%{search_type} search results

"C'est au 10, villa Gagliardini que Marie Sizun a décidé de retourner. Un voyage tout intérieur, vers le lieu des premières années, qui enferme pour toujours le mystère des débuts. C'est là qu'elle grandira. L'appartement est un refuge, une île merveilleuse où, malgré les difficultés financières et familiales, la petite vivra dans un monde de fantaisie et de joie. Puis la porte s'entrouvre sur le monde : l'école, les amies, la découverte du cinéma et de la littérature. Les jalons sont posés, qui deviendront l'œuvre à venir. Mais plus que le récit d'une enfance, c'est surtout l'histoire d'un combat pour trouver sa place."--Page 4 of cover.

• Pour mes copains
• Interdit aux juifs et aux chiens
• Du lait et des petits sandwichs
• Voiture à bras
• Matraques en caoutchouc
• Le jour d'après
• L'indispensable mensonge
• Monsieur Baratin
• Destins croisés
• Une ronéo sur le toit
• "Robert, va prendre l'air à la campagne"
• L'homme au pardessus bleu
• Planqué
• Le chien de la rue des Pyrénées
• Le club des cinq
• Le pantalon baissé sur les chevilles
• Un revolver mal placé
• La mitraillette sous la chaise
• "Je ne pourrai pas parler !"
• La caresse du brigadier
• Son premier officier allemand
• "Pas de repêchage !"
• "Vous aviez raison"
• Les bains de la Résistance
• "Zur Front Normandie"
• L'insurrection
• Le retour de l'oncle Adolf
• Bataillon
• Liberté-Compagnie Rajman
• Tauba-Thérèse
• La revanche de l'humanité
• Au terme du chemin
• Postface. "J'ai eu de la chance".

"Le lendemain de la rafle du Vel d'Hiv, le 17 juillet 1942, Dora, la tante de Robert Birenbaum, jeune Français juif de bientôt 16 ans, lui propose de rejoindre les rangs de la Résistance ; il accepte sans hésiter. De 1942 à 1944, Robert Birenbaum, malgré son très jeune âge, fut de ceux qui recrutaient les résistants Francs-Tireurs Partisans de la main-d'œuvre immigrée, dont Mélinée et Missak Manouchian et les autres combattants de l'Affiche rouge firent partie. Triste ironie de l'Histoire, il s'apprêtait à rejoindre leurs rangs, en 1943, lorsque les membres de l'Affiche rouge furent arrêtés, avant d'être fusillés en février 1944. Il n'en aura plus jamais l'occasion. Robert Birenbaum délivre enfin le récit de ces incroyables années au cours desquelles, avec d'autres jeunes gens, français, étrangers, juifs, communistes, ils tinrent en respect collabos et nazis dans Paris occupé et ses alentours."--Page 4 of cover.

• Albert Bergevin (1887-1974), regards sensibles
• Albert Bergevin à travers le XXe siècle
• Une enfance avranchinaise 1887-1902
• Les années de formation artistique 1903-1914
• Édouard Bergevin, Bérengère Jehan, Chloé Gusmini
• Une période artistique parisienne 1907-1914, puis 1920-1927
• Édouard Bergevin, Bérengère Jehan, Chloé Gusmini
• Retour à Avranches : Bergevin, peintre et témoin
• Édouard Bergevin
• Un artiste à découvrir
• Influences stylistiques et productions artistiques
• Albert Bergevin, entre modernité et tradition
• Patrick Descamps
• Avranches, décor d'inspiration privilégié
• Bérengère Jehan
• L'affiche d'Albert Bergevin sur Avranches
• Jean Lecuir
• Vie de famille, source inépuisable d'inspiration
• Édouard Bergevin, Bérengère Jehan
• Autoportraits et ateliers
• Jean Lecuir
• La baie du Mont Saint-Michel : décor de vacances et de contemplation
• Bérengère Jehan
• Paysages boisés
• Bérengère Jehan
• Bouquets, natures mortes et animaux
• Chloé Gusmini
• Regard sur ses contemporains
• Bérengère Jehan
• Cirque et forains, la vie des nomades
• Chloé Gusmini.

