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Assyriens

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Assyriens
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Famille chrétienne nestorienne assyrienne fabriquant du beurre, ourmia, perse.
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Drapeau assyrien moderne et drapeau des Araméens-Syriaques.
Populations importantes par région
Indigène 745 100
Drapeau de la Syrie Syrie 400 000[1]
Drapeau de l'Irak Irak 300 000[2]
Drapeau de l'Iran Iran 20 000[3],[4]
Drapeau de la Turquie Turquie 15 000–25 100[3],[5],[6]
Diaspora: 970 605
Drapeau des États-Unis États-Unis 110 807–400 000[7],[8]
Drapeau de la Jordanie Jordanie 100 000–150 000[9],[10]
Drapeau de la Suède Suède 100 000[11]
Drapeau de l'Allemagne Allemagne 100 000[12]
Drapeau de l'Australie Australie 24 505–60 000[13],[14]
Drapeau du Liban Liban 39 000[15]
Population totale c. 2 millions[16][17]
Autres
Régions d’origine Grande Syrie
Langues Syriaque, araméen, arabe levantin
Religions Christianisme syriaque
Ethnies liées Arabes, Arméniens, Juifs, Kurdes, Maronites
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Carte du peuple Assyriens à travers le monde.
  • Syrie
  • + 1,000,000
  • + 100,000
  • + 10,000
  • + 1,000

« Assyriens » est une dénomination ethnonationale pour l'ensemble des chrétiens d'Orient de Mésopotamie parlant un dialecte néo-araméen (syriaque) (catholiques chaldéens, Assyriens protestants, Syriaques orthodoxes, Syriaques catholiques, Assyriens apostoliques, Ancienne église de l’est) ; ils sont originaires pour la plupart de l'ancienne Assyrie, et donc d'Irak, de Syrie, du Liban, d'Iran ou de Turquie. La langue autrefois parlée était l'assyrien.

La dénomination[18] est sujette à débat, les chercheurs et les journalistes utilisent tant « Assyriens » qu'« Assyro-Chaldéens », cette dernière étant uniquement utilisée pour les Assyriens de l'Église chaldéenne.

Ceux qui sont installés en Russie sont les seuls à bénéficier d'une reconnaissance en tant que « peuple » (narod), c'est-à-dire groupe ethnique en tant que tel, avec préservation de langue et de culture sans distinction d'appartenance confessionnelle, sous la dénomination « Aisor » (Assyriens).

Dans les autres pays de la région, toute affirmation d'une identité ethnonationale minoritaire est combattue par les différents gouvernements, voire réprimée dans le sang comme en Irak (voir infra), ce qui explique en partie le problème de la construction nationale et de l'autodénomination commune.

Dans les recensements en Australie, au Canada, aux États-Unis et en Nouvelle-Zélande, la catégorie utilisée est « Assyriens », comme en Arménie et en Géorgie. Il n'y a pas de recensements ethniques au Moyen-Orient (sauf en Israël, où la population assyrienne est minime).

Assyriens à la fin de l'Empire ottoman

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Au XIXe siècle et au début du XXe, les Assyriens de toutes dénominations chrétiennes sont répartis dans les provinces ottomanes qui constituent actuellement l'est de la Turquie, l'Irak et la Syrie, ainsi qu'en Iran et dans le Caucase russe (Arménie, Géorgie). Leur langue vernaculaire est le soureth, dérivée de l'araméen. La langue autrefois parlée était l'assyrien, langue sémitique, formant un rameau linguistique de l'akkadien.

Les populations chrétiennes assyro-chaldéennes sont réparties en deux groupes :

  • les Achirets ou tribus autonomes sont au nombre de sept, principalement dans le massif montagneux du Hakkiari. Ces tribus sont placées sous l'autorité conjointe de leurs chefs, les Maliks, et du Mar Shimoun, patriarche de l'Église de l'Orient résidant à Qotchanès. Elles disposent d'une certaine autonomie de type féodal jusqu'en 1843–1846, quand l'Empire ottoman supprime les entités féodales de Bohtan et de Hakkiari à la suite de massacres d'Assyriens et de Kurdes rivaux par l'émir kurde de Bohtan ;
  • les Rayats, populations soumises (Dhimmis) à l'autorité féodale d'un agha turc ou kurde, auquel elles remettent la moitié du produit de leur travail en échange de sa protection[19].

