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Malicorne-sur-Sarthe — Wikipédia

Malicorne-sur-Sarthe

commune française du département de la Sarthe

Malicorne-sur-Sarthe est une commune française, située dans la région Pays de la Loire, dans le département de la Sarthe et est l'ancien chef-lieu du canton de Malicorne-sur-Sarthe, rattachée depuis 2015 à celui de la Suze-sur-Sarthe. Elle est peuplée de 1 882 habitants[Note 1] (les Malicornais).

Malicorne-sur-Sarthe
Malicorne-sur-Sarthe
L'église Saint-Sylvestre, rive gauche de la Sarthe.
Blason de Malicorne-sur-Sarthe
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Sarthe
Arrondissement La Flèche
Intercommunalité Communauté de communes du Val de Sarthe
Maire
Mandat
Carole Roger (DVG)
2020-2026
Code postal 72270
Code commune 72179
Démographie
Gentilé Malicornais
Population
municipale
1 882 hab. (2021 en évolution de −1,57 % par rapport à 2015)
Densité 124 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 48′ 52″ nord, 0° 05′ 01″ ouest
Altitude Min. 28 m
Max. 70 m
Superficie 15,13 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Sablé-sur-Sarthe
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Suze-sur-Sarthe
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Malicorne-sur-Sarthe
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Malicorne-sur-Sarthe
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Malicorne-sur-Sarthe
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Malicorne-sur-Sarthe
Liens
Site web www.ville-malicorne.fr

Elle est particulièrement connue pour ses faïences et titulaire du label Ville et Métiers d'Art[1].

La commune fait partie de la province historique du Maine[2], et se situe dans le Haut-Maine (Maine blanc).

Géographie

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La commune est au sud-ouest du Haut-Maine, aux portes du Maine angevin, sur la rive sud de la Sarthe. Son bourg est à 16 km au nord de La Flèche, à 19 km à l'est de Sablé-sur-Sarthe et à 32 km au sud-ouest du Mans[3].

Communes limitrophes de Malicorne-sur-Sarthe[4]
Dureil Noyen-sur-Sarthe Saint-Jean-du-Bois (sur quelques mètres),
Mézeray
Parcé-sur-Sarthe   Mézeray
Arthezé Arthezé, Bousse Courcelles-la-Forêt

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 688 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Luché-Pringé à 17 km à vol d'oiseau[7], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 658,2 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Malicorne-sur-Sarthe est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sablé-sur-Sarthe, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[12]. Cette aire, qui regroupe 39 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (63,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (27,7 %), forêts (26,6 %), terres arables (23,6 %), zones agricoles hétérogènes (12 %), zones urbanisées (8,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Le toponyme est attesté sous les formes Malocornu vers 1050, Malecornant vers 1050, Malicorni en 1080-1081[16]. Il est issu d'une expression en ancien français, « mal y corne », qui était utilisée pour décrier une bâtisse (moulin, château…), pour signifier soit qu'elle était mal en point[16], soit que l'on y était mal reçu[17].

En 1933, Malicorne prend le nom de Malicorne-sur-Sarthe[18]. La rivière borde le territoire au nord.

Histoire

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Moyen Âge

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Un château, édifié au début du XIe siècle, au temps du comte d'Anjou Foulque Nerra, s'élevait au bord de la Sarthe, dont il surveillait la navigation. Cette forteresse servit d'abord pour protéger l'Anjou avant d'avoir pour rôle de garder les portes entre Anjou et Maine.

Epoque moderne

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Malicorne faisait partie de la sénéchaussée angevine de La Flèche et de l'ancienne province d'Anjou. Sous l'Ancien Régime et jusqu'à la Révolution française, Malicorne dépendait du pays d'élection de La Flèche.

Au XVIIe siècle, la marquise de Sévigné y rendait visite à la marquise de Lavardin.

Au XVIIIe siècle, le château appartint notamment au duc de Choiseul.

La faïence de Malicorne

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À partir de la fin du XVIIIe siècle, Malicorne développa une intense activité faïencière avec plusieurs manufactures renommées, dont la première est fondée en 1747[19]. Cet ensemble industriel composé à l'origine de 2 ou 3 bâtiments artisanaux, se manifesta, à cette époque et postérieurement à sa création, comme étant « le plus grand centre de céramique sarthois »[19].

Epoque contemporaine

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Lors de la Révolution française, la commune fut, comme toutes celles de la sénéchaussée de La Flèche, rattachée au nouveau département de la Sarthe. En 1801, lors du Concordat, la paroisse fut détachée du diocèse d'Angers pour celui du Mans.

