Cuir et maroquinerie - Faits et chiffres
Le mot « maroquinerie » vient du mot « maroquin » désignant une peau de chèvre ou de mouton tannée. La maroquinerie concerne alors la fabrication de sacs à main, ceintures ainsi que d'autres accessoires de mode et d'objets du quotidien.
En 2016, la production issue de la tannerie et maroquinerie représentait un montant supérieur à 4,8 milliards d'euros en France. En 2017, ce secteur d'activité français a produit plus de 11,3 millions de sacs à main et environ deux millions de ceintures. La plupart des entreprises, employant au total plus de 20.000 personnes, se trouvaient en Île-de-France et dans la région Auvergne-Rhône-Alpes. Plus de deux tiers des salariés de la maroquinerie française étaient des ouvriers en atelier.
La balance commerciale de la maroquinerie française, c'est-à-dire la différence entre les exportations et importations, était positive pour l'année 2017. Les importations représentaient un montant d'environ 3,7 milliards d'euros, comparé à des exportations d'une valeur supérieure à 6,5 milliards.
Pour les entreprises de luxe françaises, comme par exemple Hermès, les articles en cuir sont une source de revenu importante. En 2018, la moitié de la valeur des ventes du groupe a été réalisée grâce à la branche de la maroquinerie-sellerie. L'histoire de cette Maison prestigieuse est d'ailleurs étroitement liée au cuir : à l'origine, Hermès vendait uniquement des selles et harnais en cuir pour cheval. Au début du vingtième siècle avec l'apparition et la démocratisation des voitures personnelles, Hermès étend finalement ses activités aux articles de voyage, tels que sacs et valises en cuir.
D'ailleurs, plus de 60 % des Français prévoyaient d'acheter un sac pour leur prochain achat en maroquinerie.
En 2016, la production issue de la tannerie et maroquinerie représentait un montant supérieur à 4,8 milliards d'euros en France. En 2017, ce secteur d'activité français a produit plus de 11,3 millions de sacs à main et environ deux millions de ceintures. La plupart des entreprises, employant au total plus de 20.000 personnes, se trouvaient en Île-de-France et dans la région Auvergne-Rhône-Alpes. Plus de deux tiers des salariés de la maroquinerie française étaient des ouvriers en atelier.
La balance commerciale de la maroquinerie française, c'est-à-dire la différence entre les exportations et importations, était positive pour l'année 2017. Les importations représentaient un montant d'environ 3,7 milliards d'euros, comparé à des exportations d'une valeur supérieure à 6,5 milliards.
Pour les entreprises de luxe françaises, comme par exemple Hermès, les articles en cuir sont une source de revenu importante. En 2018, la moitié de la valeur des ventes du groupe a été réalisée grâce à la branche de la maroquinerie-sellerie. L'histoire de cette Maison prestigieuse est d'ailleurs étroitement liée au cuir : à l'origine, Hermès vendait uniquement des selles et harnais en cuir pour cheval. Au début du vingtième siècle avec l'apparition et la démocratisation des voitures personnelles, Hermès étend finalement ses activités aux articles de voyage, tels que sacs et valises en cuir.
D'ailleurs, plus de 60 % des Français prévoyaient d'acheter un sac pour leur prochain achat en maroquinerie.