• Introduction. Octobre noir
• La Grande Dépression
• La fin des réparations
• Réarmement allemand
• Divisions françaises
• Le grand tournant soviétique
• Le Japon et le choix de la guerre
• Weimar. Comment meurt une démocratie
• Tentations fascistes
• Face à Hitler
• Conclusion. Désarmement moral.

"Par la profonde déstabilisation qu'elle engendre, la crise de 1929 rebat les cartes de l'histoire. On croyait l'après-guerre achevé, l'inflation enfin maîtrisée, l'épineuse question des réparations réglée par le plan Young, la paix définitivement assurée par la Société des Nations et le pacte Briand-Kellogg. Et voilà qu'en quelques années toutes ces belles promesses s'évanouissent. Les réponses à la crise, à base de protectionnisme, dévaluation, austérité, voire autarcie, n'aboutissent qu'à contracter les échanges. Le chômage explose, les démocraties vacillent, l'autoritarisme se renforce. Dès 1931, le Japon fait le choix de l'expansionnisme en envahissant la Mandchourie. En 1935, c'est au tour de l'Italie de se lancer à la conquête de l'Éthiopie. En exploitant la crise, le chancelier Brüning se défait des réparations et commence à exiger le réarmement de l'Allemagne. Pour l'éviter, la Grande-Bretagne fait pression sur la France. Même après l'accession de Hitler au pouvoir, le Premier Ministre MacDonald écrit dans son journal que "la France est l'ennemi". On fait difficilement plus aveugle. Tous les efforts pacifiques des années 1920 sont subitement ruinés. La SDN agonise, les États-Unis tournent définitivement le dos à l'Europe, la Grande-Bretagne embrasse l'appeasement et la France se replie avec effroi derrière la ligne Maginot qu'elle croit inexpugnable. En poursuivant sa brillante fresque du XXe siècle, bousculant les clichés et les idées reçues, Jean-Yves Le Naour revient en détail sur ces quelques années où tout bascule et où l'après-guerre se transforme en un nouvel avant-guerre."--Page 4 of cover.

• Entretien avec Béatrice Uwambaje à propos du Silence des collines
• La terre et le sang. Pour une lecture géographique du génocide rwandais
• Raconter l'innommable blessure à travers le corps dans deux œuvres Notre-Dame du Nil (Scholastique Mukasonga) et Les Hommes Debout (Bruce Clarke)
• Benjamin Sehene, première voix rwandaise de l'analyse du génocide
• Moisson de crânes d'Abdourahman A. Waberi : un voyage sans escales, au plus profond de l'inhumanité
• Littérature rwandaise : L'introspection, l'autofiction et l'abjection dans Mes transes à trente ans de Saverio Naigiziki
• Littérature et Histoire au profit d'une résilience : Le cas du Rwanda
• Les reportages radiophoniques de Daniel Mermet : entre témoignages et représentation de la guerre au Rwanda
• Réflexions croisées sur la mise en place du Tribunal Pénal International pour le Rwanda et les garanties du droit au procès équitable, dans le traitement du génocide au Rwanda, (particulièrement le droit à un Tribunal indépendant et impartial)
• Le Rwanda au miroir du marché de l'asile.

"1994-2024 : trente années se sont écoulées depuis le génocide rwandais dont l'horreur a réveillé le monde et prouvé encore une fois, combien la colonisation avait d'effets secondaires. Dans ce présent volume qui se veut un juste hommage à un peuple martyr, se succèdent géographie, littérature, médias, juridiction, comme autant de points de vue et d'examens d'une situation dont on a encore du mal à définir les mécanismes, sans doute parce qu'ils nous renvoient aux zones les plus sombres de l'âme humaine. Certes, l'on peut convoquer les causes, perceptibles et plus encore les conséquences et les châtiments que la justice mettra en place a posteriori, une fois la tempête apaisée, mais il est des élans de barbarie qui effraient tant ils sont si irraisonnés, si violents et impitoyables qu'ils interrogent sur l'aptitude de tout un chacun à sombrer dans le gouffre du Mal. Les articles rassemblé se font porteurs de ce message."--Page 4 of cover.