Vers le milieu du XIXe siècle, en parallèle de la fabrication d'objets en faïence, le pôle manufacturier malicornais se diversifia et s'orienta dans un second secteur d'activité[19]. Il ouvre ainsi les portes de deux nouveaux ateliers, l'un situé au lieu-dit des « Sablons » l'autre sur celui de « Chardon », et destinés à la confection de poteries en grès[19].

Politique et administration

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Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1989 mars 2008 Alain Davaze DVG[20]  
2008 Xavier Lepec PS Cadre en préfecture
2008 2014 Xavier Mazerat SE Cadre commercial
2014[21] En cours Carole Roger[22] DVG Cadre administratif
Les données manquantes sont à compléter.

Xavier Lepec fut déchu de ses fonctions de maire de Malicorne-sur-Sarthe à la suite d'un combat juridique avec le maire sortant et non réélu, Alain Davaze. En effet, après les élections municipales de 2008 et l'élection de Xavier Lepec, Alain Davaze a déposé un recours au motif que le nouveau maire ne pouvait pas prétendre à la fonction d'élu du fait de ses fonctions de chef de service à la préfecture. Le tribunal administratif de Nantes a statué en faveur du recours d'Alain Davaze. Les Malicornais ont dû revoter et Xavier Mazerat fut élu maire par le nouveau conseil municipal. Xavier Lepec n'était autre que le premier adjoint d'Alain Davaze pendant de longues années.

Le conseil municipal est composé de dix-neuf membres dont le maire et cinq adjoints[22].

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].

En 2021, la commune comptait 1 882 habitants[Note 3], en évolution de −1,57 % par rapport à 2015 (Sarthe : −0,42 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0081 0231 0671 0321 0941 1651 2501 3081 500
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5411 4211 5091 4381 5071 5151 5271 4541 389
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5411 6191 6481 5211 5591 7991 7671 7521 727
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 7621 7951 7321 7691 6591 6861 8781 9331 962
2014 2019 2021 - - - - - -
1 9151 8841 882------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie et tourisme

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  • Camping municipal de trois étoiles.
  • La Sarthe qui traverse la commune est propice au tourisme fluvial.
  • L'activité de la faïence et le musée Espace faïence développent également le tourisme dans la commune.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Activité, labels et manifestations

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La commune est reconnue « ville et métiers d'art »[réf. nécessaire].

Le Sporting club malicornais fait évoluer deux équipes de football en divisions de district[32].

Autres sports
  • Association sportive de tennis.
  • Section cyclotourisme du SC malicornais.
  • Basket Club malicornais.
  • L'Union : boule de fort.
  • Pétanque Club du Canal.

Manifestations

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C'est dans l'imposant château du village que venaient loger les grands du royaume, dont Madame de Sévigné, pour fuir le tumulte parisien. À la même époque, le village, établi sur des carrières d'argile, décida de tirer profit de cette richesse et créa l'un des plus grands ateliers de production de faïences français. Les artisans ont d'ailleurs mis au point la technique particulière de l'ajouré qui consiste à découper avant cuisson des motifs dans la paroi. Un moulin du XVIIIe siècle servait même à broyer des pigments naturels pour fabriquer des émaux. Aujourd'hui, Malicorne prolonge son histoire artistique. À l'initiative de la municipalité et de l'association l'Atelier des Houlaies, la commune organise chaque mois d'octobre une manifestation qui donne l'occasion aux peintres et sculpteurs d'exposer chez des commerçants mais aussi dans divers lieux emblématiques du village. En 2011, pour sa troisième édition, le festival a accueilli 130 artistes. Un échange qui permet de créer du lien, mais qui est également une source d'inspiration pour les nouveaux faïenciers[33].

