Beaumont-en-Cambrésis
Beaumont-en-Cambrésis | |||||
Église Saint-Laurent. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Cambrai | ||||
Intercommunalité | CA du Caudrésis - Catésis | ||||
Maire Mandat |
Fabrice Baccout 2020-2026 |
||||
Code postal | 59540 | ||||
Code commune | 59059 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Beaumontois | ||||
Population municipale |
452 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 137 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 07′ 25″ nord, 3° 27′ 19″ est | ||||
Altitude | 70 m Min. 95 m Max. 138 m |
||||
Superficie | 3,31 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Caudry (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Cateau-Cambrésis | ||||
Législatives | 18e circonscription du Nord | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
| |||||
Liens | |||||
Site web | https://beaumont-cis.fr/ | ||||
modifier |
Beaumont-en-Cambrésis est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.
Ses habitants sont appelés les Beaumontois, Beaumontoises.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Beaumont-en-Cambérsis, situé sur une hauteur culminant à 70 mètres dominant les plaines fertiles du Cambrésis, est séparé d'Inchy par un ravin où se forme un affluent de l'Erclin[1]. Elle se trouve à 17 km au sud-est de Cambrai, 26 km au sud de Valenciennes, 27 km de la frontière franco-belge, 51 km au sud-ouest de Mons, 40 km au sud-ouest de Maubeuge, 33 km au nord de Saint-Quentin et 42 km au nord-est de Péronne.
Elle est desservie par l'ancienne route nationale 43 (actuelle RD 643) qui relai Cambrai à Hirson et Charleville-Mézières.
La station de chemin de fer la plus proche est la gare de Caudry, desservie par des trains TER Hauts-de-France, qui effectuent des missions entre les gares : de Saint-Quentin, ou de Busigny, et de Douai, voire de Lille-Flandres ; de Busigny et de Cambrai. Elle est également desservie par un train TER assurant un aller-retour quotidien entre Paris-Nord et Cambrai.
Description
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par l'Erclin[2],[Carte 1].
L'Erclin, d'une longueur de 34 km, prend sa source dans la commune de Maurois et se jette dans l'Escaut canalisée à Thun-Saint-Martin, après avoir traversé 16 communes[3].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Escaut ». Ce document de planification concerne un territoire de 2 005 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de l'Escaut. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte Escaut et Affluents (SyMEA)[4].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 765 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Épehy à 26 km à vol d'oiseau[7], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 752,8 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Beaumont-en-Cambrésis est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caudry, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (84,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86 %), zones urbanisées (7,5 %), prairies (6,5 %)[14]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 210, alors qu'il était de 206 en 2014 et de 201 en 2009[I 2].
Parmi ces logements, 90,4 % étaient des résidences principales, 0,5 % des résidences secondaires et 9,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,5 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Beaumont-en-Cambrésis en 2019 en comparaison avec celle du Nord et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,5 %) inférieure à celle du département (1,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 81,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (80,9 % en 2014), contre 54,7 % pour le Nord et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Beaumont-en-Cambrésis[I 2] | Nord[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 90,4 | 90,6 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 0,5 | 1,6 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 9,1 | 7,8 | 8,2 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Temps modernes
[modifier | modifier le code]Le village a été le centre d'un important pèlerinage consacré à Saint Laurent, dont une relique est conservée dans l'église, et qui attire alors de nombreux pèlerins qui, suivant la coutume de l'époque, séjournent sur place trois jours. Un "chemin des Pèlerins" est indiqué sur les anciens cadastres[1].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Au XIXe siècle, le village accueille de nombreuses activités textiles, dont de la bonneterie, tulle, broderie mécanique, confection[1].
En 1835 une prétendue sorcière fut livrée au bucher par la population, avec l'assentiment des autorités locales[15].
Au milieu du XIXe siècle, Charlemagne Ratte, d'origine protestante, y implante une fabrique de chicorée, l'une des 26 recensées dans le Cambrésis en 1872, qui emploie quelques habitants à la torréfaction de chicorées importées de Belgique[1].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Cambrai du département du Nord.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton du Cateau-Cambrésis[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton du Cateau-Cambrésis
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dixième circonscription du Nord.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Beaumont-en-Cambrésis était membre de la communauté de communes du Pays du Coquelicot, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1993 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Cette intercommunalité a fusionné avec la communauté de communes du Pays de Matisse pour former, le , la communauté de communes du Caudrésis - Catésis, qui intègre en 2012 la communauté de communes de Haute Sambre-Bois l'Évêque et la communauté de communes de l'Espace Sud Cambrésis (à l'exception d'Esnes.
Le , elle se transforme en communauté d'agglomération sous la dénomination de communauté d'agglomération du Caudrésis - Catésis, dont est ainsi membre la commune.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Maire en 1808 : Boulet[17].
Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]Beaumont-en-Cambrésis fait partie de l'académie de Lille.
La commune compte une école élémentaire
Équipements
[modifier | modifier le code]À la sortie du village se trouve une aire de jeux et terrain de boules (square Roger Denhez)
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].
