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31e régiment d'infanterie (France)

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31e régiment d’infanterie
Image illustrative de l’article 31e régiment d'infanterie (France)
Insigne régimentaire du 31e RI

Création 1610
Dissolution 1940
Pays Drapeau de la France France
Branche Armée de terre
Type Régiment d’infanterie
Rôle Infanterie
Ancienne dénomination régiment d'Aunis
Inscriptions
sur l’emblème
Valmy 1792
Biberach 1796
Saint-Domingue 1803
Collo 1843
Vauquois 1915
L'Aisne 1917
Champagne 1918
Anniversaire Saint-Maurice
Guerres Guerre de Vendée
Guerre de la Première Coalition
Campagne de Flandre
Expédition de Saint-Domingue
Expédition d'Espagne
Conquête de l'Algérie par la France
Guerre de Crimée
Guerre franco-allemande de 1870
Première Guerre mondiale
Seconde Guerre mondiale
Batailles Virée de Galerne
Siège de Granville
Bataille de Dol
Bataille du Mans
Bataille de Savenay
Bataille de Noirmoutier
bataille de Biberach
Bataille de Deerlacht
Bataille de Sedan
Bataille de Collo
Bataille de Vauquois
Bataille de Champagne
Bataille de la Somme
Bataille de France
Fourragères Aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1914-1918
Décorations Croix de guerre 1914-1918
deux palmes

Le 31e régiment d'infanterie (31e RI) est un régiment d'infanterie de l'Armée de terre française.

Créé sous la Révolution à partir du régiment d'Aunis, un régiment français d'Ancien Régime. Il combat lors des guerres de Coalitions jusqu'en 1803. Recréé en 1820, il participe à quelques expéditions militaires sous la Restauration, la monarchie de Juillet et le Second Empire. Il combat ensuite lors de la Première et de la Seconde Guerre mondiale, lors de laquelle il est dissous en 1940.

Création et différentes dénominations

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Colonels / Chef de brigade

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Le colonel Lajaille du 31e régiment d'infanterie en 1910.

Historique des garnisons, combats et batailles du 31e RI

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Ancien Régime

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31e régiment d'infanterie de ligne ci-devant Aunis (1791-1794)

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Guerres de la Révolution et de l'Empire

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En 1791, le régiment de la Martinique, qui s'était révolté en 1790, était toujours retranché au fort Bourbon.
Afin de débloquer la situation le régiment de la Guadeloupe, appelé pour combattre cette insurrection, se révolta également et alla rejoindre les insurgés.
Les 2e bataillons des 31e, 34e et 58e régiment d'infanterie furent embarqués à Brest ainsi que le 2e bataillon des 25e embarqué à Nantes et débarquèrent en Martinique pour être employé contre les rebelles. Les 2e bataillons des 25e et 34e refusèrent d'agir contre les rebelles. Ils furent renvoyés en France et débarquèrent en juin à Rochefort et à Brest. Le 2e bataillon du 58e refusa quant à lui de débarquer et revint en juin à Brest[1].
Le 1er bataillon se rendit de Caen à Cherbourg, au mois de novembre de la même année. À peine était-il sorti de la ville, qu'une tentative de contre-révolution y éclata. Les habitants le redemandèrent, mais le 31e régiment ci-devant Aunis continua sa route et occupa Cherbourg jusqu'aux premiers soulèvements de la Vendée en 1793.

Pendant que le 2e bataillon se distinguait cette année à la défense des Antilles contre les Anglais et se couvrait de gloire à Sainte-Lucie, le 1er bataillon se trouvait au premier rang dans tous les actes de ce terrible drame qui ensanglanta les départements de l'Ouest. Le 31e régiment ci-devant Aunis faisait, en effet, partie de l'armée des côtes de Cherbourg, qui se réunit aux armées de Brest et de l'Ouest, lorsque les Vendéens eurent passé la Loire.
Il se trouva aux affaires de Granville et de Dol, et combattit de la manière la plus énergique, les 12 et 13 décembre, aux affaires du Mans.
La fougue désordonnée de Westermann et l'ivrognerie de Muller avaient compromis l'armée républicaine, et tout était perdu sans la bravoure des régiments d'Armagnac et d'Aunis. Ces braves soldats, après la déroute des gardes nationales, s'élancèrent au-devant des Vendéens vainqueurs, et les forcèrent à reculer à leur tour. Dix jours après, les malheureux débris de l'armée royaliste furent anéantis à Savenay, et là encore, ils trouvèrent devant eux les terribles baïonnettes du 31e régiment.

