Cancon
Cancon est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).
Cancon | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Lot-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Villeneuve-sur-Lot | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Bastides en Haut-Agenais Périgord | ||||
Maire Mandat |
Elisabeth Pichard 2020-2026 |
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Code postal | 47290 | ||||
Code commune | 47048 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Canconnais | ||||
Population municipale |
1 354 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 55 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 32′ 12″ nord, 0° 37′ 35″ est | ||||
Altitude | 175 m Min. 90 m Max. 217 m |
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Superficie | 24,49 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Villeneuve-sur-Lot (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Haut Agenais Périgord | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | http://www.cancon.fr/ | ||||
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Géographie
modifierLocalisation
modifierCommune située sur la route nationale 21 entre Castillonnès et Villeneuve-sur-Lot, sur le Tolzac.
Communes limitrophes
modifierLes communes limitrophes sont Beaugas, Boudy-de-Beauregard, Lougratte, Moulinet, Saint-Eutrope-de-Born et Saint-Maurice-de-Lestapel.
Climat
modifierLe climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1952 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2,1 | 2,2 | 4,3 | 6,2 | 9,8 | 13,1 | 15 | 14,9 | 11,8 | 9,4 | 5 | 2,7 | 8,1 |
Température moyenne (°C) | 5,7 | 6,6 | 9,4 | 11,7 | 15,6 | 19 | 21,2 | 21,1 | 18 | 14,3 | 9 | 6,2 | 13,2 |
Température maximale moyenne (°C) | 9,3 | 11 | 14,5 | 17,1 | 21,4 | 25 | 27,4 | 27,4 | 24,1 | 19,3 | 12,9 | 9,6 | 18,3 |
Record de froid (°C) date du record |
−15,9 17.01.1987 |
−14,2 20.02.1956 |
−11 01.03.05 |
−3,2 07.04.08 |
0 06.05.19 |
2,4 02.06.1962 |
6,7 02.07.1975 |
3,5 28.08.1963 |
0,4 17.09.1971 |
−4,1 31.10.1997 |
−10,1 03.11.1965 |
−12,1 26.12.1962 |
−15,9 1987 |
Record de chaleur (°C) date du record |
18,5 02.01.03 |
25 27.02.19 |
27,3 21.03.1990 |
30 26.04.1962 |
33,5 30.05.01 |
39 27.06.19 |
39,5 25.07.19 |
40,4 04.08.03 |
36 03.09.05 |
31,8 02.10.1985 |
24,4 07.11.15 |
21 03.12.1953 |
40,4 2003 |
Précipitations (mm) | 74,2 | 63,9 | 63,7 | 85,8 | 86,5 | 70,8 | 60 | 62,8 | 67,9 | 81 | 80,5 | 80,1 | 877,2 |
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Cancon est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Villeneuve-sur-Lot, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[10]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,4 %), zones agricoles hétérogènes (9,4 %), cultures permanentes (8,8 %), forêts (6 %), zones urbanisées (4,2 %), prairies (0,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Cancon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].
Risques naturels
modifierCertaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Cluzelou et le Tolzac. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2006, 2009 et 2021[16],[14].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[17]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[18].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[19]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[20].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1995, 2003, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[14].
Toponymie
modifierHistoire
modifierAux temps préhistoriques, dans la région couverte de forêts, il y a eu certainement un habitat humain. Mais en l'absence de témoignages irréfutables, on en est réduit à de simples hypothèses.
Durant la période gallo-romaine, le territoire de Cancon faisait partie du royaume des Nitiobroges. Après les campagnes de Jules César, les 500 ans de la Pax Romana, les Invasions barbares, celles des Arabes et des Normands, après les règnes de Charlemagne et les luttes féodales, aurait été établi à Cancon, sur l'escarpement rocheux, un château datant du XIe siècle. Au début du XIIIe siècle, Cancon appartenait aux Madaillan et son premier seigneur connu serait Pons-Amanieu. Le seigneur de Cancon répondit à l'appel d'Édouard II qui avait demandé à ses vassaux de Guyenne de le seconder durant les Guerres d'indépendance de l'Écosse.
Au XVIe siècle le protestantisme ne pénétra guère dans les remparts de Cancon.
En , la peste fit son apparition à Cancon dans une ville surpeuplée. En quelques mois, on enregistra plus de cent décès. La peste éloigna de Cancon les Frondeurs (de la Fronde) ainsi que les troupes royales.
Après la Révolution de 1789, on avait élu la première municipalité révolutionnaire avec Antoine Courborieu, premier maire.
Héraldique
modifierBlason | Palé d'or et de gueules de huit pièces à la bordure de sable chargée de huit besants d'argent[21]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierJumelages
modifierAlgolsheim (Haut-Rhin) (France) depuis 2001[23].
Démographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].
En 2021, la commune comptait 1 354 habitants[Note 6], en évolution de +0,3 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
modifierAgriculture
modifierCancon s'enorgueillit d'être la capitale de la noisette depuis 1985, année où l’ANPN (Association Nationale des Producteurs de Noisettes) et la coopérative Unicoque se sont installées dans la commune. À l'heure actuelle, plus de 98 % des noisettes produites en France (10 000 tonnes en 2010) transitent par Cancon. Grâce à une importante mécanisation de la récolte, du séchage et du triage, la filière de la noisette est une occasion de développement pour la commune.