Expéditions de Bedirxan Beg (1843 et 1846)

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Homme chaldéen en costume traditionnel turc, posé devant un arrière-plan, tenant un fusil et fumant la pipe.

En 1843, Nurullah Beg, prince kurde de Hakkari, demande la contribution de Bedirxan Beg, le prince kurde du Bohtan, pour soumettre les Assyriens de la région, alors en révolte contre lui. Berdirxan Beg est à cette époque en train d'affirmer son indépendance face aux Ottomans, et il compte Nurullah Beg parmi ses alliés stratégiques[20].

En conséquence, en 1843 et en 1846, Bedirxan Beg lance deux expéditions contre les Assyriens du Hakkarî, qui tournent au massacre. Mar Shimoun, le patriarche de l’Église assyrienne et chef spirituel des Assyro-Chaldéens, se réfugie à Mossoul en 1843[20].

Selon certaines sources, c'est les missionnaires anglais et américains implantés au Kurdistan qui ont retourné les chrétiens chaldéens contre les princes kurdes, à la demande des autorités ottomanes[21],[22].

Quoi qu'il en soit, Bedirxan Beg, qui a jusque là bénéficié d'une image de protecteur des chrétiens, perd définitivement le soutien et les sympathies des puissances européennes, qui protestent auprès des représentants du sultan. Cette perte de soutien extérieur précipite sa chute en 1847[21].

Première Guerre mondiale

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Pendant la Première Guerre mondiale, les Assyriens comme les Arméniens et les Pontiques, subissent un génocide[23], car ils habitent des territoires à majorité non turco-musulmane entre l'Anatolie et l'Azerbaïdjan – dans une perspective tant panturquisme (union politique entre les « Turcs » d'Anatolie, du Caucase et d'Asie centrale) que punitive des populations suspectées de pactiser avec les ennemis des Turcs musulmans : la Russie, la Grèce, la France, le Royaume-Uni, l'Italie.

Massacres d'Ourmia et de Salmas

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Peinture représentant des chrétiens chaldéens exécutés dans une gorge.

À l'automne 1915, les tribus assyriennes indépendantes du Hakkarî conduites par leur chef spirituel, le Mar Chimoun, trouvent refuge dans les plaines de Salmas et d'Ourmia. La présence soudaine de six mille chrétiens armés est perçue comme une menace par les Turcs et les chefs tribaux kurdes musulmans, qui les soupçonnent d'être à la solde des Russes. En , Simko (1887-1930), chef de la puissante tribu kurde des Chikak, invite le Mar Chimoun à une conférence dans un village de la région de Salmas, sous prétexte d'élaborer une alliance kurdo-assyrienne. À la fin du dîner, le patriarche et son escorte sont massacrés. Il est probable que l'assassinat de Simko ait été à l'instigation des Turcs. Les Kurdes commandés par Simko, cette fois ouvertement appuyés par des troupes turques, attaquent et poursuivent les Assyriens dans toute la région. Cet épisode est considéré comme la fin de la nation assyrienne[24],[20].

Traités de paix et mandats

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Le Traité de Sèvres du prévoit la création d’un État kurde indépendant, placé sous le mandat de la Société des Nations. Il accorde aux Assyro-Chaldéens une protection, dans le cadre d’un Kurdistan autonome, sans parler de création d’État. La délégation assyro-chaldéenne assiste aux conférences de paix avec la revendication d'un État assyrien, apparemment promis par Londres en décembre 1917[25]. Mais le Traité de Lausanne en 1923 constitue un recul tant pour eux que pour les Arméniens ou les Kurdes, tous sacrifiés au réalisme géopolitique et à la nouvelle division du Proche-Orient entre Turquie kémaliste, mandats français (en Syrie et au Liban) et mandats britanniques (Irak, Transjordanie, Palestine)[26].

Diaspora au Proche-Orient

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Une image datant du début du XXe siècle représente une célébration syriaque dans la ville de Mossoul, au nord de l'Irak.