Le , 146 grenadiers du régiment étaient à la prise de l'île de Noirmoutiers et contribuaient à l'extermination de la bande de d'Elbée.

Le , lors de la réorganisation des corps d'infanterie français le 1er bataillon du 31e régiment d'infanterie (ci-devant Aunis) est amalgamé avec le 1er bataillon de volontaires du Morbihan et le 8e bataillon de volontaires de la Manche pour former la 61e demi-brigade de première formation.
Le 2e bataillon qui devait former le noyau de la 62e demi-brigade de première formation étant aux colonies, elle n'a existé que sur le papier. À leur retour des Antilles, les débris du 2e bataillon furent versés directement, lors de la réorganisation de 1796, dans la formation de la 76e demi-brigade de deuxième formation.

31e demi-brigade de première formation (1793-1796)

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Guerres de la Révolution et de l'Empire

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Le , lors du premier amalgame la 31e demi-brigade de première formation est formée avec les :

La 31e demi-brigade, fait les campagnes de l'an III (1795) et de l'an IV (1796) à l'armée du Nord et participe à la conquête de la Hollande.

En 1796, rattachée à l'armée de Rhin-et-Moselle, la demi-brigade est présente à la bataille de Biberach et au passage du Rhin par l'armée du général Moreau battant glorieusement en retraite face à la masse de l'infanterie et de l'artillerie autrichienne.

Lors du second amalgame, elle est incorporée dans la 42e demi-brigade de deuxième formation.

31e demi-brigade de deuxième formation (1796-1803)

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Guerres de la Révolution et de l'Empire

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La 31e demi-brigade de deuxième formation est formée le 28 pluviôse an IV () par l'amalgame des :

La 31e demi-brigade fait la campagne de l'an IV (1796) et de l'an V (1797) à l'armée du Rhin et à l'armée de Rhin-et-Moselle, celle de l'an VI (1798) aux armées d'Allemagne, d'Helvétie et d'Italie, celle de l'an VII (1799), de l'an VIII (1800) et de l'an IX (1801) à l'armée d'Italie.
Le cette demi-brigade est l'une des premières à franchir le Rhin puis à s'emparer des retranchements de Kehl. Elle se fait remarquer le à la bataille de Deerlacht puis au passage du Lech et à l'attaque de Freising le 24 août suivant ainsi qu'au second passage du Rhin le .
Le 3e bataillon de ce corps a participé à l'expédition de Saint-Domingue. Ce bataillon entra dans la composition de la nouvelle 7e demi-brigade en application de l'arrêté du 12 floréal an XI ().

Le 1er vendémiaire an XII (), lors de la réorganisation des corps d'infanterie, le 1er bataillon de la 31e demi-brigade de deuxième formation incorpore le 7e régiment d'infanterie de ligne et le 2e bataillon incorpore le 105e régiment d'infanterie de ligne.

La 31e demi-brigade n'étant pas constituée, son numéro reste vacant jusqu'en 1820.

Légion de l'Orne (1815-1820)

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Par ordonnance du , Louis XVIII crée les légions départementales. La 60e Légion de l'Orne, qui deviendra le 31e régiment d'infanterie de ligne en 1820, est créée.

31e régiment d'infanterie de ligne (1820-1882)

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En 1820 une ordonnance royale de Louis XVIII réorganise les corps de l'armée française en transformant les légions départementales régiments d'infanterie de ligne. Ainsi, le 31e régiment d'infanterie de ligne est formé, à La Rochelle, avec les 3 bataillons de la légion de l'Orne.

1820 à 1852

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Uniforme de 1822 de fusilier du 31e de ligne, exposé au musée de l'Armée.

Le 31e régiment d'infanterie de ligne fait la campagne de 1823 au 4e corps de l'armée d'Espagne avec lequel il se distingue, le 27 août 1823, lors de l'affaire d'Altafulla, sous Tarragone.

En 1830, une ordonnance du créé le 4e bataillon et porte le régiment, complet, à 3 000 hommes[3].

Rattaché à l'armée d'Afrique, participe aux campagnes de 1840 à 1847 de la conquête de l'Algérie par la France. Le régiment se distingue particulièrement en 1841 durant l'expédition contre la tribu des Beni-Ouelbar, aux prises de Tebessa, de Milah et de Collo, dans l'expédition dans l'Aurès, puis le 7 juin 1842, lors des combats et expéditions contre les Banenchas, Bou-Chaleb, Ouled-Djleddad et les Kabyles, le 18 mai 1843, et à l'expédition de Kabylie en 1845.

