Ames
Ames | |||||
Mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Béthune | ||||
Intercommunalité | CA de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane | ||||
Maire Mandat |
Marcel Cocq 2020-2026 |
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Code postal | 62190 | ||||
Code commune | 62028 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Amois | ||||
Population municipale |
643 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 183 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 32′ 33″ nord, 2° 24′ 58″ est | ||||
Altitude | Min. 52 m Max. 99 m |
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Superficie | 3,51 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Auchel - Lillers (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Lillers | ||||
Législatives | 8e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Ames est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Amois.
La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 275 327 habitants en 2021.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Ames se situe à 5 km de son chef-lieu de canton Lillers, 20 km de Béthune, 35 km de sa préfecture Arras, 42 km de Lens, 72 km de Calais et à 82 km de Lille. Le village est situé sur les premiers contreforts de l'Artois.
La majorité des habitations du village sont situées dans la vallée de la Nave qui est un affluent de la Clarence, elle-même affluent de la Lys. Le hameau de la Bellerie est situé sur l'amont de la rivière, le centre groupé autour de l'église Saint-Pierre est situé plus en aval.
Plus à l'écart, à proximité de Ferfay se trouve le hameau communément appelé No 3 du nom de la Fosse qui témoigne de l'exploitation du charbon dans la commune au début du XIXe siècle. Un ancien terril plat demeure d'ailleurs en place au hameau dit de No 3 (du nom du puits No 3 de la compagnie des mines de Ferfay ou puits Druon exploité de 1865 à 1929). Un autre terril se situait sur les hauteurs de la commune en direction de Auchy-au-Bois ainsi qu'un trou béant correspondant à l'ancien puits de mine. Ledit terril fut « rasé » dans les années 1980 et le puits comblé. La Bellerie est voisine du village d'Amettes dont elle est séparée par la chaussée Brunehaut (ancienne voie romaine reliant Arras à Thérouanne). Le centre du village est contigu avec le hameau de Liérettes qui appartient à la commune de Lières.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit communes :
-
Ames, entrée du village.
-
Ames, la fosse no 3 des mines d'Auchy-au-Bois.
-
Ames, le terril no 21, 3 de Ferfay.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 3,51 km2 ; son altitude varie de 52 à 99 mètres[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].
La commune est traversée par la Nave, un cours d'eau naturel non navigable de 21,88 km, qui prend sa source dans la commune de Fontaine-lès-Hermans et se jette dans La Clarence au niveau de la commune de Robecq[3].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 848 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lillers à 5 km à vol d'oiseau[6], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,5 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2,2 | 1,8 | 3,1 | 4,8 | 8,1 | 11 | 12,8 | 12,9 | 10,3 | 8,3 | 5,4 | 2,9 | 7 |
Température moyenne (°C) | 4,7 | 4,8 | 7,2 | 10,2 | 13,1 | 16,1 | 18,2 | 18,2 | 15,5 | 12,1 | 8,2 | 5,4 | 11,1 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,2 | 7,8 | 11,3 | 15,7 | 18,2 | 21,3 | 23,6 | 23,4 | 20,7 | 15,9 | 11 | 7,8 | 15,3 |
Record de froid (°C) date du record |
−14,5 25.01.13 |
−16,3 04.02.12 |
−10,3 13.03.13 |
−5,4 08.04.03 |
−1 14.05.10 |
1,9 01.06.11 |
4 03.07.11 |
5,4 31.08.11 |
0,6 30.09.18 |
−4,5 28.10.03 |
−5,3 30.11.16 |
−11,3 18.12.10 |
−16,3 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
15,9 01.01.22 |
18,8 24.02.21 |
24,8 31.03.21 |
27,3 20.04.18 |
32 27.05.05 |
34,1 29.06.19 |
41 25.07.19 |
37,5 06.08.03 |
34,3 09.09.23 |
29 01.10.11 |
20,7 07.11.15 |
16,5 30.12.22 |
41 2019 |
Précipitations (mm) | 60,2 | 51,3 | 46,5 | 44,1 | 57,5 | 60 | 65,4 | 69,6 | 59,6 | 67,3 | 73,6 | 76,4 | 731,5 |
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Ames est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auchel - Lillers, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[11]. Cette aire, qui regroupe 29 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,9 %), prairies (28,2 %), zones urbanisées (12,9 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Aumes en 1187 (ch. de Saint-Bert., n° 353), Almes en 1209 (chap. de Lillers, c. 1), Haumeis en 1244 (cart. de Bourbourg, n° 145), Hames en 1298 (ch. d’Art., Ricouart, p. 646), Ames en 1400 (Arch. nat., P. 1400), Amez les Amettes en 1720 (Saugrain, p. 335), Halmes en 1762 (Expilly, t. I, p. 49)[15], Amel en 1801.
À envisager, une variante de Amettes, nom qui devrait désigner un hameau.