Lieux et monuments
modifier- Le plus ancien est sans doute le château dont il ne reste que la base d'une tour et d’autres murs débarrassés de la végétation qui y poussait au début des années 2000. Il est situé au sommet de la colline où est flanquée le village et on y a un point de vue sur les habitations et la campagne environnante.
- Une des places du village est occupée par une halle construite en métal au XIXe siècle.
- Non loin de là se trouve le monument aux morts des guerres récentes ayant affectées la population locale : la première et la Seconde guerres mondiales, ainsi que des conflits en Afrique du Nord.
- L'ancienne église Saint-Martial, place des Marronniers, a été abandonnée en 1909 comme église à la suite de craintes sur la stabilité du terrain. La première église avait été construite au XIIe siècle. Elle a été réconstruite au XVIe siècle par Jean III de Verdun, seigneur de Cancon. Elle s'est partiellement effondrée en 1931. Restaurée, elle a d'abord servi de foyer, puis d'entrepôt municipal[28].
- L'église Saint-Martial a été reconstruite et inaugurée en 1905 dans la ville basse. L'église a subi des désordres qui ont entraîné son interdiction au culte en 1966 et sa démolition en 1974. La nouvelle église est construite à partir du près de la mairie et consacrée en 1977 par l'évêque d'Agen[29]. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[30].
- L'église Notre-Dame de Milhac, située sur la commune de Cancon, est une église gothique du XVe – XVIe siècle, inscrite aux monuments historiques.
- L'hospice-école de Cancon construit entre 1856 et 1856 à l'initiative de la municipalité. Il a d'abord fonctionné comme une institution religieuse sous la direction de la congrégation des sœurs de la Visitation de la Vierge de Tours. La chapelle néogothique a été construite dans le dernier quart du XIXe siècle. L'école est supprimée en 1903 et transformé en hospice privé. En 1982 il a été aménagé en maison de retraite. Les bâtiments ont été restaurés en 1997[31].
Personnalités liées à la commune
modifierCancon est le lieu de naissance de l'architecte Fernand Pouillon.
Vie locale
modifierEnseignement
modifierÉvénements
modifierEn septembre 2003, Cancon accueille une réunion des altermondialistes organisée par José Bové en parallèle au sommet de l'Organisation mondiale du commerce de Cancún. Un événement similaire a eu lieu en parallèlement au sommet de l'ONU sur le changement climatique de Cancún.
Fin octobre, tous les deux ans, se déroule une fête de la Noisette dans le village. La dernière a eu lieu les 22 et .
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Cancon en Agenais, Lucien MASSIP,Editions du Roc de Bourzac, 1991
- Lucien Massip, Histoire de la ville et des seigneurs de Cancon en Agenais : depuis les temps les plus reculés jusqu'en 1789, chez l'auteur (Cancon), chez MM. Michel et Médan (Agen), 1891 ; p. 259 (lire en ligne)
- Lucien Massip, La Révolution à Cancon, p. 451-469, 548-564, Revue de l'Agenais, année 1887, tome 14 (lire en ligne)
- Lucien Massip, La Révolution à Cancon, p. 56-88, 153-160, Revue de l'Agenais, année 1888, tome 15 (lire en ligne)
- Lucien Massip, La Ville et les seigneurs de Cancon en Agenais, p. 527-550, Revue de l'Agenais, année 1888, tome 15 (lire en ligne)
- Lucien Massip, La Ville et les seigneurs de Cancon en Agenais, p. 75-90, 164-173, 223-237, 305-321, 428-446, Revue de l'Agenais, année 1889, tome 16 (lire en ligne)
- Lucien Massip, La Ville et les seigneurs de Cancon en Agenais, p. 244-260, 364-376, 421-437, 533-554, Revue de l'Agenais, année 1890, tome 17 (lire en ligne)
- Lucien Massip, La Ville et les seigneurs de Cancon en Agenais, p. 139-152, 208-224, 296-307, 387-414, Revue de l'Agenais, année 1891, tome 18 (lire en ligne)
- Docteur Couyba, Le Bail de démolition du château de Cancon (), p. 447-451, Revue de l'Agenais, année 1905, tome 34 (lire en ligne)
- Jean-Pierre Capdeville, Carte géologique de la France à 1/50 000 - Cancon, Éditions du BRGM Service géologique national, Orléans, 1996, (ISBN 2-7159-1854-2) (lire en ligne)
Articles connexes
modifierLiens externes
modifierNotes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
modifier- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Fiche du Poste 47048001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Cancon ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Villeneuve-sur-Lot », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Cancon », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Cancon », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- Armorial de France
- Correspondant, « Cancon. Elisabeth Pichard enfin élue », La Dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
- Jumelage avec la ville d'Algolsheim, Mairie de Cancon, consultée le 12 juin 2017.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Visites en Aquitaine : Église Saint-Martial dite la Vieille église
- Visites en Aquitaine : Église Saint-Martial
- « Église paroissiale Saint-Martial », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- Visites en Aquitaine : Hospice-école de Cancon