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Arthur Waley

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Arthur Waley
Portrait en peinture d'Arthur Waley par Ray Strachey.
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 76 ans)
LondresVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Nom de naissance
Arthur David SchlossVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Père
David Schloss (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
David Waley (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Alison Waley (en) ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Parentèle
Margaret Waley (d) (petite-cousine)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Membre de
Distinctions

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Arthur Waley (Tunbridge Wells, – Highgate, Londres, ) est un sinologue et orientaliste britannique, traducteur de chinois mais aussi de japonais, historien, poète et auteur d'anthologies. Reconnu par Ezra Pound et très proche du Bloomsbury Group, il a reçu de nombreux prix littéraires et distinctions honorifiques, dont la dignité de commandeur de l'ordre de l'Empire britannique et l'Ordre des compagnons d'honneur.

Biographie

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Né en 1889 à Tunbridge Wells, dans le Kent, Arthur Waley se nomme en réalité Arthur David Schloss. De famille juive, il est le fils de l'économiste David Frederick Schloss. Le patronyme de « Waley » est celui de sa grand-mère paternelle.

Après des études classiques à Rugby School et à King's College (Cambridge), il entre au British Museum en 1913, en tant que conservateur adjoint des imprimés et des manuscrits du département d'Extrême-Orient. C'est là qu'il apprend le chinois et le japonais en autodidacte, afin de simplifier son travail d'élaboration des catalogues.

Il va devenir l'un des plus brillants spécialistes de son siècle dans le domaine de la Chine et du Japon, de par ses traductions, ses essais, ses préfaces et ses recueils de textes, et il contribuera largement à la diffusion de la culture extrême-orientale en Occident.

Arthur Waley refusa toute sa vie de se rendre en Extrême-Orient et déclina une invitation officielle de la Chine sous prétexte de mauvaise santé[1].

Arthur Waley est enterré dans le cimetière de Highgate.

Quelques publications

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Le Dit du Genji, livre 20

Notes et références

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  1. ↑ Raconté par Jacques Pimpaneau dans Lettre à une jeune fille qui voudrait partir en Chine, Picquier, Paris, (ISBN 2877307115).

Annexes

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Articles connexes

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Liens externes

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