Histoire
[modifier | modifier le code]En juillet 1724, la terre de Pitgam est érigée en comté sous la dénomination de comté d'Eterno en faveur de Lambert d'Eterno. Lambert d'Eterno est seigneur d'Eterno, Pitgam, Ames, Herbellene, Delattre, le Perroy et Refranche, chevalier de Saint-Louis, lieutenant-colonel d'infanterie. La famille d'Eterno est une des plus anciennes familles de Franche-Comté. le père de Lambert, Alexandre d'Eterno, capitaine au régiment de Bourgogne, a participé aux deux sièges de Salins, (siège de Salins 1674), y est fait prisonnier dans le fort de la Ratte, après avoir soutenu l'effort des armées ennemies et y a perdu son germain tué auprès de lui. Lambert sert depuis 1691, alors âgé de 16 ans, a participé à la bataille de la Marsaille, etc.[17].
Le village avait surtout une activité agricole : élevage bovin dans des prairies bocagères au fond de la vallée et cultures céréalières sur les hauteurs. La population autour des années 1950-1970 était constitué essentiellement d'agriculteurs et de mineurs.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]La commune est membre de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane.
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune est rattachée au canton de Lillers.
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la huitième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Justice, sécurité, secours et défense
[modifier | modifier le code]La commune dépend du tribunal judiciaire de Béthune, du conseil de prud'hommes de Béthune, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants de Béthune[22].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Ses habitants sont appelés les Amois[23].
Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].
En 2021, la commune comptait 643 habitants[Note 3], en évolution de −1,38 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,8 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 317 hommes pour 315 femmes, soit un taux de 50,16 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]En 2019, dans la commune, il y a 260 ménages fiscaux qui comprennent 621 personnes pour un revenu médian disponible par unité de consommation[Note 4] de 20 080 euros, soit inférieur au revenu de la France métropolitaine qui est de 21 930 euros[29],[30].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Monument historique
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Pierre, construite au XIIe siècle, a été remaniée au début du XVIIe siècle. Les travées du chœur et de la tour centrale ont été voûtées dès l'origine. Le chœur est de style roman. Vers 1600, furent construits le clocher et les parties hautes. L'édifice fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [31]. Dans les années 1960, après Vatican II, l'autel fut déplacé au milieu de l'édifice, sous le clocher, sous l'impulsion de l'abbé Louis Caroux. La coutume a alors voulu que les hommes assistent à l'office placés dans l'ancienne partie romane et les femmes en vis-à-vis dans la partie de l'édifice moins ancienne. En 2011, la toiture est en très mauvais état et nécessite la réalisation de travaux importants.
Autres lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Le monument aux morts est au centre du village, à l’intersection du chemin du Mont-Gut, de la rue du Moulin et de la rue Principale. Il commémore les guerres de 1870-1871, 1914-1918, 1939-1945 et d'Algérie. Dans l'église se trouve une plaque commémorant les morts de la guerre 1914-1918[32].
- La petite forêt d'Ames qui se situe à l'extérieur du village reliant le sentier de la Scyrendale jusqu'à Amettes. Le sentier principal de la commune et le sentier de la Scyrendale passant par Lillers, qui forment un grand S à l'entrée du village.
- Un calvaire, des chapelles-oratoires.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Louis Maximilien François Herman Hinnisdal de Fumal, (1751- après 1824), général de la Révolution et du Premier Empire, né à Ames.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes d'Ames se blasonnent ainsi : D’argent au chevron de sable accompagné de trois merlettes du même[33]. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Francis Baudelle - Ames son histoire, ses habitants des origines à aujourd'hui, publication Association pour la Découverte d'un Coin d'Artois, décembre 1995, 207 p. (ISBN 2-9509796-0-2)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur Remonter le temps, sur le site de l’IGN, [lire en ligne][Note 5]
- « Ames » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Définition de l'unité de consommation selon l'INSEE : pour comparer les niveaux de vie de ménages de taille ou de composition différente, on divise le revenu par le nombre d’unités de consommation (UC). Celles-ci sont généralement calculées de la façon suivante : 1 UC pour le premier adulte du ménage, 0,5 UC pour les autres personnes de 14 ans ou plus, 0,3 UC pour les enfants de moins de 14 ans. Cette échelle d’équivalence (dite de l’OCE) tient compte des économies d’échelle au sein du ménage. En effet, les besoins d'un ménage ne s'accroissent pas en stricte proportion de sa taille. Lorsque plusieurs personnes vivent ensemble, il n'est pas nécessaire de multiplier tous les biens de consommation (en particulier, les biens de consommation durables) par le nombre de personnes pour garder le même niveau de vie.
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Nave (E3640630 ) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Ames et Lillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Auchel - Lillers », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
- Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 402, lire en ligne.
- « Ames : sans surprise, l’écharpe va à Marcel Cocq », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Ames (62028) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2019 de la commune », sur Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2019 de la France métropolitaine », sur Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) (consulté le ).
- « Église », notice no PA00107956, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- Banque du Blason