Des familles assyriennes, en provenance notamment du village de Harbolé dans la région de Silopi au sud du Bothan, s'installent en Irak.

Un escadron assyrien (Assyrian Levies) aide la puissance mandataire britannique à réprimer des insurrections nationalistes arabes chiites et kurdes en Irak mais à la fin du mandat, en 1932, le Royaume-Uni abandonne ses alliés. Le , un mémorandum de notables assyriens, demandant l'établissement d'une région autonome, où auraient notamment été regroupés les Assyriens réfugiés du Hakkiari, est adressé aux autorités ; il n'y a pas été donné suite ; l'été suivant les Assyrian Levies se révoltent et sont matés avec l'aide des troupes britanniques. En , le gouvernement irakien place le patriarche Mar Simon XXIII Ishaye en résidence surveillée à Bagdad et les notables assyriens-nestoriens sont mis en demeure d'abandonner toute revendication d'établissement compact des réfugiés ; en juillet, une partie de ces réfugiés demande asile dans la Syrie sous mandat français. Devant le refus des autorités françaises, ils refranchissent la frontière « irakienne » en  ; trois mille[27] d'entre eux sont massacrés le dans le district de Semmel par les troupes irakiennes, dirigées par le colonel kurde Bakir Sidqi[28].

Combattants assyriens dans le nord de l'Irak, au milieu des années 1980.

Depuis la chute de Saddam Hussein, l'Irak est le seul pays de la région où des partis « chaldo-assyriens » ou « syriaques » sont actifs et se présentent aux élections.

Depuis , dans la plupart des grandes villes d’Irak, notamment Bagdad, Mossoul et Kirkouk, une multitude de gangs et de milices prospèrent, profitant du chaos général et de l’impuissance du gouvernement central, pour s’en prendre à la minorité chrétienne. Les actes relevés sont de tous ordres : plastiquages, mitraillages, voitures piégées, assassinats ciblés contre des chrétiens, rapts et assassinats d’ecclésiastiques[29], destruction d’églises[30]. La multiplication des exactions pousse les chrétiens à l’exode.

Alors que les Kurdes ont leur autonomie depuis la deuxième guerre du Golfe, les Assyriens et leurs partis politiques, en Irak et dans la diaspora, réclament une zone d'autonomie, attachée au pouvoir central de Bagdad, dans la plaine de Ninive pour des raisons sécuritaires, historiques et culturelles. Ils voient ce projet comme une manière d'exprimer pleinement leur histoire et leur culture[31].

Mère et enfant assyriennes Jilu.

Les Assyriens ont presque disparu du sud-est turc, laissant à l'abandon de nombreux villages[32]. Les Assyriens nestoriens sont spécifiquement massacrés et poussés à l'exil vers l'Iran, la Russie et l'Irak durant la Première Guerre mondiale. La grande majorité des Assyriens syriaques et chaldéens survivants partent vers l'Europe (Suède, Allemagne, France, Pays-Bas, Belgique…) à la fin du XXe siècle ; ils fuient la répression (l'armée turque étant engagée dans de sanglantes opérations contre la guérilla kurde) ; leur condition de vie est souvent misérable[33]. Ce départ en masse touche plusieurs régions.

Depuis les années 2000, un phénomène de re-sédentarisation de ces populations réfugiées en Europe a lieu dans la région du Tur Abdin et du Hakkiari. Certains se réinstallent en famille dans leur terre d'origine, réinvestissant ainsi leurs économies dans les deux régions qui bénéficient d'un réel boom économique.

La plupart des Assyriens sont originaires de Syrie. Mais les mouvements migratoires et l'annexion du Nord de la Syrie par la Turquie éparpillent les Assyriens de Syrie soit en Turquie (Midyad, Mardin) soit en Irak. C'est pendant la première moitié du XXe siècle qu'ils fuient les persécutions en Turquie et en Irak. Ils sont surtout présents dans la Djézireh et à Alep. Ils migrent maintenant de la Syrie vers l'Occident. Depuis l'occupation américaine en Irak et la guerre civile dans ce pays, des dizaines de milliers d'Assyriens se réfugient en Syrie, d'où certains partent en Europe ou aux États-Unis.

