113-116.
  41. Kaldellis (2017) p. 236
  42. Psellos, Chronographie, VII (Constantin X), 27.
  43. Texte dans Oikonomides, « Serment », cité par Kaldellis (2017), p. 239
  44. Psellos, Chronographie, VII (Constantin X) 21
  45. Norwich (1994),p. 344
  46. Psellos, Chronographie, VII (Eudocie), 4-6
  47. Kaldellis (2017), p. 239
  48. Attaleiates, 92
  49. The Doukai: A Contribution to Byzantine Prosopography

Liens internes

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Lien externe

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