The story of one man's battle to get to his son, the longing for a dream, and its juxtaposition with the misery of the migrant situation. It tells of the human costs of political failings, rising nationalism, and the sheer scale of people seeking a better life. Stuck in the Calais Jungle for 16 months, we follow a father's journey through floods, fires, and increasing frustration at his estranged relationship with his boy, roller-coasting towards an apocalyptic exodus.

• Note sur la translittération
• Liste des abréviations et acronymes utilisés
• Prologue. Un poste d'observation de l'histoire de l'URSS tardive
• Le fleuron du nucléaire à la fin de l'ère Brejnev-Kossyguine
• Pripiat, ville ukrainienne largement russifiée et membre du club "atomique"
• Les débuts de la perestroïka et de la glasnost
• 1. Dormir ou veiller : des lumières dans la nuit à Pripiat
• Une sinistre lueur à l'Est
• Le "travailleur scientifique" soviétique et ses lectures
• Les flammes de la dissidence
• Les braises de la chanson d'auteur et les étincelles du rock
• Être "en dehors du système"
• 2. Se loger, se meubler, s'équiper, s'habiller : l'accès au confort et à la mode
• La "question de l'appartement"
• À la recherche du meilleur byt : du collectif à l'individuel
• L'omniprésence du blat ou réseau de faveurs interpersonnelles
• Les beriozki ou "la révolution du consommateur" pour happy feu)
• La fartsovka : le marché noir
• 3. Manger et boire : stratégies d'adaptation, hiérarchies et privilèges
• Menus de la fin du temps des Soviets
• Au pays des inégalités alimentaires
• Des privilèges institutionnalisés
• La politique antialcoolique de 1985-1987
• 4. S'aimer, se marier, avoir des enfants : inégalités femmes-hommes, tabous et conformisme
• Le sexe tabou, le mariage comme norme, l'avortement comme seul mode de contraception
• Inégalités domestiques et débuts du féminisme non officiel
• Clichés sur l'adultère, silences sur la prostitution, préjugés sur l'homosexualité et le sida
• 5. Apprendre et étudier : l'atome et la "bannière du léninisme"
• Un système scolaire cloisonné et inégalitaire
• L'encadrement idéologique : chef(fe)s de classe, Pionniers et Komsomol
• La jeunesse et le mythe de la "Grande Guerre patriotique"
• 6. Travailler, surveiller, frauder : la centrale, une entreprise "à régime"
• L'"économie de pénurie"
• La centrale de Tchernobyl
• L'"indiscipline au travail" et la "criminalité économique"
• 7. Se divertir, se cultiver, s'entraîner : le "temps libre" en URSS
• La télévision : propagande et évasion
• 8. Se déplacer et voyager : transports, datchas, et vacances
• Les datchas
• Voitures et garages : aux sources de l'individualisme soviétique
• Voyages d'affaires et vacances de masse : poutiovki et camps de Pionniers
• Des séjours volontaires ou subis : chantiers d'été et kartochka
• Epilogue. L'URSS à un tournant
• Le KGB entre toute-puissance et désarroi
• Entre indifférence et dissidence, l'ambiguïté du vnye
• La guerre contre l'Ukraine : une résurgence maladive du passé soviétique.

"26 avril 1986. Le réacteur numéro 4 de la centrale de Tchernobyl explose, un an après l'arrivée de Mikhaïl Gorbatchev à la tête de l'URSS. Comment vivait-on à Pripiat, ville-dortoir modèle, à l'ombre de la plus grande centrale nucléaire d'Europe ? Comment se nourrir, se vêtir et se loger, mais aussi se cultiver et s'évader, sous ce régime à la fois oppresseur et incapable de tout contrôler ? Laurent Coumel dresse le tableau vivant et contrasté d'un quotidien marqué par l'idéologie officielle, mais travaillé aussi par des aspirations contradictoires. Il en rappelle les forces, les fragilités et les inégalités. Une plongée sidérante dans la société de l'Union soviétique, quelques années avant son effondrement."--Page 4 of cover.