Fresque du XIVe siècle d'Éphrem le Syriaque (détail), église de l'Assomption dans le monastère de la protection, Mont-Athos.

Les Assyriens de l'ex-Union soviétique qui ont fui en masse de Perse et de Turquie vers le nord au cours de la diaspora générale provoquée par la Première Guerre mondiale, ont largement bénéficié dans le passé de leur statut de nationalité soviétique. Dans plusieurs cas, ils se différencient du reste des Assyriens.

Leur isolement est dû à la substitution de l'alphabet latin par l'alphabet syriaque et à l'attitude antireligieuse officielle de l'ex-Union soviétique. Les Assyriens de l'ex-Union soviétique reflètent, à une échelle réduite, les changements que les nationalités ex-soviétiques plus importantes ont également subis. En dépit d'une tendance à se fondre dans la culture russe, la petite communauté assyrienne préserve sa culture nationale[34].

Contrairement aux autres communautés confessionnelles, celles des Assyriens ne bénéficient que d'une représentation via un siège commun pour les quatre églises plus les Latins, les Coptes et les Juifs.

Israël et Palestine

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La grande majorité des Assyriens d’Israël et des territoires palestiniens sont originaires de Syrie. En Israël, ils sont reconnus comme une minorité chrétienne non arabe. Un peu moins reconnus dans les territoires palestiniens, ils sont assimilés à la population palestinienne arabe.

Diaspora hors Proche-Orient

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Les Assyriens d'Île-de-France (dont la plupart résident à Sarcelles[35],[36] dans le Val-d'Oise et dans les villes limitrophes) sont d'anciens Rayats originaires de neuf villages des régions montagneuses au sud-est de la Turquie, à proximité des frontières irakienne, syrienne et iranienne :

À ces familles s'ajoutent des familles venues d'Irak, descendantes des familles originaires de Harbolé et installées en Irak au début du XXe siècle[19].

Mouvement nationaliste assyrien

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Naoum Faik, connu comme le « père du nationalisme assyrien ».

Naum Faïk est le fondateur du nationalisme assyrien, qui produit plusieurs mouvements :