En 1848 et 1849, il est affecté à l'armée des Alpes.

Second Empire

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En 1855 à 1856 il participe à la guerre de Crimée.

Par décret du le 31e régiment d'infanterie fourni 1 compagnie pour former le 102e régiment d'infanterie de ligne.

Durant la guerre de 1870, il est à l'armée de Châlons combat devant Balan, Mouzon, Donzy et Sedan ou il est fait prisonnier.

D'août 1870 à février 1871, le dépôt du 31e de ligne, à Bordeaux, forme onze compagnies de renfort, qui rejoignent des régiments de marche[4].

1871 à 1914

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Le , la compagnie de marche du 31e de ligne qui composait le 36e régiment de marche est engagé dans l'affaire du Gué-du-Loir.

Le , le 31e régiment de marche fusionne dans le 31e de ligne[5].

Exercices militaires menés par le 31e RI dans la cour de la caserne de Melun en 1912.

En 1914, son casernement est à Melun (1er bataillon) et à Paris et fort de Romainville, (2e et 3e bataillons). Le régiment est rattaché à la 20e brigade de la 10e division d'infanterie du 5e corps d'armée.

31e régiment d'infanterie

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Première Guerre mondiale

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Formé à 3 bataillons, 11 compagnies et 3 sections de mitrailleuses[réf. nécessaire], le régiment fait partie de la 10e division d'infanterie d' à .

Le le 1er bataillon quitte Melun et les 2e et 3e bataillons Paris, par voie ferrée, et rejoint Troyon le [6].

Le le régiment se met en mouvement avec le corps d'armées dans la direction du nord-est.

Bataille des Frontières

Le , le 31e, qui a quitté Maucourt-sur-Orne à 5 heures du matin, apprend, à Billy-sous-Mangiennes, qu'au lieu de s'arrêter à Longuyon, il doit pousser jusqu'à Cons-la-Grandville, à 23 kilomètres de là. Malgré la chaleur accablante et la fatigue des étapes précédentes, le 31e atteint Cons-la-Grandville à 7 heures du soir après une étape de 45 kilomètres.
Le 1er bataillon doit aller cantonner à 4 kilomètres de là, à Cutry, où la présence de l'ennemi est signalée. Ce sont des cavaliers allemands qui se replient à l'arrivée du bataillon.

Le , c'est le « combat de Cutry-Rehon ».
Au petit jour, les 2e et 3e compagnies sont détachées à Rehon, à 3 kilomètres environ au nord. Peu après, les Allemands, appuyés par le tir de leur artillerie, qui ouvre le feu sur Cutry et Rehon, attaquent ces deux villages. Le bataillon résiste avec énergie et, par un tir bien ajusté, inflige à l'ennemi des pertes sanglantes; mais les Allemands, recevant sans cesse de nouveaux renforts, continuent leur progression en cherchant à couper la retraite aux défenseurs des deux villages, auxquels le 2e bataillon tente en vain d'aller porter secours; un violent tir d'artillerie l'en empêche. Sous la menace d'encerclement, la retraite s'exécute par les rives de la Chiers.

Grande Retraite

Le , le régiment participe au repli du 5e corps d'armée dans la région de l'Othain, au sud de la Chiers.

Le , il se porte vers le nord de Longuyon; c'est le « combat de Noërs » .
Le 3e bataillon, soutenu par le 2e bataillon, se porte à l'assaut du piton de Noërs, malgré une violente fusillade et une avalanche d'obus. L'ennemi, surpris, abandonne la crête et une partie du village de Noërs et ouvre un violent feu d'artillerie sur le piton.Le 3e bataillon est vite décimé en s'acharnant à défendre cette position durement enlevée. Faute de renfort, il doit cependant refluer. Le soir, le régiment se trouve rassemblé au sud de Merles-sur-Loison.

Le , il tient jusqu'à la nuit les hauteurs au sud de Merles pour protéger la retraite de la division en direction de Sivry-sur-Meuse.

Les 26 et , il prend part à la retraite de la division sur Apremont située à la lisière est de la forêt d'Argonne.

Le , la 3e armée française reprend l'offensive vers le nord. Le régiment, en réserve, est engagé dans la soirée du au sud de Vaux-en-Dieulet; c'est le « combat de Fossé ». Le mouvement s'exécute au milieu d'un feu violent de mousqueterie, de mitrailleuses et d'artillerie. Le régiment couche sur ses positions. Le au matin, le combat reprend. Malgré une violente canonnade, les positions sont maintenues jusqu'à la nuit. Dans la nuit, le régiment se replie sur Apremont.