Personnalités liées

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  • Félix de Chourses (aussi orthographié Choursses, ou Sourches, mais jamais Chaource). Seigneur de Chéméré et de Malicorne. Époux de Madeleine (de) Baïf, nièce de Lazare de Baïf (+1547) célèbre poète de la Renaissance.
  • Marguerite de Chourses. Fille des précédents. Elle épouse en 1545 Charles de Beaumanoir, seigneur de Lavardin (+1572). Mère du maréchal de France Jean de Beaumanoir, marquis de Lavardin (1551+1614).
  • Catherine de Chourses (+1607). Abbesse du Pré au diocèse du Mans (1550-1607). Elle sauve la production littéraire de son grand-oncle Baïf.
  • Jehanne de Chourses. Elle épouse avant 1564 Gallois Le Bailleul, seigneur de Longpont, noble possessionné en Hurepoix, puis en 1568 Etienne Du Breuil. Conseiller en parlement de Paris (1573-1574), il résigne sa charge pour devenir maître des Requêtes ordinaire de l'Hôtel du Roi (1583). Il accompagne Henri de Navarre lors de la réduction de la ville de Rouen. En 1596, Henri IV l'humilie devant le grand écuyer après lui avoir demandé une première fois de se retirer[34]. Acquéreur des fiefs qui formeront La Brosse-Montceaux, près de Montereau-fault-Yonne, où il bâtira un château. Poursuivi par des créanciers en 1618.
  • Jehan de Chourses. Frère des précédentes. Seigneur de Malicorne (1583) et autres lieux. Capitaine de 50 hommes d'armes de la compagnie d'ordonnance (1560-1583). Commande la cavalerie à la bataille de Moncontour gagnée par le futur Henri III en 1569. Chevalier de l'Ordre du Saint-Esprit dès la première promotion du . Chevalier des ordres du Roi et conseiller au Conseil d'État et Privé en 1583. Gouverneur du Poitou de 1585 à 1603 à la suite de son beau-père. Il épouse en 1578 Françoise de Daillon. Il décède sans descendance le .
  • L'acteur français Maurice Barrier (1932-2020) y est né[35].

Héraldique

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Les armes de la commune de Malicorne-sur-Sarthe se blasonnent ainsi :
De sable à trois poissons d'argent, l'un au-dessus de l'autre ; mantelé d'argent à cinq fasces de gueules.

Dans la culture populaire

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  • Le groupe français de musique folk Malicorne tient son nom de Malicorne-sur-Sarthe : c'est en se rendant en Bretagne pour donner un concert au festival de Kertalg fin que le couple fondateur Gabriel et Marie Yacoub ainsi que Hughes de Courson, lui-même futur membre fondateur (et producteur) du groupe, ont été amenés à passer par hasard à Malicorne-sur-Sarthe. Hughes de Courson eut l'idée de retenir ce nom pour le groupe encore en gestation[36]. Malicorne sera officiellement formé le [37].

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Population municipale 2021.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Les villes labellisées », sur Le site Ville et Métiers d'Art (consulté le ).
  2. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 2, , p. 462
  3. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
  4. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Malicorne-sur-Sarthe et Luché-Pringé », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Luché-Pringé », sur la commune de Luché-Pringé - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Luché-Pringé », sur la commune de Luché-Pringé - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Malicorne-sur-Sarthe ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Sablé-sur-Sarthe », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, Genève, (lire en ligne), p. 1129.
  17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
  18. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. a b c et d Gaëlle Caudal (dir.), « La transformation des ressources naturelles : L'argile », dans Gaëlle Caudal et al., État des lieux - Patrimoine industriel - Région Pays de la Loire : synthèse de l’histoire industrielle de la région, Région Pays de la Loire - Service Patrimoine (Pôle recherche et inventaire), , 144 p. (lire en ligne [PDF]), pages 8, 107 et 108.
  20. « Ouest-france.fr - Alain Davaze se représente aux municipales » (consulté le ).
  21. « De nouveaux maires et adjoints élus dès ce vendredi soir », Le Maine libre, (consulté le ).
  22. a et b Réélection 2020 : « Municipales à Malicorne-sur-Sarthe. Carole Roger réélue maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. « Église », notice no PA00109793, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. « Œuvres mobilières à Malicorne-sur-Sarthe », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  28. « Château (également sur commune d'Artheze) », notice no PA00109792, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. « Croix encadrée : Christ en croix », notice no PM72001159, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  30. « Site communal - Le patrimoine » (consulté le ).
  31. « La Chapelle Notre-Dame-de-Chiloup », sur L'Observatoire du Patrimoine Religieux (consulté le ).
  32. « Site officiel de la Ligue du Maine – SC Malicornais » (consulté le ).
  33. GEO No 397 de mars 2012 p. 123.
  34. Journal de Pierre de L'Estoile à la date du 1er février 1596.
  35. « COVID-19 : Le comédien Maurice Barrier est mort des suites du coronavirus », sur france3-regions.francetvinfo.fr, France 3 Bourgogne-Franche-Comté (consulté le ).
  36. Article paru dans Trad Magazine no 144 (juillet/août 2012) p. 34-36 : interview de Gabriel Yacoub (propos recueillis par Gérard Viel)
  37. « Interview de Gabriel Yacoub & Marie Sauvet du groupe Malicorne avant leur tout dernier concert » (consulté le ).