En 2021, la commune comptait 452 habitants[Note 3], en évolution de −0,88 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,4 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 204 hommes pour 241 femmes, soit un taux de 54,16 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]La fête communale annuelle a lieu le dernier dimanche de juin[1].
Culture et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Laurent, dont le clocher-porche en pierre blanche du XVe siècle avec de puissants contreforts, décoré par un élégant portail de style ogival, est couronné d'une flèche à bulbe entourée de quatre petits clochetons, constitue l'élément le plus ancien, vestige de l'ancien édifice médiéval. Le chœur et la nef en brique sont construits au XIXe siècle pour remplacer l'ancienne église détruite lors de la Révolution française[29].
- L'ancienne auberge, propriété privée, 4 route Nationale, relais de poste construit en 1827 en brique et de pierre bleue, avec des encadrements harpés et un toit aux combles brisés.et où l'on pouvait lire l'inscription « Ici on loge à pied ou à cheval » et les initiales des anciens propriétaires « AM » et « SI »[30].
- Il ne reste que les fossés du château des d'Esclaibes, situé dans un bois entre Béthencourt et Inchy[1]
.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Rénier, seigneur de Beaumont-Saint-Hubert, sénéchal du Cambrésis, est mentionné en 1226[1] ;
- La famille d'Escaibes ou d'Esclaibes, comtes de Clairmont, acquiert en 1650 la seigneurie de Beaumont et possède le château de Clermont, situé jusqu'en 1780 sur le terroir de Béthencourt, et depuis 1780 sur le terroir d'Inchy[31],[1]. Le dernier seigneur de Clermont est Louis-Charles-Joseph d'Esclaibes de Clairmont d'Avranville, député aux États généraux de 1789 ;
- Emilien Méresse (1915-2000), footballeur international français ;
- Jean Gosselin (1931-1976), coureur cycliste.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | De gueules aux trois lions d'argent. |
|
---|---|---|
Détails | ||
Alias |
D'or à trois chevrons de gueules. Selon la carte de Borrekens[32] |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Dossier complet : Commune de », Recensement général de la population de 2019, INSEE, (consulté le ).
- « Beaumont-en-Cambrésis (59059) »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Beaumont-en-Cambrésis » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Beaumont-en-Cambrésis » sur Géoportail (consulté le 20 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Beaumont-en-Cambrésis ».
- « Chiffres clés - Logement en 2019 à Beaumont-en-Cambrésis » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Beaumont-en-Cambrésis - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Beaumont-en-Cambrésis - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans le Nord » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- « Beaumont-en-Cambrésis », sur tourisme-cambresis.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Beaumont-en-Cambrésis », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- Sandre, « l'Erclin »
- « SAGE Escaut », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Beaumont-en-Cambrésis et Épehy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Epehy_sapc » (commune d'Épehy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Epehy_sapc » (commune d'Épehy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Caudry », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- (fr) Graham Robb, Une histoire buissonnière de la France, Flammarion, édition Kindle, (ISBN 978-2-0814-2683-2), Chapitre 2 - Les tribus de France, I
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Annuaire statistique du département du Nord; Année 1809. », sur Annuaire statistique du département du Nord; Année 1809., p. 164. Image 183.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 274, lire en ligne.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an 1807, p. 120-121, lire en ligne.
- Paul Sion, « Beaumont-en-Cambrésis : Fabrice Baccout, ancien maire, est candidat aux municipales : Maire de 2002 à 2014, Fabrice Baccout avait laissé sa place à Hubert Déjardin pendant un mandat. Désormais libéré de ses obligations professionnelles, il souhaite revenir », L'Observateur du Douaisis, (lire en ligne, consulté le ) « J'ai été élu maire de 2002 à 2014 suite à la démission de l'ancien maire. Ensuite j'ai dû arrêter pour des raisons professionnelles ».
- « Beaumont-en-Cambrésis: Hubert Déjardin remplace Fabrice Baccout à la mairie : C'est dans la salle des cérémonies de la mairie que se sont réunis les nouveaux élus », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Beaumont: homme de terrain, Hubert Déjardin quitte sa fonction de maire, serein : Entre Hubert Déjardin et Fabrice Baccout la complicité est évidente. Le premier a succédé au second et l'inverse est envisageable en mars prochain puisque le maire a décidé de ne plus briguer de mandat », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Paul Sion, « Beaumont-en-Cambrésis : Fabrice Baccout retrouve le fauteuil de maire, six ans après », L'Observateur du Douaisis, (lire en ligne, consulté le ) « A Beaumont-en-Cambrésis, Fabrice Baccout, maire de 2002 à 2014, avait laissé sa place à Hubert Déjardin pendant un mandat. Désormais libéré de ses obligations professionnelles, il souhaitait revenir et a présenté une liste qui a été élue le 15 mars dernier ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Beaumont-en-Cambrésis (59059) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- « Eglise Saint-Laurent de Beaumont-en-Cambrésis : L'original clocher de cette église, construit au XVe siècle, en constitue l'élément le plus ancien ».
- « Ancienne auberge de Beaumont en Cambrésis », sur le site de Tourisme en Cambrésis (consulté le ).
- Source: Cambraisie terre d'histoire
- Source: cambraisie terre d'histoire