Du 3 au , la retraite se continue vers le sud.

Bataille de la Marne

Le c'est le « combat de Laheycourt, Villers-aux-Vents, bois de Laimont ».
En se rendant sur les crêtes au nord de Villers-aux-Vents (cote 190), le régiment se heurte à l'ennemi à Laheycourt; en combattant, il va occuper la position assignée qu'il défend avec acharnement toute la matinée malgré des pertes considérables. Mais le ravitaillement en cartouches des unités se fait difficilement et le repli s'exécute sur Laimont, où le régiment reçoit l'ordre d'organiser et de tenir coûte que coûte la lisière du bois à l'est de ce village, au nord de la route de Bar-le-DucChâlons.
Du 7 au , le régiment tient cette position sans défaillance. Malgré les pertes causées par les violentes rafales d'artillerie ennemie, malgré la faiblesse des effectifs, le régiment résiste vigoureusement à toutes les tentatives ennemies de forcer nos lignes.

Le , l'ennemi bat en retraite et la poursuite commence dans la direction du nord par Belval, Froidos, Avocourt.

Le c'est le « combat du bois de Chehemin ». Le régiment se met en marche sur Montfaucon. Le 3e bataillon, à l'avant-garde, débouche du bois Chehemin, sur le glacis que suit la route de Varenne–Montfaucon; il est littéralement décimé, disloqué par les mitrailleuses et l'artillerie ennemies. Le 2e bataillon, qui appuie son mouvement en avant, le recueille et organise avec lui la lisière du bois Chehemin, tandis que le 1er bataillon protège le flanc gauche. Du 17 au , le régiment s'organise sur la position ; il est très affaibli par ses pertes, les bataillons ne comptent plus guère que 250 à 400 fusils et les attaques journalières faites sans appui d'artillerie les épuisent de plus en plus. Les obus font défaut. Relevé le , le régiment est alerté le lendemain pour défendre le bois de Cheppy et reste en ligne jusqu'au , période pendant laquelle le front commence à se stabiliser.

  • -  : secteur de l'Argonne (Pierre Croisée, Haute Chevauchée).
  • 1er janvier -  : secteur de Vauquois.
  • -  : Bataille de la Somme, (bois de Saint-Piere-Vaast).
  • 11 -  : secteur de l'Aisne.
Reconstitution de l'uniforme du 31e RI en 1917-1918.
  • 1er janvier -  : secteur de l'Aisne (bois des Buttes, Ville-aux-Bois).

Entre-deux-guerres

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Après-guerre, il est en garnison à Paris, à la caserne des Tourelles.

Seconde Guerre mondiale

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Formé le sous les ordres du lieutenant-colonel Devevey, il appartient à la 45e division d’infanterie de la 7e armée[7]

Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[8] :

Fourragère aux couleurs de la Croix de guerre 1914-1918
Fourragère aux couleurs de la Croix de guerre 1914-1918

Décorations

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La cravate de son drapeau est décorée de la Croix de guerre 1914-1918 avec deux citations à l'ordre de l'Armée.

Il a le droit au port de la fourragère aux couleurs de la Croix de guerre 1914-1918.

Personnalités ayant servi au sein du régiment

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Sources et bibliographie

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Notes et références

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  1. Histoire de l'infanterie en France par Belhomme T3 P461
  2. Pour ce bataillon ce n'est pas très clair. Dans son ouvrage, le général Eugène Bardin appelle ce bataillon 15e bataillon des Vosges et Meurthe et le rattache à 4e demi-brigade de première formation; cependant Adrien Pascal le nomme bataillon des Vosges et Meurthe et le rattache en partie à la 109e demi-brigade de première formation.
  3. Belhomme 1902, p. 151.
  4. Aristide Martinien, La mobilisation de l'armée, mouvement des dépôts (armée active) du 15 juillet 1870 au  : guerre de 1870-1871, Paris, L. Fournier, , 463 p. (lire en ligne), p. 78-79
  5. Belhomme 1902, p. 561.
  6. Historique du 31e régiment d'infanterie (1914-1918)
  7. Recueil d'Historiques de l'Infanterie Française, Général Andolenko, Eurimprim 1969.
  8. Décision no 12350/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées, no 27, 9 novembre 2007

Articles connexes

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Liens externes

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