Notes et références

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  1. (en) « Syria’s Assyrians threatened by extremists », sur Al-Monitor (consulté le ).
  2. (ar) « مسؤول مسيحي : عدد المسيحيين في العراق تراجع الى ثلاثمائة الف » (consulté le ).
  3. a et b (en) « Ishtar: Documenting The Crisis In The Assyrian Iranian Community », sur aina.org.
  4. (en) United Nations High Commissioner for Refugees, « Iran: Last of the Assyrians », sur Refworld, (consulté le ).
  5. (en) United Nations High Commissioner for Refugees, « Turkey : Assyrians », sur Refworld.
  6. (en) Joshua Project, « Assyrian in Turkey » (consulté le ).
  7. (en) Data Access and Dissemination Systems (DADS), « American FactFinder – Results » (consulté le ).
  8. (en) « Brief History of Assyrians » (consulté le ).
  9. Thrown to the Lions, Doug Bandow, The America Spectator
  10. Jordan Should Legally Recognize Displaced Iraqis As Refugees, AINA.org. Assyrian and Chaldean Christians Flee Iraq to Neighboring Jordan, ASSIST News Service
  11. Demographics of Sweden, Swedish Language Council « Sweden has also one of the largest exile communities of Assyrian and Syriac Christians (also known as Chaldeans) with a population of around 100,000. »
  12. (de) « Erzdiözese »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  13. (en) « Redirect to Census data page » (consulté le ).
  14. (en) « Fear checks turnout for Iraq poll », sur smh.com.au.
  15. (en) Tore Kjeilen, « Lebanon / Religions – LookLex Encyclopaedia », Looklex.com (consulté le ).
  16. (en) Fiche langue[aii]dans la base de données linguistique Ethnologue..
  17. (en) « Assyria », Unrepresented Nations and Peoples Organization, (consulté le ).
  18. (en) Aaron Butts (chapitre de Companion to Assyria), Assyrian Christians, Malden, Wiley Blackwell, (lire en ligne), p. 599-612.
  19. a et b Joseph Alichoran, Les Assyro-Chaldéens d'Île-de-France, une intégration réussie, Bulletin de l'Œuvre d'Orient no 782, 2016.
  20. a b et c Hellot 2005.
  21. a et b Gérard Chaliand, Abdul Rahman Ghassemlou et al., Les Kurdes et le Kurdistan : la question nationale kurde au Proche-Orient, Paris, F. Maspero, coll. « Petite collection Maspero », , 369 p. (ISBN 2-7071-1215-1), p. 47-48.
  22. Wirya Rehmany, Dictionnaire politique et historique des Kurdes, Paris, L'Harmattan, , 532 p. (ISBN 978-2-343-03282-5).
  23. Joseph Yacoub, Qui s'en souviendra ? 1915 : le génocide assyro-chaldéo-syriaque, Paris, éditions du Cerf, .
  24. William Eagleton Jr., La république kurde, Bruxelles, Complexe, , 232 p. (ISBN 978-2-87027-418-7), p. 27-30.
  25. Joseph Yacoub, La Question assyro-chaldéenne, les puissances européennes et la Société des nations, Guerres mondiales et conflits contemporains, Revue trimestrielle d'histoire, PUF, no 151, Paris, 1988.
  26. Weibel Yacoub Claire, Le Rêve brisé des Assyro-Chaldéens. L'introuvable autonomie, éditions du Cerf, Paris, 2011.
  27. (Laurens 2003, p. 45).
  28. Joseph Alichoran : Il y a 60 ans (août 1933), des Assyro-Chaldéens étaient massacrés en Irak, dans Historia Spécial no 24, « Mésopotamie, berceau de la civilisation », Paris, juillet-août 1993.
  29. À Mossoul : trois prêtres, un pasteur, l’archevêque chaldéen Mgr Raho.
  30. Attaque de la cathédrale syriaque Notre-Dame-du-Salut pendant la messe le 31 octobre 2010 : 58 morts dont 2 prêtres, 67 blessés.
  31. http://www.fepef.com/2011/04/28/kurdistan-d%E2%80%99irak-dernier-refuge-des-chretiens-persecutes/comment-page-1/#comment-6599
  32. Un village Chaldéen perdu dans les montagnes de Hakkari Les habitants de Meer comme ceux des autres villages ont commencé à fuir dans les années 1980, et certains villageois même avant cette date. À la fin de l'année 90, il ne restait plus personne dans ces villages.
  33. Joseph Yacoub, « Comment la Turquie a éradiqué ses minorités chrétiennes », sur Le Figaro.fr,
  34. Eden Naby, « Les Assyriens d'Union soviétique », Cahiers du monde russe, 16/3-4, 1975.
  35. Marwan Chahine, « Sarcelles en Chaldée », sur Libération.fr, (consulté le ).
  36. Robert Alaux, « Assyro-Chaldéens, la fuite », Les Cahiers de l'Orient, vol. 93, no 1,‎ , p. 23 (ISSN 0767-6468 et 2552-0016, DOI 10.3917/lcdlo.093.0023, lire en ligne, consulté le ).
  37. « Un village Chaldéen perdu dans les montagnes de Hakkari », sur meer.fr (consulté le ).
  38. « Un village Chaldéen perdu dans les montagnes de Hakkari », sur meer.fr (consulté le ).
  39. « Un village Chaldéen perdu dans les montagnes de Hakkari », sur meer.fr (consulté le ).
  40. « Un village Chaldéen perdu dans les montagnes de Hakkari », sur meer.fr (consulté le ).
  41. « Un village Chaldéen perdu dans les montagnes de Hakkari », sur meer.fr (consulté le ).
  42. « Un village Chaldéen perdu dans les montagnes de Hakkari », sur meer.fr (consulté le ).
  43. « Un village Chaldéen perdu dans les montagnes de Hakkari », sur meer.fr (consulté le ).
  44. « Un village Chaldéen perdu dans les montagnes de Hakkari », sur meer.fr (consulté le ).
  45. « Un village Chaldéen perdu dans les montagnes de Hakkari », sur meer.fr (consulté le ).

Articles connexes

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Bibliographie

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Liens externes

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