Statistique monumentale du Calvados, Volume 1Derache, 1846 - Architecture |
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Common terms and phrases
abbaye ancienne Anzeré appartenait à l'abbaye apside arcades arcatures archivoltes arêtes de poisson assez baronnie bas-côtés bâtière Beziers Calvados canton canton de Creully cartulaire chanoine chapelle chapiteaux chapitre de Bayeux charte château Cheux chevet chœur cintrées colonnes colonnettes constructions corniche côté du nord côté du sud Cours d'antiquités Courseulles Courvaudon Creully curé percevait d'arcatures d'Audrieu d'Evrecy date dîme donation Douvres ecclesiæ église époque évêque de Bayeux façade fenêtres fief Fontaine-Henry garnie Guillaume Hermanville inscription j'ai Jean Juvigny l'abbaye d'Ardenne l'abbaye de St.-Etienne l'abbé l'an l'édifice l'église l'évêque l'intérieur l'invocation de St l'ouest lancettes Longvillers maison Maisoncelles Mariæ Martragny Mesnil-Patry moderne modillons Mondrainville monuments moulures murs latéraux occidentale offre ogive Oistreham ornée paraît paroisse patronage percevait les dîmes portail porte prieuré pyramide reconstruite refaite remarque Richard Robert romane sancti seigneur St.-Martin St.-Pierre St.-Vigor style ogival surmonte terre Tilly toit tour transept Troarn Trois-Monts trouve Villers voit XVe siècle
Popular passages
Page 88 - I". Il y avait autrefois doux églises à Bretteville , celle de Notre-Dame et Saint-Pierre sa succursale. Le patronage ainsi que les dîmes appartenaient à l'abbaye du Mont-SaintMichel. Notre-Dame , qui sert aujourd'hui au culte , et qui est la plus voisine de la ville de Caen , est celle qui offre le moins d'intérêt. Le chœur a été reconstruit en partie ou repris en sous-œuvre ; l'arcade ogivale qui le sépare de la nef a été conservée : c'est la partie la plus remarquable de l'édifice....
Page 98 - Caumont, offre l'image d'une tour pentagone terminée par une gracieuse pyramide garnie de crochets. Deux étages superposés dans la hauteur d'un joli tourillon sont percés sur chaque face de fenêtres d'une délicatesse extrême dans le genre flamboyant. Ces étages sont séparés l'un de l'autre par une rampe simulée , dans le même style que les fenêtres Tout porte à croire que ce tabernacle est à peu près du temps de Louis XII. L'étage inférieur était destiné à contenir les hosties,...
Page 180 - La démission du prieur en faveur de la dame deBelin, prieure, est du 26 juin 1643. Le décret de l'évéque , donné le 12 septembre suivant, porte union du prieuré de l'hôpital de Villers au monastère de religieuses nouvellement établi ; il fut confirmé par lettrespatentes du mois d'avril 1647 et du 20 février 1650 , enregistrées au parlement de Rouen , le 3 juin 1652. En 1740 , le mauvais état du temporel obligea le supérieur de faire défense à la communauté de recevoir des novices...
Page 180 - Villers , paroisse de St-Germain , et le dota de 200 livres de rente. Un second acte, passé trois ans après , en 1369 , explique les volontés de la fondatrice. L'administration de l'établissement fut confiée à deux prêtres séculiers , dont l'un était prieur et administrateur en titre , et l'autre chapelain : le prieur devait rendre compte à l'évêque de son administration une fois chaque année.
Page 24 - On travaiUait aux collatéraux (1). Les guirlandes de feuilles frisées qui entourent les fenêtres , à l'extérieur , les contreforts couronnés d'aiguilles hérissées de crochets , les nervures prismatiques des voûtes , les colonnes dont les fûts très-maigres ne sont point cylindriques , et dont les chapiteaux , presque sans épanouissement au sommet , sont garnis de feuilles déchiquetées , caractérisent parfaitement cette époque , surtout la deuxième moitié du XVe. Le portail du nord...
Page 42 - St.Etienne , dit le docteur Ducarel : « On peut regarder comme « la plus intéressante celle qui est désignée sous le nom de « grande Chambre des Gardes. Sa longueur est de 160 « pieds et sa largeur de 90. A chaque extrémité de cette « salle sont des rosaces garnies de vitraux peints du travail le « plus soigné. On voit du côté du Nord deux cheminées bien « conservées, ainsi qu'un banc de pierre à l'entour de la « salle. Le plancher est pavé de briques de six pouces carré, «...
Page 134 - Landicée , une agrafe d'or ornée. de pierreries, une fourrure de Bretagne, une peau de veau marin de six mois , ainsi qu'une lettre dans laquelle je vous fais connaître qu'au premier jour j'enverrai le salaire de la milice sur lequel vous prendrez vingt-cinq mille sesterces en pièces d'or. Les Dieux étant favorables , vous obtiendrez par la suite , à cause de vos mérites , une récompense plus digne de la majesté de l'empereur et de votre attacbement.
Page 28 - XIIe. (1) , n'importe quel soit le motif qui ait empêché de la construire à la fin du XIe. Il est facile de voir que les voûtes de quelques parties des bas-côtés , notamment les fenêtres , les contreforts surmontés de pinacles , qui , à l'extérieur , supportent les arcs-boutants , et les rampes en pierre qui couronnent les murs des collatéraux , sont du commencement du XVIe. siècle ou de la fin du XVe. Le chœur appartient au troisième style ogival (XVe. siècle). Le portail latéral...
Page 133 - Vieux des fouilles dont les résultats ont malheureusement été perdus , accorder l'honneur d'une statue de marbre , et faire connaître à la postérité, que non seulement il était grand prêtre de Mercure , de Mars et de Diane, que pendant quatre jours de suite il prit soin de donner des spectacles et des...
Page 21 - L'abbé De La Rue rapporte que lorsque l'ordre de Malte recevait à Caen les vœux de quelque chevalier , la cérémonie avait lieu à St. -Julien. Il y avait à St. -Julien un curé qui prenait le titre de prieur, un vicaire et deux obitiers. Eglise des Bénédictines (ancienne église des Cordeliers). Non loin de l'église St. -Julien est le couvent des Bénédictines , qui remplace celui des Cordeliers. L'église assez vaste qui s'ouvre sur la rue est en grande partie de la fin du XVIe. siècle...